Captain Harlock
Démocratie Participative
03 juillet 2021
Le Seigneur des Anneaux est certainement l’œuvre de fiction la plus subversive en Occident en ce 21e siècle.
C’est une œuvre traditionnaliste, explicitement anti-moderniste et anti-démocratique qui exalte l’esprit aristocratique de l’époque féodale européenne.
C’est la raison pour laquelle Amazon a investi des sommes énormes pour en produire une nouvelle version alors que la trilogie de Peter Jackson est déjà un chef d’œuvre qui durera des siècles.
Le but des juifs est de la détruire avec des mulâtres, des gouines et du marxisme subliminal.
C’est tout simplement atroce.
Dans le même temps, la Société Tolkien est actuellement en train de réécrire l’œuvre de A à Z pour en faire un tract LGBT.
La Tolkien Society, une organisation littéraire fondée en 1969 et dédiée à la promotion des œuvres de J.R.R Tolkien, organise depuis des décennies une conférence universitaire annuelle. La conférence de cette année, qui se tiendra virtuellement via Zoom les 3 et 4 juillet, a pour thème « Tolkien et la diversité ».
Avant de poursuivre, sachez que le président de la Tolkien Society était, et reste officiellement, le grand J.R.R. Tolkien lui-même. Sa fille, Priscilla, occupe actuellement le poste de vice-présidente. Lors de son séminaire annuel, des chercheurs présentent des articles universitaires, des documents d’archives sont parfois exposés et discutés, et un effort sérieux est généralement fait pour comprendre et apprécier le génie unique de Tolkien. En d’autres termes, il ne s’agit pas d’un fan club déglingué pour les amateurs de la Terre du Milieu.
C’est la seule fille de Tolkien qui gère cette affaire, Priscilla Tolkien.
Grosse surprise.
Quand vous laissez une femme gérer quoi que ce soit, cela devient infailliblement de la merde.
Mais cette année, les participants au séminaire seront soumis à quelque chose de différent. Les articles qui seront présentés comprennent « Gondor in Transition : Une brève introduction aux réalités transgenres dans le Seigneur des Anneaux », « Les Lossoth : Indigénéité, identité et antiracisme « , et » ‘Something Mighty Queer’ : Déstabiliser l’amatonormativité cishetero dans les œuvres de Tolkien ». La quasi-totalité du programme est comme ça.
C’est très sérieux.
Les gouines et les trans séropositifs ont pris le contrôle de tout ce qui touche à l’œuvre.
Fatalement, l’œuvre devient un truc de gouines et de trans séropositifs.
La meilleure chose que l’on puisse dire à propos d’une conférence sur Tolkien qui présente des articles sur, disons, « Pardonner Saroumane : Le Queer dans le Seigneur des Anneaux de Tolkien« , ou « L’Autre Invisible : Les femmes naines de Tolkien et le manque de féminisme », c’est que les universitaires en question ne connaissent pas la moindre chose de Tolkien ou de la signification de son œuvre.
Quand Peter Jackson a réalisé le Hobbit après la première trilogie, la qualité du film a été massivement impactée par l’introduction d’un personnage elfe féminin qu’il avait recruté simplement pour y injecter du féminisme.
Autrement dit, à chaque fois que Jackson s’est écarté d’un centimètre du texte de Tolkien pour ajouter sa propre sauce, le résultat a été catastrophique.
Quand cette gourde apparaît à l’écran, j’ai les yeux qui saignent tellement elle est nulle et son personnage inutile. Je vous jure que je hurle à chaque fois.
L’autre innovation de Jackson a consisté à balancer gratuitement des mulâtres en inventant des villageois de Lake Town négroïdes.
C’est une véritable agression.
A la seconde où on voit un de ces faciès sombres surgir, le dégoût vous prend et la magie cesse instantanément d’opérer. Exactement comme quand vous sortez de chez vous et que vous croisez un nègre : votre matinée est foutue.
La capacité des nègres à tout rendre toxique est incroyable. C’est une race de singes inventée par les forces obscures pour nous nuire en permanence. C’est la conclusion à laquelle je suis parvenu.
C’est d’ailleurs ce que ces gens veulent faire : défigurer l’œuvre aryenne de Tolkien pour servir Sauron. Comme les orcs qui sont d’anciens elfes dégradés par la magie noire du Seigneur des Ténèbres.
Je ne sais pas s’il existe une version corrigée du Hobbit ou les passages de cette femme insupportable et des groïdes sont coupés, mais j’en serais volontiers preneur. En l’état, c’est péniblement regardable. Une telle version purifiée ferait passer le film de 6/10 à 9/10.
Ce que prépare Amazon, c’est de faire la même chose mais à l’échelle industrielle pour distiller le poison dissolvant du judaïsme dans l’imaginaire blanc.
Ces démons ne cesseront jamais, ni les créatures infernales qui servent leurs desseins.
La bonne nouvelle, c’est qu’en plus des livres de Tolkien, la trilogie originelle du Seigneur des Anneaux est disponible. C’est une œuvre intégralement blanche qui est certainement la plus puissante à notre disposition pour réveiller dès le plus jeune âge l’âme raciale des petits Blancs menacés par les hordes du Mordor.
Les races de boue haïssent d’instinct ce film comme son univers et font tout pour se l’approprier en les dénaturant afin d’y squatter.
Le Seigneur des Anneaux n’est pas autre chose que notre réalité, de toute éternité. C’est-à-dire la lutte de la petite Europe contre les masses sombres des contrées maudites les plus reculées qui veulent la submerger pour la détruire.
Son message est intangible :
Attendez ma venue aux premières lueurs du cinquième jour, à l’aube regardez à l’est.