Captain Harlock
Démocratie Participative
22 juillet 2021
Nous parlons de crimes de masse contre des populations civiles
La confusion règne encore mais nous avons tout de même une idée claire des conséquences criminelles du passeport intérieur actuellement enregistré par le « parlement » français.
Le fameux « passeport sanitaire » du tyran Macron.
L’interdiction des hôpitaux aux malades est certainement l’une de celle qui vaudra à la totalité du gouvernement et aux hauts fonctionnaires impliqués de finir derrière les barreaux pour le reste de leur vie.
Les restaurants, les cinémas, les musées, mais aussi les hôpitaux. Pour entrer dans un établissement de santé ainsi que dans un établissement médico-social, il faudra bientôt se munir de son pass sanitaire. Selon le projet de loi relatif à la gestion de la crise sanitaire en débat en ce moment à l’Assemblée nationale, il sera obligatoire à partir de début août « sauf en cas d’urgence » dans « les services et établissements de santé, sociaux et médico‑sociaux, pour les seules personnes accompagnant ou rendant visite aux personnes accueillies dans ces services et établissements ainsi que celles qui y sont accueillies pour des soins programmés.«
La notion « d’urgence » sera à l’appréciation de paramilitaires négroïdes chargés de garder les hôpitaux.
Du « personnel de sécurité », en novlangue.
Cette mesure aura un coût puisqu’elle implique le recours à du personnel de sécurité chargé de contrôler le pass sanitaire. Selon la Fédération hospitalière de France (FHF) qui regroupe plus de 1 000 hôpitaux et environ 3 800 établissements médico-sociaux, cette mesure coûtera 60 millions d’euros par mois aux hôpitaux. Cette évaluation a été présentée au ministère de la Santé, mardi 20 juillet, lors d’une réunion avec les représentants du secteur hospitalier. Pour les 3 800 Ehpad, « l’organisation est déjà en place ». « Vous êtes obligés de passer à l’accueil pour rendre visite à un proche depuis le début de l’épidémie », précise la FHF à franceinfo.
Pour les hôpitaux, dont l’accès était libre, la situation est toute autre. « Il va falloir étudier au cas par cas, établissement par établissement, ceux qui pourront déployer du personnel en interne et ceux qui devront embaucher ou encore ceux qui feront un mix des deux », explique la fédération. « Que ce soit du personnel interne ou externe, le coût de cette mesure est évalué à 60 millions d’euros par mois », assure la FHF.
« La décision du président de la République de rendre le pass sanitaire obligatoire y compris pour accéder à nos établissements de santé et médico-sociaux publics est cohérente, précise la déléguée générale de la FHF, Zaynab Riet. En revanche, cette décision n’est pas sans conséquences sur l’organisation logistique à mettre en place pour en assurer le contrôle ainsi que sur la prise en charge financière de ce dispositif. »
Zaynab salue cette heureuse mesure de Macron qui va autoriser des mercenaires noirs, moyennant 700 millions d’euros prélevés dans la poche des travailleurs blancs, d’empêcher des Français d’accéder aux soins qui leur sont dus au titre de leurs impôts.
Tout Français devant recevoir des soins réguliers – cancéreux, diabétiques, femmes enceintes, cardiaques, etc.. – sera repoussé aux portes de l’hôpital par la « sécurité ».
Dans le même temps, les noirs de la sécurité laisseront bien entendu passer les moukères du bled algérien et les négresses en boubou pour qu’elles bénéficient à fond de la CMU que les Français refusant de se faire empoisonner par Pfizer leur payent avec leurs taxes et impôts.
Ces quelques 700 millions d’euros de dépenses seront consenties pour un système hospitalier qui ferment des maternités, des cliniques, des lits partout. En même temps, il faut bien tuer des goyim pour alimenter la terreur.
🔴CETTE QUESTION EST UNE BOMBE!
Le Canard Enchaîné révèle que le nombre de lits de réanimation en Ile-de-France est passé de 2.500 en mars 2020 à 1.700 aujourd’hui…
La question est donc : pourquoi le gouvernement a-t-il délibérément laissé baisser le nombre de lits? pic.twitter.com/EoGqV5qzKF
— ❗️𝙴𝚗𝙼𝚘𝚍𝚎𝙼𝚊𝚌𝚊𝚛𝚘𝚗™️❗️ (@EnModeMacaron) July 17, 2021
Si l’on admet que 10 millions de Français ne se feront pas vacciner, c’est l’équivalent de la population de la Suisse ou de la Belgique qui serait privée de soins.
En France, les décès sont principalement dus aux cancers et aux maladies cardiaques – 300,000 morts par an. Les cas d’urgence de type « accident » sont très minoritaires.
Autrement dit, des dizaines de milliers de personnes mourraient dès la première année de l’instauration du passeport sanitaire sur ordre de Macron, faute de soins, pour contenir une grosse grippe.
J’ai bien conscience que les personnes malades se feront très majoritairement inoculer le poison de Pfizer pour essayer de survivre, ou du moins ne pas mourir immédiatement. Mais c’est acté au plan étatique : la plèbe doit choisir entre la mort ou la réduction en esclavage chimique sous la féroce dictature des juifs.
C’est le nouveau principe de gouvernement en France.
Il a fallu moins de deux ans à cette république juive pour disposer du droit de vie ou de mort sur 67 millions d’individus.
Et des gens viennent me tanner les oreilles parce que Kaamelott est diffusé dans ce nouveau mouroir à ciel ouvert.
Ces gens me dégoûtent.
Quoi qu’il en soit, nous parlons de milliers de morts à très court terme, de dizaines de milliers à moyen terme, froidement exécutés par Macron et sa bande sur ordre du système globaliste pour appliquer le plan de Davos.
Il n’y a rien d’équivalent dans l’histoire de France récente.
Un gouvernement qui procède à l’exécution aveugle de sa propre population pour instaurer une tyrannie sémitique ne peut espérer aucune clémence. Macron ne pourra pas s’en sortir en disant qu’il n’a fait qu’obéir à Delfraissy.
Il faut dès à présent évoquer la création d’une juridiction d’exception pour juger les criminels qui ont conspiré avec Bill Gates, Klaus Schwab et Soros pour instaurer cette tyrannie sanglante. Tous les ministères, administrations, médias devront être purgés, de même que les élus qui ont accepté de collaborer avec ce régime criminel.
Cela doit être absolument clair pour tout le monde : quand ce cauchemar sera terminé, il y aura des arrestations et des procès à grande échelle.
C’est quelque chose qui doit devenir central.
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