Captain Harlock
Démocratie Participative
04 août 2021
Le système commence à préparer la masse vaccinée à l’enfer perpétuel qui l’attend.
La chaîne de Patrick Drahi leur en dit plus.
BFMTV :
Déjà administrée pour les personnes sévèrement immunodéprimées, bientôt ouverte aux premiers éligibles à la vaccination, l’idée d’une troisième dose pour toute la population fait son chemin en France. Une question pertinente mais prématurée selon les autorités sanitaires.
Cette idée ne fait son chemin que parce que les hiérarques juifs du cartel médiatico-pharmaceutique le veulent.
Personne dans la rue n’en parle.
Seuls les médias juifs en parlent.
C’est ce que l’on appelle un « débat » en démocratie : quand les juifs veulent imposer quelque chose, ils en informent la plèbe par leurs médias. Quand la plèbe a été suffisamment matraquée par leur propagande, les juifs déclarent que tout le monde est favorable à leur idée puis ils ordonnent au gouvernement d’exécuter leur décision.
A aucun moment cette idée n’a été autre chose qu’une idée juive.
Une réalité en Israël, bientôt aussi en Allemagne, au Royaume-Uni, et en France. Dans un contexte de quatrième vague et de probables recrudescences de l’épidémie de Covid-19 dans les mois voire les années à venir, la question de l’immunité collective – et donc de la couverture vaccinale – joue un rôle crucial.
L’immunité est pour bientôt goy !
Encore vingt ans d’injections et c’est bon !
Emmanuel Macron a toutefois fait savoir lors de son allocution du 12 juillet dernier que les premières personnes éligibles à la vaccination « verront prochainement leur taux d’anticorps baisser, leur immunité diminuer ».
Conséquence: le président a annoncé qu’il sera possible de bénéficier – pour les personnes vaccinées au début de la campagne – d’une troisième injection du vaccin contre le Covid-19 « dès la rentrée ». Sont donc censées être concernés les plus de 75 ans, les personnes souffrant de pathologies augmentant fortement le risque de contracter une forme grave de la maladie et les résidents d’Ehpad.
Le périmètre exact des personnes qui se verront proposer un rappel vaccinal contre le Covid-19 à la rentrée devrait faire l’objet d’un arbitrage « la semaine prochaine », a annoncé mardi le ministère de la Santé, rapporte l’AFP.
À ce stade, le ministère de la Santé, interrogé par nos confrères du Monde, précisait que la liste n’avait pas encore été définie: « les arbitrages ne sont pas encore rendus, mais devraient l’être d’ici à la mi-août ». Dans un avis en date du 6 juillet, le Conseil scientifique considérait pour sa part que cette troisième dose devait concerner « les personnes de plus de 80 ans résidant en Ehpad ou à domicile, ainsi que les patients immunodéprimés au sens large ».
Dans les faits, la troisième dose est déjà administrée en France. La Direction générale de la Santé recommande depuis avril l’injection « d’une troisième dose de vaccin à ARN messager […] chez les personnes sévèrement immunodéprimées. »
Le mois de septembre constitue donc une nouvelle étape en ce sens qu’il élargit la catégorie de la population éligible à ce rappel. Avant une troisième injection du sérum pour tous? « Pour l’instant on n’en est pas là », a rétorqué lundi matin le professeur Alain Fischer.
« Pour l’instant », comme le précise le juif Fischer.
En yiddish, cela veut dire oui.
La Haute Autorité de Santé, saisie par la Direction générale de la Santé sur cette question, a rendu un avis le 16 juillet dernier. Elle indique dedans qu' »il n’y a pas lieu pour le moment de proposer une dose de rappel en population générale » et que la priorité doit être donnée aux primo-injections et aux deuxièmes doses.
Plusieurs médecins estiment toutefois qu’il faudra aller plus loin pour s’assurer d’une protection suffisante contre les variants et les futures souches du virus qui émergeront. Selon le médecin généraliste Pascal Dureau interrogé sur BFMTV, l’hypothèse d’une troisième dose de vaccin est « un peu anticipée, mais on sera probablement obligés de le faire ». Pour Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Tenon à Paris, l’administration d’une troisième dose à la population générale est « inéluctable ».
« Après il faut savoir si cette troisième dose est liée au facteur temps ou si c’est une troisième dose pour mieux s’adapter aux variants. Ce sera sans doute les deux », avance l’infectiologue sur LCI, jugeant au passage « très choquant » le choix des laboratoires de rénégocier à la hausse le prix de leurs vaccins en Europe.
Une option également jugée intéressante par la Haute autorité de Santé dans son dernier avis rendu.
« La pertinence d’un rappel en population générale pourrait être établie si une diminution de la protection contre la Covid-19 dans le temps était mise en évidence sur la base d’échecs vaccinaux constatés en vie réelle […] ou si un nouveau variant ‘résistant’ aux vaccins actuellement disponibles émergeait sur le territoire« , avance enfin la HAS.
Un « nouveau variant résistant aux vaccins » : c’est ce dont nous parlons ici constamment.
C’est aussi ce dont le système ne parle pas aux masses zombifiées qui se font vacciner par millions, pensant que deux doses de poison achetées à des prix délirants à (((Pfizer))) suffiront à leur rendre leur vie normale.
Il n’y aura pas de retour « à la vie normale ». Cette vie a été irréversiblement anéantie par le système colonial juif. L’objectif de cette arme biologique est d’empêcher tout retour en arrière.
Jamais il n’a été question d’obtenir l’immunité collective. Pour s’en assurer, dès le début suffisamment de variants ont été disséminés pour faire de la vaccination un accélérateur de la pandémie, surtout avec la technologie employée qui fait de ce faux vaccin un simple médicament temporaire.
Les « rappels » ne serviront à rien en raison du péché antigénique originel. Les anticorps produits seront adaptés à la première édition du virus, pas aux variants résistants.
Alors, l’écrémage des bouches inutiles pourra commencer et la gestion par la terreur s’intensifier pour établir l’ère du bolchevisme intégral.