Captain Harlock
Démocratie Participative
29 mars 2019
Ceci a été peint par une fiotte, oubliez ça
Cours de rattrapage pour les garçons voulant se plier en quatre pour des pétasses.
Quatre jours après son agression, à Paris, Laura Calu se dit toujours « révoltée ». Révoltée contre le système, l’indifférence et les racistes et même une certaine presse. Elle a accepté de répondre à Var-matin.
Laura Calu donnera son premier spectacle, ce mercredi soir à Toulouse, après son agression de samedi et surtout l’incroyable buzz de sa story sur Facebook, vue plus de 700.000 fois.
C’est dans le train qui la conduisait jusqu’à la Ville Rose que l’humoriste brignolaise a bien voulu parler à Var-matin, ce mercredi, précisant qu’elle ne « répondra pas à de nombreuses questions ».
« Je suis révoltée », lâche d’emblée Laura Calu. « Révoltée par la situation! Je sais que cela aurait pu être plus grave. »
Et de poursuivre: « Mon copain a perdu deux dents, c’est pénible mais c’est comme ça. Mais je pense à la jeune fille qui a été poignardée à Marseille pour un téléphone portable. Combien de fois l’auteur avait-il agressé des gens avant d’en arriver là ? Et aujourd’hui, on dit: ‘Ohlala… C’est terrible.’ Mais pourtant, il ne se passe rien ! Rien !«
Elue Varoise de l’année en 2017, Laura Calu a reçu de nombreux commentaires sur les réseaux sociaux depuis la publication.
Elle tient à être claire. « Que les racistes se calment tous, et tout de suite! Ce que je fais, je le fais pour tout le monde! Les noirs, les blancs, les bleus ! Si on en arrive là, c’est aussi à cause des racistes ! »
Laura Calu a porté plainte. « On m’a dit que ça ne servirait à rien! Ils feront deux jours de garde à vue et ils n’iront pas en prison… Et bien je taperai plus haut s’il faut mais il faut qu’il se passe quelque chose! on ne peut pas rester comme ça. On a tous le droit d’être en sécurité. Et quel que soit le quartier! Moi je vis dans un quartier populaire de Paris et j’aime ce quartier! Mais il faut qu’on s’occupe de nous! Que quelqu’un nous tende la main ! je vais me renseigner et taper plus haut ! Il faut qu’on arrête de nous prendre pour des c… »
« Il faut qu’on s’occupe de nous ».
Comprendre : « Pour que mon rêve de pétasse à métèques merdique puisse continuer, vous les mecs blancs devez réagir ».
NON GROSSE PUTE
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NON GROSSE PUTE
NON GROSSE PUTE
NON GROSSE PUTE
NON GROSSE PUTE
NON GROSSE PUTE
NON GROSSE PUTE
NON GROSSE PUTE
De grâce, ne risquez jamais vos vies pour sauver des traînées inconnues qui se font attaquer par des arabes ou des nègres.
Passez votre chemin après avoir alerté la police.
Je vous dis d’alerter la police pour une seule raison : ne pas être poursuivi pour non assistance à personne en danger par ces mêmes traînées.
Vous ne pouvez rien gagner, absolument rien en vous mêlant de ce type d’histoires.
Point numéro 1 : ne risquez pas votre vie
Si vous intervenez, en premier lieu, vous risquez un coup de surin pour les yeux d’une pétasse qui continuera de prêcher l’amour des métèques. D’autant que rien n’excite plus les femmes que de voir des mecs saigner inutilement pour elles.
Votre vie est précieuse, ne la mettez pas en danger pour une gonzesse.
SAUF
- Si c’est votre compagne
- Votre fille
- Votre mère
C’est tout, basta.
Point numéro 2 : jouer aux putes a un coût net
Ensuite, ces traînées blanches doivent savoir que se comporter en putes dans les zones à forte concentration allogène charrie son lot de conséquences désagréables, dont, mais non exclusivement, les insultes, le harcèlement, les coups, le vol, le viol voire, pour les plus chanceuses, le meurtre.
Elles veulent faire les putes en sortant seules, c’est-à-dire en refusant la tutelle de leur père, de leur mec ou de leur frangin ? Aucun soucis : qu’elles assument les inconvénients.
Il n’y aura pas de superman blanc pour les sortir de la fosse à purin raciale dans laquelle elle adore se baigner.
Dans ce cas d’espèce, cette sinistre pute était flanquée de son mec dans le quartier à métèques où elle avait délibérément choisi d’habiter en raison de sa forte concentration de mélanine. Cette femme, peu importe ce qu’elle raconte, s’est sciemment mise en danger pour tester son mec.
Et son mec s’est fait exploser la tête.
