La vieille sorcière juive Elisabeth Lévy vous présente la dernière création de la droite hébraïque : « RéacNroll »

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 avril 2019

Être réac’ c’est cool, goy

Ces juifs, mes amis, ces sales juifs n’ont de cesse d’inventer de nouvelles façons de nous empoisonner.

Ils prospectent tous azimuts pour circonvenir le Blanc passablement tiré de son sommeil par la barbarie africaine qui se déverse chaque jour en France grâce aux bons offices de ces mêmes juifs.

La dernière vilaine potion hébraïque que nous sert le rabbinat est un truc appelé « RéacNRoll », une énième création de la vieille sorcière juive Elisabeth Lévy.

Lévy n’a plus bu une seule goutte d’eau depuis 1997

Et qui trouve t’on dans ce machin ?

Cette phénoménale barrique de graisse québécoise Bock-Côté.

Il déborde jusque sur mon clavier.

L’Aryen bien lourd de connerie, chien de cirque qui exécute son tour sous l’oeil amusé de son maître juif.

Ce type nous vend cette came avec des phrases compliquées pour dire, en gros, qu’il faut pouvoir dire ce que l’on veut.

Est-ce que la mère Lévy accepte de parler des questions raciales, de ce concept bizarre d’holocauste ou bien du pullulement des juifs dans les médias ? Ou bien est-ce qu’on va plutôt entendre des rombières enjuivées expliquer que la barbe de Mohammed leur fait craindre la montée de l’antisémitisme ?

Nous avions déjà tous ces nègres à lunettes de la « francophonie » pour s’écouter parler, nous subissons maintenant jusqu’à des Québécois en mal de reconnaissance professionnelle qui se croient avant-gardistes parce qu’ils viennent dégoiser à Paris.

Et d’abord, pourquoi Bock-Côté vient nous faire chier ?

Il débarque de son continent, se place aussitôt au service des juifs une fois arrivé à Roissy et entreprend de nous donner du « tu » et du « toi » pour nous expliquer comment on se soumet à la tribu, comment les choses doivent tourner en France pour que les crochus soient bien au chaud dans nos villes, détendus.

Il y a encore dix ans, tout le monde aurait cru à une caméra cachée si on nous avait collé un trappeur d’Amérique sous le nez pour nous baver dans les esgourdes. Au minimum, le type aurait dû gommer son accent si proprement qu’il en aurait saigné de la langue.

Le niveau baisse vertigineusement.

On doit d’ailleurs à cette énorme pintade un article délirant, proprement délirant sur le « racisme » des Américains.

Lisez un peu ça.

Journal de Montréal :

Pour la grande majorité des Occidentaux, il y a quelque chose d’incompréhensible à voir à quel point l’Amérique peine à se délivrer d’une représentation d’elle-même où la race demeure une catégorie dominante, comme s’il était normal d’en faire usage pour catégoriser la population d’une société moderne. Cet imaginaire racial contribue pourtant au pire enfermement identitaire qui puisse exister en naturalisant les appartenances et en les rendant imperméables entre elles, ce qui excite les tensions intercommunautaires et entretient dans le pays un sentiment de défiance généralisée. Le vingtième siècle aurait dû engendrer une horreur absolue et définitive devant la haine raciale. Mais elle continue de ronger les États-Unis. Pour emprunter un terme en vogue il y a quelques années, on ne voit pas encore poindre une Amérique post-raciale même si le rêve américain, profondément universaliste, demeure au cœur de notre temps.

N’importe quel youtre du Parti Socialiste aurait pu signer un article aussi infectement cosmopolite.

Le crapaud Edgar Morin eut même été plus timide.

C’est précisément pour ça que Bock-Côté a été recruté par la juiverie hexagonale : pour nous servir le versant autoritaire de l’antiracisme juif encore plus nettement, d’un seul jet, en donnant deux ou trois claques à Moktar sur le thème de la laïcité tout en nous faisant un clin d’oeil.

On le retrouvait, en septembre dernier, avec tout ce que Paris compte d’agents du sémitisme international : Glucksmann, Enthoven, Finkielkraut, etc..

Cet événement visait explicitement les « nationalistes » et les « populistes ».

Le bloc juif s’est dit que cet ahuri, avec son accent de bûcheron, sonnerait terroir, rustique, que ça nous ferait tous fermer nos gueules parce que y’a pas plus France profonde qu’un fabriquant de sirop d’érable débarqué de Québec.

C’est pour calmer nos nerfs.

Les juifs tenteront tout.

Ils iront même jusqu’à nous proposer, en chuchottant, l’hypothèse d’un demi nettoyage ethnique, un jour, peut-être, si l’on reste bien polis avec eux et qu’on les laisse aux manettes.

Pour qu’ils puissent continuer de nous submerber, évidemment.

La droite juive, messieurs, de Wauquiez à Marion Maréchal, de Dupont-Aignan à qui on voudra.

Pour ne pas se tromper, pour ne jamais se tromper, deux critères élémentaires :

Le racisme et l’antisémitisme.

L’antisémitisme évite de faire toutes les erreurs. Toutes. C’est comme des lunettes de vision nocturne.

Vous voyez tous les pièges du juif.

Non, Lévy, sale youpine. On a vu ton nez.

NIET

Remballe ton bac à gras.

Commenter l’article sur /dempart/