La vieille prof’ boumeuse de Macron interdit la fessée pour discipliner les gosses

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 novembre 2018

 

Les Allemands ont leurs ingénieurs, les Américains leurs businessmen, les Russes leurs KGBistes et la France, ses vieilles profs moraleuses.

Et le propre de ces vieilles profs, c’est de prendre le pays entier pour une classe d’enfants de 6 ans qu’il faut sermonner.

Une nation qui accepte de se faire couper les couilles par une vieille rombière à gueule de chien est une nation qui a fait son temps.

Le semblant d’autorité paternelle qui existait encore va être légalement détruit. Pour que les ovaires de ces vieilles bonnes femmes infectes se sentent mieux.

Tout ça dans un pays où l’ultra-violence métèque est généralisée.

Ce Macron est plus qu’un pédé, c’est lui-même un chiard.

Cette Trogneux le torche du soir au matin et il est évident que c’est elle qui gouverne réellement la France. Macron n’est qu’un fantoche.

Désolé, vous en penserez ce que vous voudrez, mais je ne peux pas prendre au sérieux une armée qui est au garde-à-vous devant une telle danseuse.

C’est effrayant.

Les revues, il y a deux siècles, avaient une toute autre allure.

Jamais, probablement, les élites à la tête de la France n’ont été aussi dégénérées. Ce qui sert de personnel politique masculin est soumis à des femelles, des fiottes et, pire, des juifs.

Même Louis XVI devait avoir plus de virilité dans ses rapports avec Marie-Antoinette que cette fiotte de Macron.

Comment voulez-vous que quelque chose change pour le meilleur si on ne commence pas par admettre que la seule question qui existe, c’est celle de l’homme blanc revendiquant sa domination naturelle dans tous les domaines ?

Or ces femelles prétendent avoir des droits sur nous.

La démocratie est un cancer non seulement parce qu’elle donne le pouvoir aux juifs et aux métèques mais encore parce qu’elle permet aux femmes de voter. C’est-à-dire d’irriguer le corps décisionnel de leurs hormones, paralysant la rationalité et la dureté nécessaire à tout état qui veut vivre.