La rédaction
Démocratie Participative
28 décembre 2023
Les noirs se révoltent contre Bergoglio, le lieutenant de Satan sur terre.
Ils ne veulent rien savoir de l’ordre donné par le pape anal de bénir les sodomites qui se masturbent mutuellement dans l’ampoule rectale.
BFMTV :
Tensions au sein de l’Église catholique. L’autorisation de la bénédiction des couples de même sexe – en dehors de tout rituel liturgique – qui a été officiellement approuvée par le pape François le 18 décembre dernier ne fait pas l’unanimité.
À savoir que selon l’Église catholique, la bénédiction « consiste à invoquer la bienveillance divine sur une personne ou une assemblée » et n’a donc rien à voir avec « le sacrement du mariage » qui reste, lui, exclusivement réservé aux couples hétérosexuels, comme le rappelle la déclaration Fiducia supplicans.
Si certains prêtres se sont réjouis de cette avancée la frange traditionnelle de l’Église catholique s’en est offusquée. Les représentants africains notamment. Et ce, quasi à l’unanimité. En Afrique, trente-deux pays interdisent l’homosexualité selon l’Observatoire des inégalités.
Deux jours après la publication de ce document, le cardinal Fridolin Ambongo, président du Symposium des conférences épiscopales d’Afrique et de Madagascar (Sceam) a rédigé une lettre dans laquelle il appelle tous les présidents des conférences épiscopales du continent à donner leur « avis » sur cette nouvelle déclaration qu’il juge « ambiguë ».
Pour cet archevêque de Kinshasa (République démocratique du Congo), pourtant membre du Conseil des cardinaux chargé de conseiller le pape, elle « se prête à de nombreuses interprétations et manipulations » et « suscite beaucoup de perplexité parmi les fidèles ».
C’est un euphémisme.
Afin « de donner une orientation claire à [leurs] chrétiens », le cardinal Fridolin Ambongo, souhaite rédiger « une seule déclaration synodale, valable pour toute l’Église d’Afrique » qui « servira de ligne directrice pour toutes les Églises locales » du continent.
En clair, les évêques africains veulent faire ce qu’ils veulent et ne plus obéir au Vatican, repaire d’homosexuels.
Si les réponses officielles des prélats sont attendues d’ici la mi-janvier, nombre d’entre eux ont déjà fait savoir publiquement leur point de vue.
Le président de la Commission de la doctrine de la Conférence épiscopale du Gabon, Mgr Mathieu Madega Lebouakehan a rappelé que la junte militaire au pouvoir dans le pays depuis la fin du mois d’août « a interdit les couples de même sexe ».
Mathieu Madega Lebouakehan
« Ainsi dans notre pays, cette possibilité de bénir ces couples s’annule automatiquement« , a-t-il affirmé comme le souligne Gabon actu.
Au Cameroun, cela a été « formellement interdit » « face à la vague d’indignation, d’interrogation et d’inquiétude suscitée au sein du peuple de Dieu », rapporte Vatican News.
De même au Kenya car contraire à la « culture » du pays ou encore en Zambie « afin d’éviter toute confusion et ambiguïté pastorales, de ne pas enfreindre la loi du pays qui interdit les unions et activités entre personnes de même sexe« . Dans ce pays situé au sud du continent, la sodomie est passible de 15 ans de prison.
J’ai toujours admiré la Zambie.
Mais à présent, je l’admire beaucoup plus.
Le secrétaire général de la Commission épiscopale nationale du Congo, Mgr Donatien Nshole, rappelle quant à lui au micro d’Okapi « le devoir pastorale de l’Église d’être proche même de pécheurs » tout en affirmant que les évêques n’ont pas « jugé prudent » d’autoriser ces bénédictions.
Donatien Nshole
« Les évêques veulent rassurer la population que la doctrine de l’Église sur le mariage n’a pas changée. […] Le mariage authentique est celui qui unit un homme et une femme », abonde-t-il.
Au Togo ou à Lomé, les prêtres sont appelés à « s’abstenir ».
Dans une conférence épiscopale du continent, Le Monde a entendu que cette divergence n’était pas vue comme « une rébellion »: « les cultures différentes doivent dialoguer et marcher ensemble, c’est l’unité dans la diversité », a-t-il été déclaré.
En revanche, pour l’historien et journaliste Christophe Dickès, interrogé par La Croix, il s’agit d’une « crise majeure ». Il explique que c’est la « première fois dans l’histoire contemporaine de l’Église », « qu’un continent entier refuse explicitement d’appliquer un texte venant du pape ».
Il ajoute: « Il y a pu avoir de la colère, des contre-feux médiatiques, mais pas avec autant d’ampleur« .
Il ne peut y avoir deux lignes morales différentes sur la même question au sein de la même église. C’est absurde et impraticable.
Bergoglio ne pouvait ignorer ce qui allait advenir en Afrique, que ce soit en interne ou au niveau de l’opinion ou des autorités, mais il n’a pas pu s’en empêcher. C’est un provocateur né.
Quoi qu’il en soit, l’église catholique déjà réduite à rien en Europe ne manquera pas de se fragmenter davantage sur la question de l’anus.
L’unité anale est la cause d’une nouvelle guerre de religion.
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