Captain Harlock
Démocratie Participative
19 Janvier 2021
La presse juive fulmine une nouvelle fois contre Democratie Participative suite à l’article très drôle que nous avons publié à propos d’une pute à frange sans enfants qui fait du rap assez médiocre, « Héro Echo » [Je précise que cette femme a les seins qui tombent].
Quand je parle de la presse juive, c’est au sens littéral.
Street Press, qui a publié l’article qui va suivre, est un supplément de la radio religieuse Radio Shalom, un média qui prône la victoire historique de la race juive au terme d’une confrontation apocalyptique contre les peuples non-juifs.
La version 1 du site est lancée le 9 décembre 20091, avec une petite équipe composée de Johan Weisz2 (à l’état civil Jonathan Myara, fondateur), ancien journaliste à Proche-orient.info et journaliste à Radio Shalom, Robin d’Angelo (rédacteur en chef), et Jacques Torrance (en charge de la vidéo), ainsi que par l’historien Patrick Weil. La rédaction partage à l’époque ses bureaux avec l’ONG Bibliothèques sans frontières, dont le président Patrick Weil est aussi co-actionnaire de StreetPress.
Avec les juifs, tout est toujours « sans frontières », principalement parce que les juifs considèrent que le monde leur appartient en totalité et que toute frontière est un défi lancé à l’impérialisme hébraïque.
C’est un peu comme si votre voisin juif vous menaçait parce que vous refusiez d’enlever vos portes et vos fenêtres parce qu’il ne peut pas venir vous détrousser à sa convenance à cause d’elles.
L’avocat d’extrême-droite Gilles-William Goldnadel est par exemple le président « d’avocats sans frontières » tandis que le socialiste millionnaire Bernard Kouchner, dont la fille fait la une en ce moment, est quant à lui le fondateur de « Médecins sans frontières ».
Et ainsi de suite.
Il vaut la peine de souligner que lorsque les juifs pillent les goyim, les juifs considèrent qu’ils ne font qu’accomplir leur devoir religieux en soumettant les goyim au joug de Yahvé comme leurs textes religieux le proclament.
Nous sommes souvent attaqués par les juifs et leurs médias parce que nous rappelons factuellement que la religion juive repose de A à Z sur la réduction en esclavage des non-juifs.
Pour le peuple élu, l’abolition des frontières est donc réservé aux goyim.
Chez eux, les juifs plébiscitent les frontières. Des giga frontières. En Israël, les juifs ont construit les frontières les plus militarisées du monde pour empêcher les arabes de retourner chez eux, les juifs ayant volé leurs terres après en avoir massacré un très grand nombre en 1948.
C’est comme si votre voisin juif – celui vous menaçait – avait fait installer de nouvelles portes et fenêtres blindées sur votre maison après s’y être installé.
Lorsque je prends le temps de revenir là-dessus, c’est pour rappeler que si les médias juifs s’en prennent avec autant de virulence à Democratie Participative, c’est parce que nous considérons que les juifs ne sont pas les propriétaires de la terre de nos ancêtres.
Or, c’est quelque chose qui met les juifs très en colère car les juifs considèrent que notre pays – comme tous les pays – leur appartient et qu’ils doivent y régner en dictateurs de droit divin, exactement comme en Israël.
Ce qui implique accessoirement de nous anéantir.
Israël est par exemple le seul état raciste de la planète qui a le droit d’exécuter des gens de couleur. Les juifs prennent un plaisir particulier à exécuter sauvagement des nouveaux-nés arabes. Pour eux, c’est une façon de remercier Moloch, la divinité diabolique qu’ils vénèrent sous le nom de Yahvé.
C’est quelque chose que nous connaissons très bien en Europe puisque les juifs avaient pour tradition d’enlever des enfants pour les sacrifier rituellement.
Donc quand les juifs écrivent de longs articles accusateurs en se lamentant sur l’immoralité de tel ou tel goy, c’est une mise en scène qui vise à convaincre les autres goyim crédules de la nécessité de se débarrasser de ceux qui refusent de se reconnaître l’autorité de l’impérialisme hébraïque.
