La rédaction
Démocratie Participative
15 avril 2023
C’est confirmé, les Noirs puent et les gens n’aiment pas ce qui pue.
Slate :
Avis aux nez sensibles. Si vous êtes facilement écœuré par les odeurs corporelles d’autres personnes, vous avez plus de chances d’être xénophobe. Une étude publiée par l’Institut Karolinska de Stockholm, et relayée par The Telegraph, est parvenue à ces résultats.
7.000 personnes issues de neuf pays ont répondu à un questionnaire de l’institut suédois qui présente un scénario comportant un groupe fictionnel d’individus originaires du pays de «Drashnea» situé soit en Europe de l’Est, soit en Afrique de l’Est. Ces migrants fuient le chaos ambiant dans leur pays et cherchent à venir dans la région des personnes interrogées.
Les sondés se sont vu poser six questions pour mesurer leur ressenti personnel quant à l’immigration, puis sur diverses odeurs désagréables (sueur, pieds, urine, haleine…). Ils devaient ensuite attribuer une note de dégoût, de 1 à 5, à chacune des senteurs.
Il en est ressorti que ceux qui sont le plus écœurés par ces parfums sont également ceux qui sont le plus xénophobes. Par ailleurs, les personnes les plus âgées et les moins éduquées ont montré le plus d’aversion face aux migrants.
L’aversion à ces odeurs proviendrait d’un mécanisme de notre évolution, qui pour éviter les maladies associerait ces senteurs avec la mauvaise santé, les infections et la mort. Les scientifiques pensent qu’une forte sensibilité aux parfums nauséabonds est liée à une xénophobie plus élevée, car des groupes de personnes inconnues, comme les migrants de l’étude, sont plus souvent associés à des habitudes hygiéniques différentes.
« habitues hygiéniques différentes » est un terme outrancièrement juif pour dire que ces babouins ne se lavent jamais le cul.
Ils puent la mort.
«Les individus plus facilement dégoûtés par les odeurs corporelles sont plus propices à adopter un comportement négatif envers les réfugiés», note l’équipe de recherche dans le journal Royal Society Open Science. «Nos résultats confirment la notion théorique selon laquelle les normes traditionnelles offrent une protection contre les agents pathogènes, et que les groupes marginaux sont perçus de manière négative parce qu’ils remettent en cause ces valeurs.»
Les xénophobes au nez sensible ne sont pas un phénomène spécifique à une région en particulier. Selon l’Institut Karolinska, les résultats peuvent être élargis à de nombreux pays. «Les composantes sensorielles liées au préjudice doivent être étudiées plus en détail pour comprendre les mécanismes sous-jacents. L’odorat semble être un facteur important dans les comportements liés au dégoût», conclut l’étude. Si certaines de vos connaissances ont le nez particulièrement sensible, vous savez désormais ce que cela peut vouloir dire.
Se laver est raciste et ces « groupes marginaux » que sont Pakistanais et Noirs souffrent de l’oppression du savon. Comme ils puent, il faut donc abolir la douche pour en finir avec le racisme systémique de cette société blanche patriarcale.
C’est la conclusion de ces charlatans qui disent que se laver pour ne pas succomber à la moindre maladie est « une notion théorique ».
Se laver pour ne pas contracter les pires infections est démontré scientifiquement depuis près de deux siècles.
Du moins jusqu’à ce que la science woke ne vienne dire que les ronds sont carrés et que les Noirs ont raison de sentir la mort.