La sorcière vaudou Rachel Kéké prend le contrôle de l’Assemblée et exige de l’argent blanc immédiatement

La rédaction
Démocratie Participative
12 juillet 2022

 

C’est le moment que j’attendais secrètement depuis toujours.

Le moment du dévoilement final.

Il est là.

L’Afrique avec son os de le nez fait son entrée triomphale dans la république agonisante.

Elle est affamée.

Moi ça y en a faim ! Moi ça y en a awgent ! Oulougoulou! Moi je soui élou ça y en vouloi’ awgent là !

Et le dévoilement ne serait pas complet, si ce n’était un juif homosexuel qui devait promettre de l’argent volé aux travailleurs aryens pour apaiser le ventre des négresses si productive dans les maternités de l’Hexagone.

Attal.

Vous ne verrez jamais cette scène dans le parlement russe ou chinois.

Vous n’y verrez jamais des négresses débarquées de leur Afrique natale hurler dans une langue incertaine des menaces directement adressées au gouvernement, devant le pays entier, pour que travailleurs indigènes passent à la caisse tribale.

Vous ne verrez cela que dans la France juive, purulente de sémitisme, dégoulinante d’urine de cafre.

Ce cirque n’est possible que parce que les Français sont devenus collectivement des sous-hommes, des boloss terminaux.

Les nègres d’aujourd’hui ne sont pas différents de ceux d’hier. Ce qui a changé, c’est la plèbe gauloise démocratisée, dévirilisée, soumise aux juifs et aux démagogues marxistes, n’ayant plus honte de rien, prête à toutes les capitulations, à tous les déshonneurs et à s’en faire gloire.

Il n’y a rien à théoriser là-dessus.

C’est la course vers le fumier.

Le premier arrivé se fera enculer par un nègre. On se dispute la place, fermement.

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