C’est dans cet esprit de duplicité et de mensonge que Street Press nous attaque.
L’idée est de pousser un maximum de femmes blanches à haïr les hommes blancs pour faciliter la victoire du sémitisme contre l’esprit européen. Le féminisme n’étant, je le rappelle, que la transposition du marxisme révolutionnaire aux rapports entre les hommes et les femmes.
Mi-décembre, la rappeuse Héro Écho met en ligne son clip « Amazones ». Elle est obligée de le retirer de YouTube après un raid lancé par un site néonazi. Les trolls d’extrême droite ont multiplié les commentaires antisémites, racistes et misogynes.
« En quelques heures, 500 personnes sont arrivées sur ma page YouTube. Un raid. » Au téléphone, la rappeuse Héro Écho raconte les vagues de harcèlement successives sur ses différents réseaux sociaux durant deux jours, fin décembre. Des trolls d’extrême droite se sont acharnés sur elle après la publication de son morceau féministe Amazones sur YouTube. La chanson est une ode à la sororité, complétée par un clip « anarcho queer » selon Héro Écho – une vingtaine de femmes y apparaissent, armées de battes de baseball, poignards, bâtons et arcs, « déterminées à abattre le patriarcat ».
Pour être honnête, j’ai surtout vu des lesbiennes obèses.
Bref.
Outre le dénigrement de la vidéo, des participantes et des paroles, la rappeuse a aussi dû encaisser des commentaires violents comme : « Tant que le monde tient, vous faites les guerrières. Quand il s’effondrera, vous ferez les pipes et le café », « Entre les imbaisables, les boudins, les grosses et les dégénérées, y’a rien à en tirer », « À la première droite dans la gueule, elles seront en mode : “Bon, qui donne sa chatte en premier ?” ».
Ce sont des commentaires très drôles, franchement.
Ce sont parmi les meilleurs commentaires de l’année 2020.
Héro Écho, de son vrai nom Lucie, a pourtant une audience qu’elle qualifie de « confidentielle » et elle n’est pas une cible favorite de la fachosphère. Avec environ 600 abonnés, le compte YouTube d’Héro Écho totalise 36.000 vues pour sept vidéos – dont 24.000 pour Amazones. Dans la musique depuis huit ans, elle n’a pas de maison de disques ou de label derrière elle et a réalisé son clip « avec les moyens du bord » : « J’ai écrit Amazones il y a trois ans après m’être disputée avec des potes du milieu du hip-hop machiste. Je la chantais en concert à la Zad de Notre-Dame-des-Landes. On venait toujours me reparler de ce morceau. Je me suis dit que s’il y avait un clip dans ma vie qu’il fallait faire, c’était celui-ci. »
Alors que ses vidéos totalisent habituellement 1.000 vues en six mois, le morceau Amazones dépasse les 7.000 vues après une semaine. S’il est loin d’atteindre le grand public, le clip est partagé dans certains milieux d’extrême gauche. « Ça doit être là où des gens d’extrême droite l’ont vu », suppose Héro Écho. Le morceau arrive jusqu’au site néonazi Démocratie participative, fortement soupçonné d’être dirigé par Boris Le Lay, un blogueur raciste et antisémite (entre autres). Ce ponte de la fachosphère a été condamné une dizaine de fois par la justice française depuis dix ans, notamment pour incitation à la haine raciale. Exilé au Japon, il est également fiché S et est encore visé par 13 mandats de recherches par Interpol.
En raison des nombreux contenus haineux qu’il abrite, Démocratie participative a été bloqué en France par la justice en 2018, qui a à nouveau demandé sa fermeture en décembre dernier pour « menace à l’ordre public ». Par exemple, la légalisation de l’avortement en Argentine y est annoncé par ce titre : « Argentine : les traînées obtiennent la légalisation du droit de tuer leurs enfants pour coucher avec n’importe qui ». Démocratie participative a déjà été à l’origine de nombreuses vagues de cyberharcèlement, notamment celles contre la journaliste Julie Hainaut en 2017. Cette dernière avait critiqué dans un magazine culturel lyonnais un bar qui vantait « l’esprit colonial » et la colonisation. Pour cette brève, elle s’était fait traiter de « pute à nègre féministe » par le site néonazi, complétée par des appels au harcèlement.