D’ici peu de temps, elle va se débarrasser de lui et chercher une armoire à glace. Garanti sur facture. Le couillon édenté en sera pour ses frais.
Point numéro 3 : les pétasses de juges rouges
Autre élément, la justice rouge et ses légions de magistrates féministes haineuses.
Si vous réagissez en stoppant Toufik, elle vous écrasera en tant qu’élément factieux blanc, dominateur et raciste.
Si vous ne réagissez pas pour sauver une princesse française qui écarte les cuisses devant Mohamed, les magistrates détruiront votre vie parce que vous n’avez pas sacrifié votre vie pour une précieuse traînée qui se baladait seule au milieu des mâles marrons.
N’oubliez pas : vous êtes censés, dans cette démocratie judéo-féministe, tout mettre en oeuvre pour que les femmes qui vous reviennent de droit, i.e. les Blanches, soient offertes aux métèques. La moindre trace de mauvaise volonté, de résistance passive ou pire, de résistance active fait de vous un ennemi du gouvernement juif.
Vous devez garantir, aux yeux du gouvernement juif, les conditions de sécurité optimales pour que ces traînées couchent avec des métèques. Si vous esquivez, vous serez détruit.
Donc, pour éviter votre destruction sociale, choisissez la voie du milieu : APPELEZ LES FLICS, RIEN DE PLUS.
Interrogé par la suite, vous dites : « Je respecte l’état de droit, je ne peux pas faire justice seul. La police républicaine est seule fondée à intervenir et je m’y conforme, madame le juge. »
Laissez cette république judéo-cosmopolite se noyer dans sa propre chiasse.
N’intervenez jamais si vous n’avez pas de billes dans la partie.
Point numéro 4 : les chevaliers blancs perdent tout le temps
Avec ces traînées, l’homme blanc est toujours la variable d’ajustement.
Cette pute de Laura Calu ne va pas changer de discours au sujet de l’utopie diversitaire tant promue par son milieu d’appartenance ni récuser l’excitation sexuelle que lui procure la proximité des mâles marrons agressifs.
Pour maintenir sa position sociale, elle doit continuer de prêcher le conformisme antiblanc.
Comme elle ne peut décemment pas se remettre en question sans perdre sa place dans le show-business ni critiquer les métèques, les hommes blancs doivent payer le coût de la violence afro-maghrébine.
Les « racistes » comme elle dit.
Plus ces gonzesses se foutent dans la merde, plus elles blâment les hommes blancs de les laisser se foutre dans la merde.
C’est d’ailleurs logique : la réactions des femmes, sans qu’elles n’en aient conscience, témoigne de ce qu’elles ne comprennent pas comment des mecs blancs peuvent les laisser libres de faire ce qu’elles veulent.
Point numéro 5 : pupute libérée doit s’assumer
Le deal est clair : soit la femme est la propriété mobilière de l’homme avec les obligations que cela implique pour les deux, soit la femme joue la traînée et passe à la caisse comme une grande.
Il n’y a pas de moyen terme.
Vous devez leur dire qu’il n’y a pas de moyen terme, pas d’arrangement, pas de négociations.
De quoi découle que les pétasses qui sortent seules dans n’importe quelle ville française, moyenne ou grande, ne sont pas fondées à se plaindre de quoi que ce soit. Elles savent que les arabes et les nègres ont décrété l’ouverture de la chasse, elles doivent assumer.
La société multiraciale qu’elles adorent a un coût, elles ne peuvent pas passer leur temps à jouer sur les deux tableaux en crachant sur les Blancs « racistes » d’un côté et de l’autre venir chialer dès qu’elles doivent affronter les conséquences de leurs propres désirs de putes.
Un exemple pédagogique : d’après vous, que se passerait-il si demain la police – c’est-à-dire essentiellement des mecs – cessait d’intervenir pour protéger les traînées pendant qu’elles font les traînées ?
Bingo : elles devraient se trouver un tuteur.
Tout se tient.
Les flics n’ont pas à jouer les bodyguards de ces pétasses « émancipées ». Cela tombe bien : au vu du nombre de mâles afro-maghrébins qui prolifèrent en France, les flics n’ont plus le temps de jouer les tuteurs pour ces pétasses.
Encore une fois : la société multiraciale et la dérégulation du marché sexuel a un coût pour les traînées. Qu’elles assument.
Si une Blanche file droit et se soumet à son mec, elle ne sortira pas sans son accord. En retour, il veillera à ce qu’elle ne sorte pas seule n’importe où.
Les lois immuables de la nature ne peuvent pas être abolies. Toute tentative de révolte contre elles se termine par la destruction de l’impudent qui a osé les violer.
Et c’est très bien ainsi.