La vérole cléricale catholique s’empresse d’exhumer le corps de Franco en signe d’alliance avec les socialo-communistes

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 juillet 2018

Ce n’est pas une si mauvaise nouvelle. Voilà qui devrait faire tomber les écailles des yeux des derniers inconditionnels de cette organisation subversive.

FSSPX Actualités :

La Conférence des évêques d’Espagne a déclaré qu’elle ne poserait aucun obstacle au transfert des cendres du général Franco décidé par le gouvernement socialiste qui souhaite reconvertir la Valle de los Caídos en « Centre national de la mémoire ».

Le gouvernement socialiste finalise les préparatifs pour exhumer Francisco Franco. Comme l’a confirmé la vice-présidente, Carmen Calvo le 28 juin 2018, l’exécutif a déjà pris contact avec l’Eglise et la famille du dictateur pour communiquer leur décision de transférer les restes du général en dehors de la Valle de los Caídos.

Etant donné que la nécropole est placée sous la juridiction de l’Eglise, l’accord de cette dernière est nécessaire avant d’entamer toute procédure, ce qui semble déjà acquis, si l’on écoute la déclaration du porte-parole de la Conférence épiscopale, en date du 28 juin 2018 : « l’Eglise n’a jamais décidé qui devait être inhumé à cet endroit, elle ne va pas décidé qui doit y rester ou non », a-t-il affirmé, dans une formule que Ponce-Pilate n’aurait certainement pas dédaignée.

Carmen Calvo a précisé que le transfert des cendres de Franco était une question de jours : « nous souhaitons le faire le plus tôt possible ». De manière préventive, et afin d’éviter tout trouble à l’ordre public, la garde civile a d’ailleurs été renforcée près de la tombe de l’ancien chef d’Etat espagnol.

Voilà une leçon comme il en est peu. Franco, le sauveur de la boutique catholique, exhumé avec obséquiosité par les papistes.

Sur cette question, mieux vaut se référer à Adolf Hitler qui fut aux premières loges de toute cette affaire puisque c’est son aviation qui sauva la mise de Franco.

Le Führer est souvent revenu sur la situation espagnole et en cela, comme sur le reste, l’homme était d’une parfaite lucidité. Il déclare en 1942 :

S’il n’y avait eu le danger du péril rouge submergeant l’Europe, je ne serais pas intervenu dans la révolution en Espagne. Le clergé aurait été exterminé. Si ces gens devaient reprendre le pouvoir en Allemagne, l’Europe sombrerait à nouveau dans les ténèbres du Moyen-Âge.

Puis poursuit :

Les activités de l’Eglise en Espagne ne sont pas différentes de celles de l’Eglise Catholique dans notre pays ou, en fait, de celles de la plupart des églises de n’importe quel pays. N’importe quelle église, dans la mesure où elle est en position d’exercer une influence sur le régime civil,  ne soutiendra ou ne tolérera, par principe, un régime que dans la mesure où celui-ci ne connaît et ne reconnaît de forme d’organisation populaire autre que celle placée sous l’égide de l’Eglise, devenant par conséquence dépendante, pour les besoins générales de l’administration, de la seule Eglise en tant que seule direction légitime du peuple.

Sauf si elle renonce à cette lutte pour le pouvoir, qui est inhérente à n’importe quelle église qui se mêle de politique, l’Eglise en Espagne ne peut reconnaître le présent régime, qui a créé en la Phalange une organisation pour sa propre direction du peuple espagnol. Il n’y a en conséquence qu’une seule chose que la Phalange peut faire pour établir des relations définitive avec l’Eglise et cela consiste à limiter celle-ci aux questions religieuses, c’est-à-dire, aux questions surnaturelles. Si quelqu’un laisse une seule fois l’Eglise exercer la plus légère influence sur le gouvernement du peuple et l’éducation de la jeune génération, elle luttera pour devenir omnipotente et l’on commet une grave erreur si l’on pense que l’on peut faire de l’Eglise une collaboratrice en acceptant un compromis.

La situation internationale et les intérêts politiques de l’Eglise Catholique rendent inévitable un conflit entre l’Eglise et le régime de Franco et une nouvelle révolution devient à nouveau une réelle possibilité.

En d’autres termes, le ramassis clérical associé à la réaction aristocratique, loin d’avoir tiré les leçons de la guerre, était occupé, seulement 3 ans après la fin du conflit, à restaurer sa prédation à l’encontre du peuple espagnol.

Opération qui se terminera, de la part de Franco, par la liquidation de la Phalange au profit de la mafia cléricalo-monarchiste. Ce qui, en retour, ne pouvait que pousser le prolétariat espagnol dans les bras des rouges.

Hitler ne s’est pas trompé : il ne fallut pas 30 ans aux socialo-communistes et aux démocrates pour reprendre le pouvoir et faire de l’Espagne une colonie de la finance internationale.

