L’AfD devient le premier parti d’Allemagne de l’Est

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 septembre 2018

Dans le cul les juifs, j’ai récupéré tous mes points de vie

Le déferlement de propagande antiblanche et pro-diversité post-Chemnitz n’a eu aucun effet sur le peuple, hormis celui de le renforcer dans son intention de stopper la politique juive du gouvernement d’occupation.

L’AfD, qui a adopté une ligne dure en défilant avec tous les nationalistes présents à Chemnitz, est désormais le premier parti d’Allemagne de l’Est si l’on en croit les derniers sondages parus. Il totalise 27% des intentions de vote.

Pour une mise en perspective, voici une carte du vote national-socialiste du 5 mars 1933. Comme on peut le voir, l’Allemagne du nord-ouest n’a jamais été un bastion nationaliste. C’est l’Allemagne du sud et de l’Est qui constituait les bastions de l’électorat NS.

L’AfD n’est pas le Parti National-Socialiste. Enfin pas encore. Rome ne s’est pas construite en un jour. Mais on peut compter sur l’arrogance et l’impudence des juifs pour accélérer les choses.

Le fait est que l’est est déjà fortement sous l’influence de l’AfD et que le sud commence à l’être.

Que l’AfD soit en passe de devenir le premier parti de l’ancienne RDA bolchevique dans une Allemagne réunifiée constitue une évolution qu’aucun de ces juifs n’auraient pu anticiper.

L’AfD veut déjà, dans sa nouvelle campagne, purger les musulmans des écoles du pays.

Ce qui revient à purger le sémitisme.

La juiverie y décèle bien sûr l’annonce de sa propre extirpation.

Les juifs se fichent des déclarations opportunistes de tel ou tel dirigeant au sujet de son philosémitisme : ils savent d’expérience que ce qui compte sont les sentiments de la masse. Et ces sentiments sont clairs : 55% des électeurs de l’AfD savent que les juifs conspirent pour abattre l’Allemagne.

Adolf Hitler lui-même, à mesure qu’il s’approchait du pouvoir, était devenu presque libéral avec les juifs, déclarant dans la presse que les juifs pourraient « continuer à vivre normalement » en Allemagne une fois le NSDAP au pouvoir.

Björn Hoecke devrait commencer à rédiger sa liste d’exigences adressée aux juifs.

A commencer par raser au bulldozer cette immonde chiure sémitique posée au coeur de Berlin.

Mais le plus important sera, à terme, d’exiger les excuses des juifs pour tous les crimes qu’ils ont commis en Europe depuis si longtemps.

Excuses qui appelleront bien sûr de très lourdes réparations financières, morales et politiques. Avant l’expulsion totale des juifs du continent européen.

Tout cela parallèlement à la solution finale à la question de l’immigration, bien entendu.