L’Académie française de médecine demande de rendre obligatoire le vaccin contre le Covid-19

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 mai 2021

 

Les choses sérieuses commencent.

Le ciblage de la résistance à la tyrannie sanitaire est à l’ordre du jour.

Sputnik News :

Bien que la campagne de vaccination contre le Covid-19 ait démarré avec un certain retard en France, elle atteint aujourd’hui un bon rythme avec quelque 600.000 doses injectées par jour. Or elle risque de se heurter au refus «des hésitants et des opposés à la vaccination», constate l’Académie nationale de médecine.

Le vaccin contre le Covid-19 devrait être obligatoire, estime l’Académie nationale de médecine.

Dans un communiqué publié ce 25 mai, l’Académie constate qu’«obligation» n’est pas «un gros mot» quand il s’agit de vaccination contre le Covid-19. Elle rappelle que la France a dépassé, le 15 mai, 20 millions de primo-vaccinations, soit 30% de la population française, et que l’objectif est d’atteindre 30 millions de personnes primo-vaccinées à la mi-juin.

Toutefois, «il sera très difficile d’obtenir avant la fin de l’été un taux de couverture vaccinale qui assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie, soit 90% de la population adulte ou 80% de la population totale (enfants inclus)», indique le communiqué.

Et il ne s’agit pas uniquement du manque de vaccins, car leurs livraisons permettent d’atteindre et de maintenir un rythme de 600.000 doses injectées par jour. Le problème viendra des hésitants et des opposés à la vaccination.

« L’importance de ces deux catégories récalcitrantes [est] actuellement estimée à 15% pour chacune d’elles », souligne l’Académie.

Nous, à Democratie Participative, appartenons à la glorieuse Division des Opposés, la plus héroïque.

Vous pouvez encore nous rejoindre, les bureaux de recrutement restent ouverts.

Sinon, vous pouvez rejoindre le camp des esclaves du Nouvel Ordre Mondial et jouer à la roulette russe en prenant une double dose de venin avec le risque de mourir d’AVC en échange d’un ticket pour la Fête de la Musique.

C’est toutefois un choix d’homosexuel.

Elle rappelle que le pays a traversé une période de pénurie de vaccins, rendant obligatoire «une priorisation évolutive des candidats à la vaccination», mais que la situation a changé aujourd’hui.

«Les perspectives d’un approvisionnement croissant risquent de placer la France devant le paradoxe d’un excédent de doses face à une couverture vaccinale insuffisante.»

Qui plus est, l’extension de la vaccination aux adolescents et enfants, nécessaire pour l’acquisition d’une immunité collective, risque de se heurter à un autre obstacle, celui de «la réticence de parents».

Toujours selon le communiqué, l’obligation vaccinale pour le Covid-19 était jusqu’ici «rejetée sur l’argument réaliste du manque de vaccins», mais une telle mesure avait été appliquée en France pour plusieurs maladies, dont la variole, la diphtérie, le tétanos, la tuberculose et la poliomyélite. Les vaccins actuellement homologués en France «permettent de recourir à l’obligation vaccinale face à une épidémie redoutable», souligne l’Académie, indiquant qu’ils ont «un taux d’efficacité de 90 à 95% contre les formes graves» de la maladie.

Cet argument de la « forme grave » est absurde.

Les enfants et les adolescents contractent quasi exclusivement le Covid19 dans sa forme asymptomatique. Seulement 5% des cas de Covid19 ont moins de 18 ans. Environ 1% des décès totaux en France sont des enfants.

La vaccination chez eux n’a aucun intérêt médical.

Le but est bien de mettre en cage chimique cette partie de la population.

Cela étant, l’Académie nationale de médecine recommande de mettre en œuvre le «passe vaccinal» et de rendre la vaccination exigible dans plusieurs cas, notamment pour l’exercice de toute activité professionnelle essentielle et des activités professionnelles comportant un contact avec le public, en préalable à toutes les activités comportant déplacements ou rassemblements ainsi que pour les donneurs de sang, de tissu ou d’organe et les étudiants avant la rentrée universitaire 2021.

Venir à bout de 10 millions de personnes qui refusent catégoriquement de se faire injecter le poison mortel de Pfizer n’est pas une petite tâche.

Pour le moment, l’approche du système consiste à fermer autant de portes que possible aux opposants dans leur vie quotidienne. Comme je l’explique ici depuis des mois, à terme, il sera impossible d’aller au supermarché sans avoir reçu de multiples doses de cette chimie juive dans le corps.

La chose est déjà entendue pour les festivals, les cinémas et rassemblements. Les forces sataniques au pouvoir veulent marginaliser socialement les opposants. En faire de véritables lépreux.

Sauf que ces nouveaux lépreux sont en parfaite santé et que c’est justement ce que les apothicaires juifs leur reprochent.

D’où ce projet défendu par le charlatan juif Alain Fisher en faveur de l’internement des non-vaccinés.

Tout cela n’a rien à voir avec un virus qui a officiellement tué en France 14,000 personnes entre mars 2020 et mars 2021 en plus de 27,000 autres qui souffraient d’autres maladies graves. Plus de 90% des gens qui meurent de ce virus ont plus de 65 ans, la moyenne d’âge des décès se situant à 82 ans.

Virtuellement personne ne meurt du Covid19 s’il a moins de 65 ans.

Tout cela ne justifie pas la suppression de la liberté de mouvement ou d’association et encore moins les projets de mise à mort sociale des gens.

Cette tyrannie est encore balbutiante et repose sur la guerre psychologique qui est faite aux masses par les médias.

Quand les masses de goyim seront tenues d’une main ferme par ce nouveau système de gouvernement, le programme de soviétisation débutera. Comme en Espagne, où les maisons et voitures individuelles vont être interdites.

Ce virus n’est qu’un prétexte à la réduction en esclavage des populations.

Quel intérêt de vivre comme un esclave de l’hyperclasse juive ? Aucun si vous voulez mon avis.

Il faut donc résister.

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