Captain Harlock
Démocratie Participative
24 octobre 2019
Cette soif d’extermination des sous-races du tiers-monde dans le regard ne peut laisser indifférent aucun Croisé de la Sainte Guerre Raciale
Il y a deux façons d’être raciste.
La première : vomir sur les nègres, les roms et les crouilles. Exercice nécessaire, salutaire mais risqué, réservé à une avant-garde artistique.
La seconde : assécher ces millions de parasites en abordant matin, midi et soir la question de l’impôt et des taxes qui permettent à ces cancrelats de proliférer.
C’est un sujet qui peut attirer à nous des millions et des millions de Français qui deviennent fous, littéralement fous à chaque fois qu’ils doivent remplir leur feuille d’impôts.
C’est aussi le sujet qu’aborde le moins l’alcoolo-tabagique qui préside aux destinées du RN qui ne rêve rien tant que de doubler Macron sur sa gauche pour arroser des nègres d’Afrique en aides au développement et être acclamée en libératrice.
Sans parler des bamboulas déjà solidement retranchés dans nos villes.
J’ai découvert ces derniers mois la princesse aryenne Virgine Pradel. Inspirée par Wotan, cette Walkyrie des comptes publics est exaspérée par le pognon que nous coûte ces sales nègres et elle est encore plus révulsée par le vice proprement levantin du fisc pour piller à grande échelle les travailleurs et nourrir ainsi ces sous-races.
Grâce à elle et à son compte Twitter, on peut apprendre tout un tas de choses sur ce pillage.
J’ambitionne la création d’un ministère des Affaires Raciales flanqué d’un secrétariat d’état chargé de traiter spécifiquement les questions économiques, plus particulièrement de l’aryanisation de l’économie.
Je vais songer à cette jeune femme pour le poste.
Les affaires de sous, c’est globalement complexe et plein de détails. Avec une belle nana pour dénoncer la façon odieuse dont ces nègres et ces bicots nous détroussent, je suis sûr que ce ministère fera un carton dans l’opinion.
Surtout quand Virginie aura un tailleur noir de fonction.
« Pas de haine raciale sans haine fiscale », tel doit être le slogan de tout ministère de l’Économie qui se respecte. C’est aussi le secret d’une campagne d’extermination réussie.