Capitaine Harlock
Démocratie Participative
25 octobre 2017
Un gigantesque montage servant à la régularisation de crevards clandestins a été mis en place au sein de l’Université de Lille. Son cerveau : la repoussante truie communiste Nathalie Ethuin.
« On aime à dire qu’ils sont les premiers étudiants de la future université de Lille », s’enthousiasme Nathalie Ethuin, référente dans le dispositif d’apprentissage du français et d’orientation pour les réfugiés. Depuis un an, les campus de Lille I, Lille II et Lille III accueillent 80 réfugiés ou demandeurs d’asile, tous passés par la « jungle » de Calais démantelée en octobre 2016. Les trois établissements répartis dans la métropole lilloise doivent fusionner en janvier prochain. « Ce projet d’accueil et de scolarisation est un véritable projet commun » souligne la maître de conférences.
Nathalie va avoir d’autres raison de « s’enthousiasmer ».
Mais poursuivons.
Riaz a 30 ans. Originaire du Pakistan, il a obtenu en avril dernier le statut de réfugié. La « Jungle », le trentenaire l’a arpenté pendant près de deux ans. « J’y ai vécu, puis j’ai trouvé une place dans un foyer. Plutôt que de rester à ne rien faire, j’ai voulu aider les associations présentes sur place ». Pendant de longs mois, Riaz fait office d’interprète aux côtés des militants de l’ Auberge des migrants et de Médecins du Monde. Au printemps 2016, une délégation d’enseignants et d’étudiants de la fac lilloise va à la rencontre des migrants bloqués dans la jungle. « C’est à ce moment-là que j’ai entendu parler de ce projet d’inscription », poursuit Riaz.
Les fameux réfugiés syriens du Pakistan. Ce pays ravagé par les Pakistanais.
Le démantèlement de la jungle signe le début du programme pour les 80 réfugiés sélectionnés par les trois établissements lillois. Au total, 200 dossiers ont été déposés. Après six mois de cours de français intensif, Riaz a démarré il y a quelques semaines sa première année de licence. « J’ai choisi Information-Communication. Mon objectif, ce serait de devenir journaliste », confie le jeune homme.
6 mois de français et voici ce sale crouille à l’université. Le Français autochtone quant à lui devra quand même faire 15 ans de scolarité avant d’y être admis, n’exagérons quand même pas.
Et demain, comme « journaliste », Mokhtar sera à la Voix du Nord pour lutter contre les Blancs en protégeant ses frères de race occupés à violer des Françaises mineures.
Comme à Roterham.
Les universités françaises ne sont en réalité que des centres où le gouvernement emploie fictivement les militants communistes.
Cette fameux « maître de conférence » Nathalie Ethuin en est la caricature. Un simple tour sur sa fiche professionnelle résume le problème. Voici quelques publications de ce tas de graisse infect :
• « Les écoles du PCF, un espace d’enchantement militant pour des intellectuels. Notes à partir d’un entretien réalisé avec Michel Simon », Espaces Marx Nord, 2017
• Coordination du dossier « Les janus de l’extrême droite », Espace Marx Nord, 2015
• Avec Yasmine Siblot, « De l’éducation des militants à « la science de la lutte des classes » à la formation de « syndiqués acteurs » à la CGT », dans La fabrique du sens syndical.
• « Faire ses classes au PCF. Expériences de militants d’origine populaire sur les bancs des écoles», Revue Espace Marx Nord, n° 27-28, premier semestre 2010
C’est une agitatrice trotskiste anti-stalinienne rémunérée par l’Éducation Nationale pour embrigader les bordées d’étudiants qui lui sont confiées.
Et quand elle a du temps, elle recrute 80 métèques musulmans pour les faire régulariser au sein de l’Université de Lille.
Voici la sale gueule de cette verrue rouge dans ses œuvres.
Comme vous le savez, le temps où les traîtres pouvaient nous poignarder dans le dos est révolu. Ils doivent désormais s’expliquer.
C’est donc le moment de faire valoir votre opinion à son adresse électronique professionnelle.
On notera qu’elle est dans les Pages Blanches.
Bien sûr, il s’agit ici d’une démarche de paix, non-violente. Un appel à la raison et à la modération. Une initiative résolument pacifique visant à nouer un dialogue courtois et sans arrière-pensée.