Brésil : la vérole marxiste en état de panique complet après le retour triomphal du leader fasciste Bolsonaro

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 octobre 2018

 

Bolsonaro est sorti de l’hôpital, ce qui signifie que la tentative d’assassinat fomentée par les rouges a échoué.

Résultat : l’axe judéo-communiste occidental est en ébullition.

Ils ont même organisé un attroupement à Paris initié par une bande de femelles communistes.

La presse juive est tétanisée.

TV5 Monde :

Laura, une Brésilienne installée à Paris depuis environ cinq ans énumère, indignée, les commentaires misogynes du député Bolsonaro : « Devant le Congrès, il a lancé à une députée qu’elle était trop moche pour se faire violer et sur le coup, personne n’a vraiment réagi pour prendre sa défense.

Glorieux, simplement glorieux.

C’est pour cela que je viens manifester, explique-t-elle. Quand elle discute avec ses amies ou des membres de ma famille qui vivent au Brésil, Laura sent la peur qu’elles éprouvent qu’il ne devienne encore plus difficile d’être femme au Brésil, « un pays déjà machiste où les femmes sont souvent instrumentalisées et objectifiées ».

Maria (ci-dessous, en haut à droite), une Brésilienne d’origine française, est venue exprimer sa peur et son désarroi de voir son pays de diriger vers une fracture : « Bolsonaro est un ex-militaire, un fasciste. Même si c’est contre les femmes que ses attaques sont les plus ciblées et précises, Bolsonaro est aussi une régression pour la jeunesse, pour les noirs, les indigènes… » En tête des intentions de vote du premier tour de la présidentielle, le candidat de 63 ans – père de quatre garçons et d’une fillette de sept ans, qu’il qualifie de « moment de faiblesse » – a aussi multiplié les saillies homophobes et racistes. A J-7, il arrive pourtant en tête des sondages pour la présidentielle, avec 27 % à 28 % d’intentions de votes.

Absolument.

Thomas, un jeune Brésilien, a rejoint la foule des manifestants pour défendre les valeurs de respect et d’égalité dans son pays, mais aussi pour contrer la menace d’une dérive autoritaire si Bolsonaro était élu : « Les femmes sont en première ligne de la protestation contre un candidat qui, clairement, ne les respectent pas et ne respectent pas leurs droits. Mais si elles donnent la tonique du mouvement, elles n’en sont qu’une dimension : elles sont le symbole central d’une lutte qui rassemble beaucoup d’autres demandes – des gays, des travailleurs, des démocrates en général contre un grand admirateur de la dictature militaire. »

La gueule du white knight communiste.

Ancien capitaine de l’armée, il qualifie le coup d’Etat de 1964 de « révolution » et affirmait, voici quelques années de cela, que la grande erreur de la junte fut « de torturer et non de tuer ».

Au Brésil, l’élection présidentielle se rapproche : J-7 avant le premier tour de scrutin. En tête des intentions de vote, les extrêmes se font face dans un duel sans précédent. A gauche, Fernando Haddad, candidat du Parti des travailleurs de l’ancien président Lula. De l’autre côté, Jair Bolsonaro, à l’extrême-droite. Après avoir frôlé la mort le 6 septembre dernier, il est sorti de l’hôpital ce 29 septembre, ravivant les polémiques qui entourent sa personnalité et sa candidature.

« Ravivant les polémiques ». Ces terroristes de la presse judéo-communiste regrettent ouvertement qu’il n’ait pas été assassiné.

J’espère que Bolsonaro va atteindre le second tour. S’il y parvient, les marxistes vont jeter tout ce qu’ils peuvent dans les rues. Le chaos dans les rues et, si Dieu veut, la loi martiale.