Captain Harlock
Démocratie Participative
15 juin 2018
Quelle excellente idée que de mettre à la tête de son mouvement une femme.
Ce lundi 11 juin, Frigide Barjot – qu’il convient désormais d’appeler Virginie Tellenne, son véritable nom – a fait part, sur Twitter, de son soutien à la dépénalisation universelle de l’homosexualité auprès du Comité Idaho France, créateur de la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie, qui se déroule chaque année le 17 mai.
Vraiment excellente.
Vous êtes sûrs qu’elles ont les idées claires et des nerfs en acier pour défendre votre cause.
La terreur des femmes est d’être désocialisée, de ne plus pouvoir assouvir leur besoin atavique de mimétisme social. Dès lors qu’elles s’ingèrent en politique, l’obsession de devoir subir les attaques des autres femmes les pousse à subvertir tout de telle sorte que ce danger s’éloigne.
Comme faire entrer des bougnoules, des pédés et des gouines pour lutter contre le mariage des fiottes.
Mais tout cela a pris racine dans un terreau très précis : la réaction petite-bourgeoise catholique. Tous ces ahuris du Salon Beige et autres D’Ornellas qui rampent pour mendier la respectabilité que leur camp, issu de l’ancienne bourgeoisie dominante, regrette tant d’avoir perdu sous la gauche.
Je tiens les Catholiques – et ici je parle des organisations catholiques en général, pas d’individus de valeur – pour totalement ineptes en politique. Nous avons bien sûr des personnes de qualité qui sont catholiques, mais en tant que groupe organisé, c’est une catastrophe objective.
L’essentiel de ces gens passent leur temps à nous empoisonner. Et en fait, à empoisonner leur propre église.
Recevez tout mon soutien. Rien ne justifie l’antisémitisme, ni la violence ou les insultes. Et c’est toujours immonde d’attaquer une famille pour atteindre l’un de ses membres.
— Abbé Grosjean ن (@abbegrosjean) 11 mars 2018
Tout mon soutien à #Mathilde : sa foi catholique vécue, son attachement à sa ville et son engagement au service des autres dans le scoutisme lui donnent légitimement d’avoir été choisie pour incarner Jeanne d’Arc, selon les critères en usage depuis bien longtemps. #Orleans https://t.co/S5o1rRt7sR
— Abbé Grosjean ن (@abbegrosjean) 22 février 2018
Bergoglio n’est pas un « accident », c’est le triste résultat d’une lente dégénérescence parfaitement décrite d’ailleurs en son temps par Mgr Lefebvre. L’évêque spéculait sur diverses théories pour expliquer cet état de fait, sauf à celle, évidente, qui s’imposait : l’organisation elle-même n’avait plus la force vitale, l’énergie pour résister à la dégénérescence judéo-communiste.
Il n’y a plus rien que l’Eglise Catholique n’organise qui ne regorge de juifs, de musulmans, de pédés et, bien sûr, d’une quantité phénoménale de nègres. Le tout étant lié par une sorte de credo misérabiliste passe-partout.
Et c’est donc sur ce terreau que cette vieille putain de Frigide Barjot est apparue.
L’expression la plus éclatante de cette féminisation et de cette pédalisation a été l’incapacité de la Manif Pour Tous de se débarrasser de ces éternels oiseaux de malheur.
On a vu une vieille traînée usée par la drogue et la bite prétendre mener des millions de personnes dans une lutte politique, sans rencontrer d’opposition. Ou, si faible, qu’elle ne pouvait rien.
Cette règle est éternelle : là où les hommes sont devenus trop faibles pour écarter les femmes des affaires publiques, l’anarchie et le déclin se développent inexorablement.