Captain Harlock
Démocratie Participative
05 septembre 2019
Les Boomers n’ont pas seulement bénéficié d’une accumulation de capital 5 fois plus grande lorsqu’ils étaient trentenaires que les trentenaires actuels, ils ont aussi constitué une pyramide de Ponzi colossale conçue pour s’effondrer sur leurs descendants.
J’ai nommé le système de retraite par répartition.
⚡??FLASH -Un collectif citoyen a épluché les données publiques disponibles pour établir les conséquences de la future réforme des #retraites. Pour des carrières identiques, le niveau des pensions chutera de 15 à 23 % par rapport à aujourd’hui. (Mediapart) https://t.co/oI3y9kbCdY pic.twitter.com/2tJJEFWF3l
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) September 4, 2019
⚡SUIVI -En décalant son départ à la #retraite de 1, 2 ou 3 ans, Mathias verra son taux de remplacement augmenter. Ce n’est qu’en partant à 67 ans (3 ans de +), après une carrière de 45 ans, qu’il retrouvera le même taux de remplacement que son «prédécesseur» Mathieu. (Mediapart)
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) September 4, 2019
D’après Médiapart, les post-Boomers nés après 1960 – qui auront 60 ans en 2020 – sont censés toucher environ 73% de leur dernier salaire.
C’est le même taux que les Boomers à strictement parler.
Pour les retraités de génération 1946, le taux de remplacement (c’est-à-dire le pourcentage du revenu d’activité que conserve un salarié lorsqu’il fait valoir ses droits à pension) médian en fin de carrière s’élève à 74,0 % pour les hommes et 72,5 % pour les femmes.
Je rappelle que dans le paradis égalitaire qu’est la France socialiste, l’égalité dispose que les fonctionnaires socialo-communistes ultra-syndiqués voient leurs retraites calculées sur la base de leurs six derniers mois de salaire tandis que les contribuables du secteur privé voient les leurs calculées sur la base de leurs 25 dernières années.
Pour une raison que j’ignore, cela n’a entraîné aucune révolution sanglante ni de pogrom contre la fonction publique. C’est peut-être grâce à la presse bolchevique qui veille au grain et à la police secrète qui traque le moindre opposant, réel ou supposé, si d’aventure il tousse.
En tout cas, l’affaire est entendue pour les Boomers et les post-Boomers socialo-communistes reconvertis dans le macronisme orthodoxe.
Pour les enfants de Boomers et post-Boomers, ce ne serait donc que 56%.
Je penche plutôt pour 5 voire 6%. Et encore, par temps sec et sans vents contraires.
Pour une raison assez simple : en 2040, le système de retraite socialisé aura succombé à l’overdose de vieux soixante-huitards et à l’injection de dizaines de millions de nègres et d’arabes dans l’assistanat public.
D’ailleurs, nous soignons déjà des centaines de milliers de centenaires algériens en Algérie, si vous l’ignoriez. En plus des quelques 17 millions de zombies inscrits à la Sécurité Sociale.
Les fonctionnaires retraités vous aiment
Les seules retraites de la fonction publique devraient coûter, en théorie, 1,300 milliards d’euros cumulés jusqu’en 2050.
C’est bien mérité compte tenu du dur labeur qu’ils ont consenti à faire ces 30 ou 40 dernières années.
Le graphique montre utilement que les retraites du secteur public représentent 25% de la dépense retraite en France, alors que les retraités de la fonction publique ne représentent pas plus de 15% des pensions servies.
Autre chiffre choc: 30% de la dérive des dépenses de l’Etat depuis 2006 sont dus aux retraites des fonctionnaires. Sur les 26 milliards (1,3 point de PIB!) d’augmentation des dépenses de l’Etat, 8 milliards ont servi à financer le système de retraites du public. Cette augmentation a été totalement financée par la dette.
Dans ce tableau apocalyptique, d’autres données font froid dans le dos. A l’horizon 2050, par exemple, selon le taux d’actualisation, le besoin en financement du système de retraites publiques devraient osciller entre 62 et 68 milliards€. Un effort colossal à consentir pour une population très limitée.
Sur l’ensemble de la période de versement estimée, les retraites de la fonction publique représentent aujourd’hui un engagement total variant, selon le taux d’actualisation, de 1200 à 1400 milliards€. Autrement dit, l’Etat s’est engagé à verser à ses fonctionnaires une somme équivalent à 70% de la dette publique au titre des pensions.
Et ce ne sont là que les retraites des fonctionnaires de cette république juive.
En résumé, si vous avez la trentaine ou moins, vous êtes économiquement génocidés.
Les plus jeunes de nos lecteurs peuvent se dire qu’ils ne comptent pas prendre leur retraite avant une 40aine d’années et qu’à ce titre ils s’en foutent.
Ce n’est pas tellement le problème puisqu’ils n’en auront pas, de toute façon.
Non, le problème, c’est que les vieux électeurs de Mitterrand comptent bien avoir la leur, ce qui passe par la réduction en esclavage des jeunes actifs. Plus de taxes, plus d’impôts, plus d’intérêts sur une dette toujours plus grosse.
Après tout, les Boomers et les post-Boomers estiment que les banquiers juifs ont le droit de toucher leur part. Probablement à cause des juifs assassinés à l’insecticide par Adolf Hitler quelque part dans un champ de patates polonais.
Et je le répète, cela n’intègre pas les talentueuses et productives populations que ces mêmes Boomers importent d’Afrique, toujours avec l’aide des banquiers juifs.
CAF, CMU, éducation gratuite, logement… Que des mots doux à l’oreille du jeune Blanc ayant eu le privilège de naître après la victoire des communistes en France, en 1981.
Le jour fatidique où Mitterrand entra au Panthéon après la chute de la capitale.
La chute de Saïgon était moins douloureuse.
Nous sommes, pour faire court, surenculés, écrabouillés totalement.
L’appareil d’état et ses millions de supplétifs – notamment ces martiniquais du Liban qui prolifèrent dans tous les bureaux des administrations – ne vont pas nous laisser faire la grève de l’impôt.
Le martiniquais cégétisé n’aime pas faire la sieste le ventre creux.
Il est donc inéluctable que cette république nous réduise en esclavage et qu’elle nous colle des geôliers sûrs dans le dos.
A communiste, communiste et demi.
Je vais moi-même devenir très communiste dans les années qui viennent. Plus communiste, ce sera difficile à trouver. Après tout, il suffit d’étudier l’ennemi pour trouver la solution à nos problèmes.
Il suffit de retourner leurs armes contre eux.
Nous allons décréter que les biens des vieux et de la classe possédante appartiennent au Parti qui les redistribuera aux jeunes Français de race injustement spoliés par la vermine réactionnaire et petite-bourgeoise sous le règne de la Réaction macroniste.
Le lumpenproletariat racial d’où le régime retire ses bandes criminelles et anti-populaires sera purgé des villes et déporté pour rééducation dans des camps de travail dans nos possessions ultra-marines.
Les brigands sionistes liés à la grande spéculation financière seront jugés lors de procès populaires pour sabotage et conspiration.
Le Parti remettant les intellectuels au travail, tout individu portant une carte de presse sera rééduqué par le labeur manuel et participera à la mise en valeur exaltante des richesses minières de la forêt amazonienne guyanaise.
Ce repositionnement est nécessaire.
Un repositionnement d’ultra-gauche.
Le maoïsme, le racisme en plus.
Une vraie révolution culturelle, voilà en somme ce qu’il nous faut.