Captain Harlock
Démocratie Participative
15 septembre 2021
La vieille youpine Benmachin est hors jeu.
La tyrannie hébraïque qu’elle voulait instaurer au sein du groupe écolo-gauchiste au Sénat a fait long feu.
La sénatrice EELV Esther Benbassa, accusée dans une enquête de harcèlement moral à l’encontre de ses collaborateurs, a été exclue par son groupe au Sénat, a annoncé ce dernier mardi soir. « Après avoir entendu la sénatrice et en conformité avec leur règlement intérieur, les sénateur.trice.s ont décidé d’exclure Esther Benbassa du groupe parlementaire à compter du 15 septembre », précise le groupe Ecologiste, Solidarité et Territoires, dans un communiqué.
« Mme Benbassa n’a pas contredit une partie des témoignages et elle n’a, à ce jour, pas jugé opportun de porter plainte en diffamation contre ces accusations », fait-il valoir pour justifier sa décision.
Les sénateurs du groupe « regrettent que la justice ne soit pas saisie pour des faits d’une telle nature » mais « ne remettent pas en cause (les) témoignages (NDLR : des collaborateurs) et prennent toute la mesure des difficultés que représente souvent l’engagement de poursuites judiciaires ». Ils « réitèrent tout leur soutien à celles et ceux qui ont témoigné d’une grande souffrance au travail », continuent « de travailler sur la prévention du harcèlement moral et sexuel au travail », et mènent « une réflexion plus large sur le sujet avec les élu.e.s, les collaborateur.trice.s et les syndicats ».
La sénatrice a fait part dans un autre communiqué de son « exclusion » du groupe, dont elle a été la vice-présidente et dont elle s’était mise en retrait depuis début juillet. Elle associe cette décision à un « simulacre de procédure interne » et à une « sommation de répondre aux accusations anonymes relayées par un article de presse ».
La décision a été prise « sans transmission de pièces à charge ou à décharge, sans audition de témoins ou de victimes présumées, en violation des dispositions du règlement intérieur du groupe et du principe de présomption d’innocence », déplore l’élue de Paris.
Esther Benbassa indique s’être rendue devant le groupe le 9 septembre « non pas pour me justifier, puisque je ne suis condamnée de rien, mais pour m’expliquer, et réitérer mes excuses pour les maladresses et les erreurs ».
Dans son enquête, Mediapart rapporte les témoignages de huit anciens collaborateurs et six anciens étudiants que l’élue employait à l’École pratique des hautes études. Tous évoquent un climat de « terreur » instauré par la sénatrice, fait de pressions, de chantage à l’emploi et d’humiliations systématiques, souvent à l’occasion de mails, individuels ou collectifs, et de SMS consultés et retranscrits en partie par Mediapart.
Ce n’est une surprise que pour les sots.
La laideur de l’âme de cette grosse juive se lit sur son faciès en forme de patate maquillée.
Quelle vision cauchemardesque.
L’apesanteur et la graisse
L’effronterie du parasite juif faisant le reste, l’intruse, dégueulant ses remugles d’accent oriental, emmaillotée dans le drapeau tricolore, agresse impunément depuis des années la Gaule entière à coup de leçons de francité accusatrices.
Le seul fait que ce tabouret de Judée à triple passeports puisse écrire des lois en France depuis le Sénat dit tout de cette république irrémédiablement sémitisée. C’est le joug colonial à l’état pur, avec la délicatesse et la grâce propres au peuple élu.
La goule levantine n’a même pas de cou. Ni, en fait, de taille.
Allez, à la douche.