La rédaction
Démocratie Participative
03 novembre 2023
L’administration fantoche de l’Allemagne occupée est dans un profond état de panique.
Les glorieuses manifestations pro-palestiniennes de la diversité islamique prennent à revers ce pourquoi l’immigration de remplacement a été conçue : solidifier la puissance juive en Allemagne en détruisant le peuple allemand.
Le Vice-chancelier de ce pays a longuement pleurniché sur « l’holocauste » et expliqué aux « nouveaux Allemands » pourquoi leur raison d’être est d’être les esclaves de la race juive qui génocide les palestiniens.
Près de quatre semaines se sont écoulées depuis l’horrible attaque terroriste contre Israël. Il s’est passé beaucoup de choses, le débat public est devenu houleux et confus. Retrouvez les réflexions du vice-chancelier Robert #Habeck dans la vidéo, en replaçant les événements dans leur contexte. 📣Sous-titrée en anglais, hébreu et arabe.
It’s almost four weeks since the horrific terrorist attack on #Israel. A lot has happened, the public debate has become heated and confused. Find thoughts from Vice-Chancellor Robert #Habeck in the video, putting the events in context. 📣With English, Hebrew and Arabic subtitles. pic.twitter.com/5jdXAZr7ey
— Bundesministerium für Wirtschaft und Klimaschutz (@BMWK) November 2, 2023
Désolé Robert, contrairement à toi, ces musulmans ne voudront probablement pas être les esclaves consentants des juifs.
Comme la nationalité allemande a été saccagée par les juifs pour la distribuer à des syriens d’Afghanistan, le gouvernement d’occupation fait face à une difficulté : comment transmettre la culpabilité tribale de génération en génération quand la nationalité allemande n’est qu’un bout de papier ?
La culpabilité collective par la paperasse et le passeport a peu de chances de fonctionner, ce qui prive la juiverie du levier psychologique grâce auquel elle contrôle l’Allemagne depuis 78 ans.
DHNET :
En Allemagne aussi, les manifestations s’accumulent pour protester contre la guerre entre le Hamas et Israël. Les autorités ont notamment constaté que les déclarations antisémites lors des manifestations pro-palestiniennes se multipliaient. Face à cette vague de violence, la police tente de faire son travail. Mais elle semble être à bout de nerfs.
Comme le précise Rainer Wendt, président du syndicat des policiers allemands, à nos confrères du Bild. “La police est confrontée à un défi sans précédent dans l’Histoire de l’après-guerre”, commence-t-il. “La police travaille 24 heures sur 24 à pleine capacité et contrôle toujours la situation. Mais jusqu’à quand ?”, questionne-t-il.
Le risque d’un effondrement est bien réel chez nos voisins et les policiers remarquent une perte de contrôle de la situation. “Les islamistes radicaux remettent en question le pouvoir dans nos rues”, explique le syndicaliste. Surtout, il se sent abandonné par les politiques face à une ambiance qui risque de dégénérer. “Si aucune mesure n’est prise, la charia prévaudra à la place de la constitution. Il est grand temps de revenir aux valeurs fondamentales de nos sociétés. Sinon, le pays s’effondrera au profit d’intérêts individuels radicaux et la loi du plus fort prévaudra. Ce qui ne doit jamais avoir lieu, car de tels troubles internes mettraient la vie de notre pays en danger.”
Pour lui, le risque est réel. Mais il est trop facile pour les politiques de joueur au sourd. “Nous avons toujours mis les politiques en garde. Trop de politiciens s’inquiètent du moindre problème quelque part dans le monde, mais ils perdent de vue leur propre peuple. Cela doit changer.”
Nous voulons la loi du plus fort, pas la loi du plus faible, qui est celle qu’organise la démocratie juive aux dépends de la race blanche. Quand la race blanche sera libérée de ce système, elle retrouvera sa force.
C’est ce système antiblanc construit depuis le 8 mai 1945 qui en train de s’écrouler sur les juifs.
La destruction de la démocratie, bras armé des juifs, est l’objectif prioritaire, la libération raciale en découle. Si les islamistes y contribue objectivement, c’est parfait.
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