Captain Harlock
Démocratie Participative
05 Février 2021
L’autre jour, j’expliquais que les juifs étaient toujours des deux côtés du rapport dialectique pour s’assurer que jamais leur race ne soit débordée par les défenseurs des intérêts autochtones.
J’expliquais aussi que face à l’effondrement du petit commerce, l’émergence d’un Poujade – c’est-à-dire d’un leader autochtone – était source d’une grande inquiétude au sein de la juiverie qui contrôle la France.
C’est la raison pour laquelle les médias juifs ont créé de toutes pièces un « opposant » à la fermeture des restaurants en la personne du yid Manigold.
Sauf que, le jour de l’ouverture sauvage des restaurants prévue le 1er février, Manigold a expliqué à tous les restaurateurs de France sur tous les plateaux télés pourquoi ils devaient rester fermés.
Hier, chez Morandini, le juif sournois Manigold a baissé le masque pour faire voir le visage hideux de l’effronterie hébraïque. « L’opposant au confinement » y apparaissait en farouche partisan du bouclage gouvernemental. Le visage de ce serpent était traversé de sourires narquois et de rictus caractéristiques du manipulateur levantin alors qu’il s’en prenait hystériquement à Florian Philippot, partisan de la fin du confinement.
Il faut voir cette vidéo. C’est un concentré de sémitisme, un cas d’école.
Manigold a tout oublié de ce qu’il disait il y a encore quelques jours. Ce qui ne l’empêche pas de parler avec l’aplomb dont pourrait faire preuve un porte-parole du gouvernement à propos de l’urgente nécessité du confinement.
C’est ce que les juifs eux-mêmes appellent la c’houtzpah, le culot juif.
Le juif se fiche de savoir que ses mensonges soient grossiers. Ce qui lui importe, c’est de les marteler avec une assurance telle qu’elle désarçonne le goy qui finit par douter tant il lui paraît impossible de mentir de manière aussi tapageuse sans se faire prendre.
Vous savez qu’ici, j’entreprends le travail gigantesque de réhabilitation d’Adolf Hitler, l’homme le plus diffamé par les juifs de l’histoire humaine. Ce n’est pas pour rien, encore moins par goût de la provocation.
C’est pour défendre la vérité.
« Yo, tu préfères faire confiance à qui : moi ou Manigold ? »
Dans Mein Kampf, Adolf Hitler explique ce que vous venez de voir.
J’étais alors encore assez naïf pour vouloir les éclairer sur l’absurdité de leur doctrine ; dans mon petit cercle, je parlais à en avoir la langue écorchée et la gorge enrouée, et je m’imaginais que je parviendrais à les convaincre du danger des folies marxistes. J’obtenais le résultat opposé. Il semblait que les effets désastreux, fruit évident des théories sociales-démocrates et de leur application, ne servaient qu’à renforcer leur détermination.
Plus je discutais avec eux, mieux j’apprenais à connaître leur dialectique. Ils comptaient d’abord sur la sottise de leur adversaire et, quand ils ne trouvaient plus d’échappatoire, ils se donnaient à eux-mêmes l’air d’être des sots. Était-ce sans effet, ils ne comprenaient plus ou, mis au pied du mur, ils passaient d’un bond sur un autre terrain ; ils mettaient en ligne des truismes dont, sitôt admis, ils tiraient argument pour des questions entièrement différentes ; les acculait-on encore, ils vous glissaient des mains et on ne pouvait leur arracher de réponse précise. Quand on voulait saisir un de ces apôtres, la main ne prenait qu’une matière visqueuse et gluante qui vous filait entre les doigts pour se reformer le moment d’après. Si l’on portait à l’un d’entre eux un coup si décisif qu’il ne pouvait, en présence des assistants, que se ranger à votre avis et quand on croyait avoir au moins fait un pas en avant, on se trouvait bien étonné le jour suivant. Le Juif ne savait plus du tout ce qui s’était passé la veille ; il recommençait à divaguer comme auparavant, comme si de rien n’était, et lorsque, indigné, on le sommait de s’expliquer, il feignait l’étonnement, ne se souvenait absolument de rien, sinon qu’il avait déjà prouvé la veille le bien-fondé de ses dires.
