La traînée marxiste à la tête de la Nouvelle-Zélande se convertit à l’islam pour légitimer la haine de l’homme blanc

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 mars 2019

 

Je ne sais pas quelle image vous avez de la Nouvelle-Zélande.

En toute probabilité, la seule chose que vous avez jamais eu à l’esprit en pensant à la Nouvelle-Zélande jusqu’à présent, ce sont les décors du Seigneur des Anneaux.

Si c’est votre seule vision de la Nouvelle-Zélande, vous devez sérieusement reprendre contact avec la réalité car votre imagination vous joue des tours.

De sales tours.

Vous savez certainement que l’Australie a adopté, au moins à ses frontières, une politique de contrôle strict de l’immigration illégale. N’importe quel envahisseur arrêté alors qu’il tente de pénétrer sur le territoire par voie maritime est immédiatement interné dans un camp de rétention, sur une île.

Si un envahisseur du tiers-monde est arrêté, ses données biométriques sont enregistrées par l’Etat et il lui est interdit à vie de poser un pied dans le pays.

Jacinda Ardern, la traînée néo-communiste qui sert de chef de gouvernement à la Nouvelle-Zélande, a régulièrement indiqué qu’elle voulait, à tout prix, prendre le relais de l’Australie si ce pays s’entêtait à interner les clandestins, notamment musulmans, qui se ruent sur les côtes du pays depuis des années.

Lorsque le gouvernement raciste noir d’Afrique du Sud a lancé, l’année dernière, le processus de nettoyage ethnique à grande échelle des fermiers blancs sud-africains, elle s’est opposée à toute condamnation publique de ce projet par le parlement néo-zélandais.

Le socialisme vaginocrate

Ardern est une gauchiste endurcie. En 2017, elle qualifiait par exemple le capitalisme « d’échec flagrant » sans visiblement s’intéresser à ce qui passe dans le Pacifique, notamment comment, en 3 décennies, la Chine est devenue une superpuissance économique après avoir abandonné les théories marxistes débilitantes.

Le schéma économique de ces socialistes internationalistes est assez simple : subjuguer fiscalement l’économie nationale, nourrir des monopoles politiquement alliés, compenser par l’entrée de migrants du tiers-monde, futurs contribuables théoriques, l’accroissement indéfini des taxes dont ils ont besoin pour acheter les votes.

Ces gens gèrent une pyramide de Ponzi qu’ils vendent au nom de slogans commerciaux bien connus que sont « droits de l’homme », « tolérance », « lutte contre le racisme », « droits des femmes », « égalité des chances » et autres abstractions.

La Nouvelle-Zélande est un état socialiste peuplé d’environ 4,8 millions d’habitants. Il est gravement infecté par le virus judéo-féministe parfaitement illustré par les déclarations récentes de Julie Anne, « ministre des Femmes » – lol -, proclamant que « les vieux hommes blancs doivent dégager » des postes à responsabilités au sein des entreprises.

Cette politique n’est pas limitée à la Nouvelle-Zélande. En France, le gouvernement Macron a annoncé un programme de type soviétique du même genre.

La principale conséquence de cette politique explicitement tournée contre la base masculine blanche est l’effondrement racial du pays.

En 1970, 90% des Néo-Zélandais étaient blancs. Ils étaient 80% en 2001. Ce chiffre s’effondrait de 13% à 67% en 2006 avant de rebondir à 74% en 2013. Essentiellement grâce à l’immigration britannique et sud-africaine.

En 2018, ce chiffre retombait à 71%.

Le souvenir même de l’ordre impérial britannique, donc de la domination blanche, attise tellement la haine du système qu’il a été jusqu’à poser par référendum la question de l’abolition du drapeau néo-zélandais pour le remplacer par un visuel « inclusif ». C’est-à-dire pro gens marrons.

Opération de tabula rasa antiblanche qui a échoué.

La haine des traînées féministes

D’une manière plus générale, je crois fermement en la psychomorphologie. La tronche d’un individu dit toujours tout ce qu’il faut savoir de lui en quelques instants.

Sean Connery a une gueule de mâle alpha et c’est un mâle alpha. Il revendique haut et fort la nécessité pour un homme de savoir gifler une traînée quand elle veut régenter un homme.

