La Russie rétablit le blocus de l’Ukraine après l’attaque de l’OTAN contre Sébastopol

La rédaction
Démocratie Participative
30 octobre 2022

 

L’OTAN a attaqué le port russe de Sébastopol hier avec des feux d’artifice.

Comme après l’attaque du pont de Kerch, en Crimée, les gogols ukrainiens ont passé la journée à se la raconter sur Twitter.

Et aujourd’hui, ils ont appris que la Russie fermait leur exportation de blé.

Les nains arrogants de Kiev ont immédiatement chouiné comme des femmes en disant que les Russes devaient faire tout ce qu’ils exigent, indépendamment de l’escalade que l’OTAN alimente sans cesse contre la Russie depuis leur territoire.

Plus le temps passe, plus le monde découvre ces Ukrainiens. Ils sont difficiles à distinguer des juifs, tant leur langage ressemble à celui de la pègre.

Récemment, ils ont aussi mené des attaques ciblées contre les Hongrois, dans l’ouest du pays.

Les autorités ukrainiennes ont pris la décision de provoquer la Hongrie en saisissant et en effaçant la culture hongroise en Transcarpathie. L’oiseau Turul a été remplacé par le trident ukrainien à Munkács (Mukachevo).

L’Ukraine n’est pas une nation, c’est un état artificiel vieux de 30 ans. S’il existe aujourd’hui, c’est simplement parce que la « république socialiste soviétique d’Ukraine », une subdivision administrative de l’URSS créée par les bolcheviques, s’est décrétée indépendante à la chute du communisme.

C’est comme si la région Centre devenait un pays après la chute de la République française.

Cet état fictif créé au 20ème siècle est assis sur des territoires volés ici et là par les Soviétiques, dont la Ruthénie, une partie de la Hongrie.

C’est ahurissant, quand on y pense.

Au fond, c’est une sorte de gros Kosovo.

Quoi qu’il en soit, ces gens-là ne vont plus exporter de blé et ce blé partait pour 50% à destination de l’Europe, pas du tiers-monde. C’était un mensonge de la presse juive pour présenter la Russie en affameur de noirs.

Ce n’est pas que la famine en Afrique me préoccupe, mais dans la guerre de l’information, présenter la Russie comme des affameurs de noirs est de nature à exciter l’opinion démocratique occidentale qui adore les noirs.

Le prix du pain et des pâtes va donc encore monter en Europe occidentale.

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