La rédaction
Démocratie Participative
25 octobre 2022
La Russie a alerté l’ONU sur l’intention de la clique juive de Kiev de faire exploser une bombe sale en Ukraine.
La #Russie envoie une lettre à @antonioguterres et au président du #Conseil de sécurité de l’ONU pour les avertir : « Nous considérerons l’utilisation de la ‘bombe sale’ par le régime de Kiev comme un acte de terrorisme nucléaire ».
#Russia sends letter to @antonioguterres and #UN Security Council president warning: “We will regard the use of the ‘dirty bomb’ by the Kiev regime as an act of nuclear terrorism.” pic.twitter.com/mCRw2bHS0f
— Steve Herman (@W7VOA) October 24, 2022
Menace d’utilisation d’une «bombe sale» par l’armée ukrainienne : les informations russes sont «fiables»
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Les déclarations du gouvernement américain, depuis des mois, accusent Poutine de préparer une attaque nucléaire, chimique ou bactériologique contre l’Ukraine.
Ils ont immédiatement ajouté que cela suffirait à l’entrée en guerre des États-Unis.
Les seuls bénéficiaires d’un bombe sale seraient les bellicistes de Washington.
[ 🇷🇺 RUSSIE | 🇺🇦 UKRAINE ]
🔸 « Des sources fiables indiquent que Kiev prépare une provocation avec l’utilisation d’une bombe sale. Le but de cette provocation odieuse est clair : accuser la Russie d’utiliser une arme de destruction massive. » – Maria Zakharova pic.twitter.com/YOPpcLTNM0
— (Little) Think Tank (@L_ThinkTank) October 25, 2022
Quand on y réfléchit, la raison d’une telle provocation est de justifier l’intervention directe des États-Unis en Ukraine avant les élections américaines de novembre. Si rien ne se passe, Biden est sûr de perdre la Chambre des représentants, voire le Sénat le mois prochain. À deux ans de l’élection présidentielle de 2024, ce serait un tremplin pour les Républicains.
En cas de conflit ouvert, ou de crise extraordinaire, Biden pourrait déclencher un ralliement électoral autour du Parti démocrate au pouvoir.
A minima, cela permettrait à Washington de reléguer les élections à l’arrière-plan médiatique et d’accélérer la transition vers une transition autoritaire du gouvernement américain.
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