La reine noire Rokhaya Diallo accuse le trotskiste Coquerel d’être un violeur, la NUPES féministe dit qu’il ne faut pas accuser sans preuve

La rédaction
Démocratie Participative
01 juillet 2022

 

Nous y revoilà.

Cette fois, c’est la NUPES ultra féministe qui se prend magistralement les pieds dans deux tapis, en même temps : l’immigration et la vaginocratie militante.

Coquerel, le nouveau boss trotskiste des Finances françaises à l’Assemblée, est accusé d’être un porc lubrique par d’ex-militantes mélenchonistes.

En fait, le type se comporterait comme un banal gouverneur de l’Afrique Occidentale Française en 1913, la chicote dans une main, le pubis d’une négresse dans l’autre.

C’est très possible et ça expliquerait parfaitement son obsession pour les sans-papiers : une filière sexuelle de premier choix.

C’est aussi ce qui explique pourquoi c’est Rokhaya Diallo qui est sortie de la jungle contre le colon. C’est d’abord racial.

Sandrine Rousseau, qui promettait une Aktion T4 en règle à Abad n’a plus que le mot « présomption d’innocence » à la bouche.

Quiconque connaît un tant soit peu les femmes sait que rien n’est plus étranger à ce sexe que la « sororité ». Les hommes sont capables de fraternité, pas les femmes. Laissez 20 femmes entre elles dans le même espace et vous aurez vite des affrontements très violents, y compris physiques. Les femmes se critiquent et se moquent en permanence. Elles peuvent y passer des mois, des années, sans jamais se fatiguer.

Rousseau se fout de ce que fait Coquerel avec ses mains, encore moins si c’est pour les mettre au cul de négresses clandestines. Ce qu’elle veut, comme toutes les femelles blanches déchaînées, c’est le pouvoir. Si protéger un satire lui confère du pouvoir, elle le protégera sans y réfléchir à deux fois.

En tout cas, quel plaisir de voir ces mâles beta moralistes se casser les dents sur leur propre projet de société ultra vaginocratique.

Maintenant, tout dépend de ce que feront les gonzesses en question.

Apparemment, des plaintes sont en préparation.

Les gauchistes pensaient être à l’abri de leur propre monstre féministe. Ils se feront dévorer comme les autres, voire avant, parce que ce sont des sous-hommes foutus comme des porte-manteaux.

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