La Race, mise au point (analyse)

Le Cor de Heimdall
Démocratie Participative
29 mars 2018

Il m’a semblé nécessaire d’effectuer une mise au point autour du concept de la race. Entre d’un côté les illuminés cosmopolites, chantres de l’égalitarisme absolu, négationnistes des races (surtout de la race blanche à vrai dire) et d’un autre les théoriciens taxinomistes incapables de saisir la profondeur, la puissance et la dynamique du concept de race, cherchant ainsi à se l’approprier, il est grand temps de mettre les choses au clair.

Les avancées de la science rendent toujours plus intenables les théories loufoques fondées sur le dogme de l’égalitarisme, par exemple la négation des différences d’ordre génétique entre êtres humains. On assiste donc depuis quelque temps à de curieuses manœuvres dans le camp des minorités intéressées, surtout chez (((la minorité la plus intéressée))). Nos ennemis savent pertinemment que l’égalitarisme finira par s’effondrer sous les coups conjugués des découvertes scientifiques dans les domaines génétiques, médicaux et biologiques, ainsi que devant l’arrivée massive d’une population du tiers-monde pour qui l’égalité est une douce fable, qui bien qu’intéressante matériellement pour eux dans un premier temps, commence à laisser place à un communautarisme revendicatif toujours plus agressif, basé principalement sur des facteurs ethniques. Ainsi, voilà que certains tentent habilement de stériliser le concept même de race, en créant la base de dissensions futures au sein de la population blanche, disons « identitairement consciente ».

Avant de mettre en avant les sournoises stratégies qui sont mises en œuvre contre le concept de race et les dangereuses erreurs commises chez certains blancs, il est nécessaire de définir ce qu’est le racisme, tant ce terme a été dénaturé, souillé par ses plus féroces adversaires.

Le racisme, au sens réel, originel, positif, c’est l’amour des siens, poussé dans le subconscient par l’instinct de survie qui caractérise tout le vivant. Bien loin du sens négatif de hHHhaine des autres attribué pour le court-circuiter par les habituels « cosmopolites intéressés ». On peut aimer les siens et vouloir les préserver sans forcément haïr les autres. On peut également penser, sans haine aucune, qu’il est nécessaire de renvoyer 99% des non-blancs hors d’Europe pour des raisons évidentes de préservation des blancs et de désir d’auto-détermination. Qui le reprocherait aux Pygmées ou aux Tibétains ? Pourquoi ne le reproche-t-on qu’aux blancs ?

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Le racisme est un instinct de survie naturel, positif, fondé sur les lois qui régissent la nature et validé par la science, qui consiste à défendre les siens. Le racisme est adopté par tous les peuples du monde, sans que cela ne pose de problème, sauf lorsque ce sont les blancs qui souhaitent le faire. Un peuple qui n’est pas raciste finit par disparaître.

Revenons-en aux viles manœuvres. Nous assistons en ce moment à d’habiles tentatives de réduire la Race à une simple considération taxinomique afin de la stériliser, de lui ôter son immense potentiel de puissance rassembleur. Cette stratégie vise à définir la race comme étant le synonyme du taxon de la sous-espèce dans la taxinomie moderne. Ce postulat est autant toxique pour nous que fallacieux, comme nous allons le voir. Les « minorités intéressées » ont un intérêt tout particulier à ce que le bon blanc, tant qu’à considérer qu’il existe bien des races, considère la Race de ce point de vue là. En effet, au niveau du taxon de la sous-espèce, dans la plupart des classifications les plus connues (chez Carleton Coon par exemple), le blanc est un caucasoïde. Et devinez qui est également caucasoïde, ou caucasien, dans cette classification ? Oui.. (((eux))) ! (((Eux))) et tous les autres peuples du désert jusqu’aux tréfonds du sous-continent indien ! Ainsi, miracle !, le racisme est désamorcé ! Car les arabes, les pakistanais, les israélites sont de la même race que nous ! Pardis !

Mais ça n’est pas tout. Il existe de nombreux modèles de classifications taxinomiques, qui ne s’accordent pas entre eux sur le nombre de sous-espèces au sein de l’espèce humaine ainsi que sur les peuples qui composent exactement chaque sous-espèce. Bingo ! Imaginez les querelles de scientifiques, biologistes et taxinomistes ainsi créées, qui vont servir à fracturer le concept de race de l’intérieur, en lançant sur la brèche tout ce qui se trouve de pseudo-scientifiques adeptes de masturbation intellectuelle dans nos milieux. Diviser pour mieux régner. Encore et toujours.

