Capitaine Harlock
Démocratie Participative
23 février 2018
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C’est pourquoi il faut faire chauffer à mort cette histoire de Jeanne d’Arc mulâtre. L’affrontement racial clarifie tout, notamment sur le rôle délétère que jouent les ménagères en politique.
La fureur crétine avec laquelle certains poursuivent cette Jeanne d’Arc métissée donnerait en effet presque des envies de gauchisme. https://t.co/SMeWHsy6yj
— Eugénie Bastié (@EugenieBastie) 23 février 2018
En premier lieu, je répète ce que je dis : pas de bonnes femmes en politique, sous aucune condition. D’abord parce qu’une bonne femme est régie par ses émotions et n’a aucune espèce de retenue en la matière. Seul l’homme peut affronter la guerre et prendre ses responsabilités et les porter jusqu’au bout, quoiqu’il en coûte. Une bonne femme chiale.
Quand vous voyez une femme parler de politique, c’est simplement qu’elle désire accéder à des postes d’où elle pourra dominer des hommes. La base morale la plus élémentaire du christianisme, puisque cette idiote s’en revendique, c’est pour la femme de se soumettre à l’homme et l’homme à Dieu.
Ce genre de lavandières a mille coloration, y compris celle de la bourge post-catholique en manque d’attention. Ces bourgeoises, si elles étaient vraiment catholiques et « conservatrices », se trouveraient à la maison pour s’occuper de leurs enfants. Si vous croyez que Bastié a envie de ça, vous vous gourez.
Bastié rime avec enjuivée
Le patron très catholique d’Eugénie
Le but de Bastié, c’est d’exister. D’exister dans l’ordre social. Donc par effraction, en renversant l’ordre masculin blanc pour parasiter. Comme les youpins, les métèques, les pédés. Tout cela n’est possible que dans une démocratie bourgeoise juive où plus aucun risque physique n’est requis pour se forger une légitimité.
C’est dans les périodes de déchéance que les femmes peuvent prétendre à jouer un rôle quelconque.
Dans le monde réel, notamment du travail, trouvez-moi un seul ouvrier de souche qui acceptera jamais de se subordonner à une idiote comme Bastié et à ses indignations ovariennes de terminale ?
Le fait est que, en 2018, cette droite « catholique » n’est qu’un foyer de l’enjuivement supplémentaire. On aime rien tant que le juif chez ces gens-là, bien plus que le sang de son propre peuple. D’ailleurs, Bastié est une shabbat goy du juif Serge Dassault qui officie au « Figaro », ce torchon hébraïque.
Des traînées comme Bastié sont totalement acquises au sémitisme mental, c’est-à-dire au cosmopolitisme et à la vagabonderie manouche. Tout ça pue le pognon fermenté dans l’entre-soi, le factice, la singerie opportuniste sous direction juive.
Le racisme rend tout lumineux
La question raciale délimite définitivement le sémitisme de l’aryanité, c’est-à-dire l’Europe du cloaque créole qu’édifient pas à pas les juifs et leurs séides. Trois gouttes d’eau bénite n’y change rien.
Le racisme éclaire tout et fait fuire les créatures qui prospèrent dans l’ombre de l’ambiguïté.
Le plus drôle, c’est qu’en commentaires, toute la base enrage devant cette Jeanne d’Arc café-au-lait mais que cette bourgeoisie enjuivée préfère consciemment s’opposer à ses soutiens naturels plutôt que de lâcher son grigri nègre.
Parce que c’est la vocation de la bourgeoisie que de se conformer à la norme sociale décrétée par les juifs, pas de la remettre en cause.
Il n’y a pas de différence de nature entre l’antiracisme juif de Vatican 2 et celui de la juiverie elle-même ou du Grand Orient.
C’est la démonstration que ce « conservatisme » déclaratif, que ce verbiage de cuisine n’engage à rien dans les faits. Seul le racisme engage car il fixe le discours sur une réalité tangible, observable par tous. Une réalité de confrontation radicale, absolue, que comprennent parfaitement les juifs et leurs auxiliaires nègres et musulmans. Il délimite deux camps dont un seul peut sortir vivant.
Bastié n’empêchera pas un seul crouille ou un seul nègre de violer une Blanche, n’empêchera pas un seul djihadiste d’égorger des Français. Cette dinde enjuivée aura simplement une bouffée de chaleur de plus à la lecture du dernier carnage.
Ni elle ni aucune idiote de la droite antiraciste ne nous feront avancer d’un seul mètre. Parce que cette tâche incombe aux hommes, que la guerre est le domaine des hommes.