Hitler poursuit en donnant la formule des Fascistes italiens sur le sujet :

L’on ne peut que trop clairement, à travers des choses de cette sorte, que l’Etat Espagnol court vers un nouveau désastre. Les prêtres et les monarchistes – les mêmes ennemis mortels qui se sont opposés au redressement de notre propre peuple – se sont alliés pour prendre le pouvoir en Espagne. Si une nouvelle guerre civile éclate, je ne serais pas surpris de voir les Phalangistes contraints de faire cause commune avec les rouges pour se débarrasser du troupeau cléricalo-monarchiste. Quelle pitié que le sang versé en commun par les Phalangistes, les Fascistes et les Nationaux-Socialistes durant la guerre n’ait pas apporté de meilleurs résultats !

Mais en Espagne, malheureusement, on trouvera toujours quelqu’un pour servir les intérêts politiques de l’Eglise. Que Fascistes se soient vus épargner une seconde guerre civile vient du fait que le mouvement, initié à Rome, a réussi a unir la nation italienne en dépit de l’opposition de l’Eglise. Mieux, le Fascisme a clairement défini les champs qui tombent la sphère de l’Eglise et ce qui tombe dans la sphère de l’Etat. Quand l’Eglise a refuse de signer la loi créant l’Organisation de la Jeunesse Fasciste, les Fascistes ont répliqué en brisant sans répit toutes les processions religieuses dans Rome jusque dans le sud de l’Italie. Le résultat ne tarda pas puisque 3 jours plus tard l’Eglise plia le genou.

Ce Franco n’a jamais été un révolutionnaire et son régime n’a jamais eu la moindre chance de survie, précisément pour les raisons exposées par Hitler.

Les dignes héritiers de Franco sont parfaitement représentés par la bourgeoisie réactionnaire que nous avons vu agir en Irak aux côtés de Bush et encore récemment, au profit de l’UE, sous la direction de Rajoy. Ces gens rançonnent le peuple espagnol pour le compte de la finance juive, offrant le pays aux marxistes à mesure que la situation financière devient intenable.

L’incapacité des nationalistes espagnols à se départir de Franco et de son héritage les condamne à se discréditer aux yeux de la population. Pire, ils se commettent avec son bilan alors que la prêtraille perfide passe, avec armes et bagages, du côté des socialistes, portés à bout de bras par l’UE et la finance juive. Quitte à bazarder le cadavre du Caudillo dans l’opération.

Le fait est que rien de nationaliste ne peut émerger dans ce pays en raison des restes faisandés du franquisme que sont droite soumise à la banque juive, toxine cléricale et monarchie anglophile.

En France, cette même bienveillance à l’égard de la prêtraille nous a aliéné des millions de prolétaires qui ne nourrissaient aucune espèce d’illusion à son égard.

Et cette arnaque se poursuit, habilement agitée par la droite levantine, permettant ainsi à la gauche radicale de nous couper du prolétariat :

Vous aurez toujours ces Ciotti et Fillon pour brandir la Bible en public tout en étant dans la même fraternelle parlementaire que le dernier membre du Grand Orient du Parti Socialiste.

Le seul vrai sujet, la question raciale, permet cependant de toujours clarifier les choses.

Pour ne pas parler de la sujétion à la vermine juive.

Voilà qui doit en tout cas nous guérir, chez nous, de toute tentation du même ordre.

Nous devons repousser, avec vigueur, toute idée de collusion avec la bourgeoisie dégénérée au motif qu’elle irait à la messe une fois l’an. Nous n’avons rien de commun avec ces gens-là, les Wauquiez et consorts. Ces enjuivés ne se connaissent qu’un maître : le juif.

C’est-à-dire ceux que courtise assidûment cette idiote nymphomane de Marion Maréchal ex-Le Pen.

Nous aurons toujours cette maçonnerie catholico-démocratique sur le dos. Si quiconque est assez idiot pour lui accorder un quelconque ascendant moral, il finira dévoré vivant, la curaille l’ayant culpabilisé à outrance pour le compte des juifs. Chaque évêque est un auxiliaire de Raphaël Glucksmann et de Bernard Henri Lévy, seuls véritables cardinaux de France.

Chez nous, nous avons encore des gens qui nous parlent des Croisades et de Lépante comme si 1000 ans ne s’étaient pas écoulés depuis.

Au XXIème siècle, cette organisation parasitaire se nourrit de l’énergie vitale du peuple et ne peut que se coaliser avec tout ce qui agit de même : pédés, juifs, mahométans, nègres, communistes, maçons. Lors du Mariage Pour Tous, c’est aux pieds de Hollande qu’est allée se prosterner la canaille cléricale menée par XXIII tandis qu’un million de Français défilaient dans les rues.

D’ailleurs, il est plus qu’urgent, au vu de l’infiltration islamo-nègre soutenue par la lèpre cléricale, de mettre toute l’affaire sous séquestre et d’expulser hors de chez nous tout ce qu’il reste d’évêques oeuvrant pour le compte de l’agent des juifs qui trône au Vatican.