Sigmar Polaris
Démocratie Participative
03 septembre 2023
Le Castel club, à la Roche-sur-Yon, attire les traînées comme les excréments de chiens attirent les mouches vertes
Les OQTF britanniques de Darmanin continuent de faire ce qu’elles savent si bien faire : violer des Blanches.
Actu17 :
Un homme de 21 ans a été mis en examen pour viol ce mercredi 30 août avant d’être placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de La Roche-sur-Yon. L’affaire remonte à la nuit du samedi 12 au dimanche 13 août, où une femme a été violée à la sortie du Castel club, un établissement de nuit situé dans la zone d’activités des Oudairies à La Roche-sur-Yon, en Vendée, raconte Ouest France. Après le dépôt de plainte de la victime, une information judiciaire pour viol a été ouverte contre X.
Peut-être, mais si elle était restée chez elle plutôt que de faire la traînée à des heures impossibles, rien ne se serait passé.
L’enquête menée par la police de La Roche-sur-Yon permet d’identifier rapidement un suspect, qui est interpellé lundi 28 août dans un salon de coiffure local. L’homme, de nationalité algérienne et en situation irrégulière en France, nie initialement les faits en garde à vue.
Mais devant la juge d’instruction, il change de version et admet avoir eu « une relation sexuelle consentie » avec la victime. Ce changement de version intrigue la vice-procureure, Alison Leduc : « Monsieur a un positionnement ambivalent sur les faits. Il s’agit de la troisième version, on ne peut pas dire qu’il reconnaît vraiment ».
En raison de « sa situation irrégulière sur le territoire, de la peine de réclusion criminelle encourue et de son positionnement par rapport aux faits », le parquet a requis son placement en détention provisoire. L’homme, qui prétend « circuler avec de faux papiers », possède deux identités connues auprès des services de police, mais son casier judiciaire est « vierge pour les deux identités », selon son avocate, Me Meriem Abkoui.
La magistrate, pour motiver le placement en détention provisoire, a notamment évoqué le risque de « renouvellement des faits compte tenu du mode opératoire utilisé » et du trouble à l’ordre public que ces actes ont engendré.
Avec officiellement 13 millions de non-Blancs en France – bien plus en réalité – et des centaines de milliers, sinon des millions de clandestins en circulation sur le territoire français, continuer de sortir seule la nuit revient à rechercher activement le viol.
Il y a donc deux écoles dans la présente situation : soit les femmes blanches adaptent leur mode de vie en fonction de leur environnement ethnique et restent chez elles à partir de la tombée de la nuit, ou alors elles se feront agresser et violer par des gangs de noirs et d’arabes, généralement porteurs de maladies.
Il n’y a vraiment aucune alternative.
Une femme n’a aucune raison de sortir le soir. Elle a bien mieux à faire chez elle. Si elle s’ennuie, alors c’est qu’il est temps pour elle de fonder un foyer et d’élever des enfants. Les mères de famille n’ont jamais le temps de s’ennuyer et les enfants les remplissent de joie.
Les femmes n’ont aucun argument pour justifier leur préférence de se faire violer par des migrants plutôt que d’avoir une famille.
Il faut donc demander aux traînées pourquoi elles tiennent à se faire violer plutôt que de se comporter normalement en ayant des enfants.
D’ailleurs, on ne peut pas parler de viols en tant que tels puisque les femmes qui sortent seules la nuit sont à l’évidence consentantes par défaut, pour les raisons expliquées ci-dessus.