J’en demeurai souvent pétrifié.
On ne savait pas ce qu’on devait le plus admirer : l’abondance de leur verbiage ou leur art du mensonge.
Je finis par les haïr.
Ce que dit Adolf Hitler des juifs est aussi vrai aujourd’hui qu’il y a un siècle, à Vienne, quand jeune homme il découvrait les représentants du peuple élu. Tout simplement parce que le juif ne change pas. Qu’il soit grand rabbin lors du procès du Christ, procureur bolchevique lors des procès de Moscou ou bien accusateur médiatique en plein confinement, le juif reste le menteur effronté qu’il a toujours été depuis des millénaires.
Sa race lui colle aux pieds, peu importe le nombre de frontières qu’il a franchi en 3,000 ans.
Et le juif restera le mensonge incarné – du moins tant qu’il y aura des juifs sur cette planète.
Quand vous voyez Manigold ou n’importe quel juif en train de mentir et que vous commentez quelque part, ne vous contentez pas de dire, « ha ! il ment ! ». Ce n’est pas le mensonge qui importe, c’est pourquoi il y a mensonge en premier lieu. Répétez invariablement que le menteur est juif. Nombre de goyim endormis, pris par surprise, ne verront d’abord pas où vous voulez en venir. Puis, à force de pointer du doigt l’origine du mensonge, ces braves goyim s’essaieront à vérifier si, en effet, le juif ment comme il respire pour circonvenir le public. Ils ne tarderont pas à parvenir à la conclusion que bien des esprits éclairés ont tiré ces deux derniers millénaires à chaque fois qu’ils ont croisé le peuple élu.
Le juif est encore plus décontenancé quand on l’attaque frontalement, en tant que juif.
Le théorème de Joseph Goebbels paru dans Der Angriff le 29 janvier 1929 s’appliquera toujours.
Il poursuivait :
On ne peut pas se défendre contre le Juif. Il attaque à la vitesse de l’éclair depuis sa position de sécurité et utilise ses capacités pour écraser toute tentative de défense.
Rapidement, il retourne les charges de l’agresseur contre lui et celui-ci devient le menteur, le fauteur de troubles, le terroriste. Rien n’est plus faux que de se défendre. C’est exactement ce que veut le Juif. Il peut inventer un nouveau mensonge chaque jour pour que l’ennemi y réponde, et le résultat est que l’ennemi passe tellement de temps à se défendre qu’il n’a pas le temps de faire ce que le Juif craint vraiment : attaquer.
Je peux dire que j’ai tiré des milliers et des milliers de gens de l’ignorance à propos du juif comme de ses méthodes.
Quand on combat le juif, ce n’est pas le juif que l’on affronte mais l’insondable naïveté des goyim qu’il exploite avec avidité. Avec le juif, la bienveillance naturelle de l’homme blanc, surtout s’il est de gauche, est une erreur toujours fatale. Ce n’est qu’en se faisant violence qu’il finit par s’arracher de son aveuglement et toujours au prix d’une longue lutte de conscience.
L’injustice est intolérable à l’homme blanc tout comme la justice est intolérable au juif.
Je dois lutter contre cette éternelle générosité qui, quand le juif est en jeu, rappelle la fable de la grenouille et du scorpion.
Combien de braves grenouilles veulent absolument se charger d’un scorpion circoncis !
Le temps approche où personne ne croira qu’on a jamais pu sérieusement penser en bien du juif et encore moins vouloir « protéger » Saül, le persécuteur éternel.
J’admets d’ailleurs volontiers que si sur la question raciale je n’emporte pas toujours l’adhésion, les Français sont en revanche d’une remarquable perméabilité à l’antisémitisme. De ce point de vue, la lutte pour l’espace mental occupé par le juif est plus avancée que la lutte pour l’espace vital occupé par la basse humanité afro-orientale.