La morphopsychologie de Jacinda Aspern vaut tous les aveux du monde.

Cette garce arrogante, avec son râtelier chevalin, avoue sans prononcer un mot. C’est une idiote qui pontifie du haut de l’Olympe de la connerie féminine.

Observez cet oeil désespérément vide qui recherche l’attention tout en prétendant donner quelque chose aux autres.

Les ménagères qui envahissent de leur médiocrité la politique sont universellement des putes par définition.

Ici, il ne faut pas se tromper.

Ce ne sont pas les femmes qui rendent la politique médiocre. C’est parce que la politique est médiocre que les femmes peuvent y pénétrer.

Pour revenir à Ardern, cette histoire d’attentat dans une mosquée a été le plus grand moment de sa vie.

Parce qu’elle a enfin pu, aux yeux du monde, faire la seule chose qui l’excite : s’exhiber en train de haïr l’homme blanc devant un public international de mâles marrons.

Pour les exciter sexuellement et donc obtenir l’attentation masculine la plus large possible.

De manière révélatrice, les hommes féminisés et les tapettes font la même chose.

Regardez, une nouvelle fois, le regard de cette traînée alors qu’elle s’exhibe en putain soumise.

Cet oeil mendiant l’attention tout en feignant d’en donner.

Vous connaissez beaucoup de femelles « émancipées » qui affectent de mettre, devant les caméras du monde entier, un voile islamique, signe de soumission à la bite circoncise mahométane ?

Il n’y a pas plus de féminisme que de beurre en broche : c’est une mise en compétition délibérée des mâles sur la base de leur appartenance raciale et communautaire.

Mettre un voile islamique permet précisément, sans même prononcer un seul mot, de s’adresser directement aux mâles musulmans pour leur dire : « Je vous suis sexuellement soumise, regardez-moi ».

Vous avez là en action le plus parfait cynisme de ces putains blanches que sont les « féministes ».

Les femmes blanches révoltées contre les mâles de leur propre groupe racial sauteront sur n’importe quelle occasion pour mettre en scène, devant les mâles marrons, leur distance vis-à-vis de l’homme blanc. C’est-à-dire leur disponibilité sexuelle symbolique grâce à laquelle elles peuvent obtenir leur attention.

Sans la carotte de la chatte, ces traînées ne parviendraient jamais à amener les mâles dans leur filet.

Ces putains blanches camouflent la vente aux enchères de leur cul par l’imposture de l’altruisme.

Mais derrière cette mascarade se cachent des veuves noires.

De véritables meurtrières prêtes à détruire des millénaires de culture pour quelques secondes d’attention.

Ces veuves noires doivent être tenues par l’homme d’une main d’airain. Comme ce que nos aïeux ont fait pendant des millénaires.

Ce qui suppose de rétablir le statut initial des femmes blanches : un bien mobilier dont le propriétaire légal est le mari.

C’est-à-dire le rétablissement du gynécée, que ça plaise ou pas.

Cependant, je ne me raconte pas d’histoires : l’homme blanc, aujourd’hui, est faible, féminisé, donc indécis, passif, pusillanime.  Il ne va pas, sur la base d’une analyse rationnelle de la situation, devenir fort, masculin, réfléchi, actif, audacieux.

Il continuera de trouver des excuses à ses propres défaillances.

C’est la succession des catastrophes, à un rythme toujours plus rapide, qui va le contraindre, contre sa volonté et fainéantise même, de revenir à la loi patriarcale.

Paradoxalement, plus le système fémino-marxiste juif place de femelles en position de responsabilité, plus le système défaille.

Notre première inclination est de virer ces femelles prétendant pouvoir jouer les mecs de là où elles squattent indûment. Cependant, pour en finir, c’est exactement l’inverse que nous devons faire. Mettre le plus de femmes possible dans le plus de postes à responsabilité possible pour obtenir l’effondrement complet de la démocratie juive égalitariste.

Il faut pousser cet arbre pourri et rire à gorge déployée à chaque fois qu’une de ces traînées reçoit dans les dents le salaire de sa son arrogante stupidité.