Détruisons donc ce postulat de « race = sous-espèce ». Premièrement, cette théorie fallacieuse prétend que le concept de race serait issu de la taxinomie, principalement de la taxinomie animale (races de chiens, de chats etc…). Rien n’est plus faux ! Premièrement, la taxinomie moderne (donc définissant le taxon de sous-espèce) a été créée par Carl von Linné en 1735, pour classifier les animaux et végétaux.  Le concept de Race, le mot « Race », est, lui, utilisé depuis des temps immémoriaux. Aussi longtemps que remontent les traces écrites, partout, le terme de race est utilisé pour définir des groupes spécifiques au sein de l’espèce humaine.

Ainsi, l’utilisation du terme de Race est
1. antérieure à la taxinomie
2. utilisé pour l’espèce humaine AVANT d’avoir été transposé aux espèces animales

Qu’on ne vienne pas me sortir la taxinomie d’Aristote comme contre-argument, celui-ci s’étant borné à classifier les êtres vivants en « Animaux » vivant dans l’air, sur terre ou sous l’eau ou « Végétaux » herbes-arbustres-arbres. Bref. Laissons Aristote.

Que les taxinomistes s’en tiennent donc à leur gamme taxinomique (espèce, sous-espèce…) et laissent tranquille le concept de Race, qui leur est bien antérieur, et qui représente bien plus qu’un simple taxon.

Donc, la Race, c’est quoi ?

La Race, c’est tout groupe spécifique qui, au sein d’une espèce, peut faire valoir des caractères physiques héréditaires et verticaux (spirituels par exemple) communs qui le différencient du reste des individus de l’espèce. La Race est un concept stratégique de Puissance permettant de rassembler des individus autour d’un socle commun afin de se préserver et de triompher dans la lutte pour la Vie face aux éventuelles menaces.

Rien de moins. Rien de plus. C’est tout de même déjà bien plus que le concept taxinomique à deux sous qui vise à le vider de son potentiel de puissance.

Oui, les Blancs sont une race. Oui, les Slaves, au sein des Blancs, sont une race. Oui, au sein des Slaves, les Russes sont une race. Oui, les caucasoïdes sont une race. Mais qui parmi vous, se sent encore proche d’un émir d’Arabie Saoudite ou d’un Taliban des montagnes afghanes ? Qui souhaite se battre pour ces gens là ? Et contre qui ? Soyons sérieux.

L’égalitarisme est sur le point de s’effondrer. Personne nulle part sur Terre, hormis chez les blancs habilement lobotomisés par leurs ennemis, que se soit en Afrique, au Proche ou au Moyen-Orient ou en Asie ne croit, n’a jamais cru !, en cette fable contre-nature.

Il est donc urgent pour nous de nous réapproprier le concept de Race, et d’en définir l’échelon stratégique. À quel niveau doit se porter le combat racial ? Au niveau de la sous-espèce (caucasoïde) ? Au niveau des Blancs issus d’Europe (inclus les Boers, les Américains blancs, les Australiens) ? Au niveau national ? Au niveau régional ?

C’est évidemment au niveau des Blancs issus d’Europe que doit brûler le flambeau rassembleur de la Race. C’est du reste à cet échelon là que nous sommes attaqués de toutes part ! Les Boers sont attaqués. Les Américains blancs sont attaqués. Les Australiens le seront demain. Les Européens sont attaqués. Par l’invasion migratoire organisée, par la culpabilisation morale permanente, et pour les Boers, chassés et traqués parce qu’ils sont blancs, cela va bien plus loin aujourd’hui. Nos pires ennemis sont par ailleurs, dans ce combat contre nous, des caucasoïdes ! Va-t-on inclure dans notre famille ceux qui nous font du mal ? Rien ne serait plus stupide. Le combat à plus petite échelle (nationale, régionale) ne permet pas, face à l’ampleur de la menace et de la coalition contre nous, d’avoir la moindre chance de s’en sortir. Cela ne veut évidemment pas dire qu’il faille renoncer à ces identités nationales ou régionales. Mais aujourd’hui, d’un point de vue stratégique, la Race, ce sont les Blancs. Et c’est à ce niveau là que devront se porter nos efforts, nos amitiés, nos aides, nos alliances, notre combat.