Je ne crois pas, non.
Cette affaire s’est terminée par une relaxe.
Le schéma a été similaire pour Héro Écho et sa chanson Amazones. La rappeuse y est traitée de « blanche ravagée par le féminisme juif, le post-bolchevisme, la peur de soi, le misérabilisme, la drogue, les médocs et les problèmes avec papa ». Sur deux articles, l’auteur enchaîne les phrases ignobles comme : « Qui voudrait toucher ce machin, à part des nègres ? ». Il en remet une couche sur le forum du site, lancé en avril 2020 et nommé « Europe écologie Les Bruns ». Avant d’envoyer ses trolls sur le compte d’Héro Echo. « J’ai eu les 7.000 vues le dimanche, je suis partie au travail le lundi et mon téléphone n’a fait que sonner. Des amis m’ont prévenu que ça n’allait pas du tout, qu’il y avait un raid sur ma page YouTube. Ils ont tout de suite identifié que ça venait de Boris Le Lay », raconte-t-elle.
« Qui voudrait toucher ce machin, à part des nègres ? » – ben oui, je vous le (re)demande : Qui voudrait toucher ce machin, à part des nègres ?
Une littérale pute à frange !
Surtout quand vous avez le son et vous entendez cette épave chanter du rap.
Les commentaires oscillent entre racisme, sexisme et même antisémitisme : « Vous avalez à quatre pattes ? », « Et un jour, sans raison, les gens ont voté Hitler au pouvoir », « Heureusement qu’on a perdu en 45, ça aurait été dommage de louper ça », « C’est vraiment de la merde, trouve-toi un mec rapidement, fais toi bourriquer puis pond. Ça ira beaucoup mieux après »… Mais la rappeuse reçoit aussi des menaces de mort : « Si ce n’est pas nous les méchants fachos qui nous nous occuperons de vous, ce sera nos “remplaçants” “racisés” qui sont très loin de vos combats imaginaires. (…) Et sinon, il restera la sélection naturelle qui se chargera de vous éradiquer. »
Héro Echo décide de retirer le clip un temps pour protéger les figurantes. « Je l’ai fait avec amertume. Pour moi, c’était un échec. Mais je n’ai pas chanté : “Ce son c’est pour mes soeurs” pour ne pas le faire. » Ça ne calme pas la meute d’extrême droite. « Ils se sont rabattus sur mon Facebook perso, ils ont chopé mon nom et celui de mon mari. Ce n’était vraiment pas drôle », témoigne-t-elle. Ils trouvent également des photos d’elle et de son époux. Elle passe les jours suivants à sécuriser son compte Facebook qui avait de « nombreuses failles » : « Durant 48 heures, je n’ai pas dormi ou mangé, ça a été assez cauchemardesque. »
Finalement, elle et ses amies choisissent de remettre le clip en ligne quelques jours plus tard. Cette fois, le harcèlement est minime. « Il y a encore des petites vagues de temps en temps mais je craignais plus », estime Héro Echo. Elle a encore du mal à s’expliquer comment son clip a pu arriver « jusqu’à ces gens » : « Je m’attendais un peu à des raids masculinistes mais pas du tout à ces personnes-là. Après, je comprends ce qui les a énervés, ça montre que la chanson a marché. »
Pour la « destruction du patriarcat » les armes à la main, il faudra patienter.
Il n’y a pas eu de « raid » ceci dit.
C’est simplement une bouse conformiste dont le son est si atroce qu’il fallait bien le montrer à nos nombreux lecteurs. Certains d’entre eux, profondément scandalisés par l’absolue nullité de cette chiure, ont décidé de faire part de leurs critiques artistiques dans la section commentaire de la vidéo – la section commentaire étant effectivement conçue pour commenter.
Et là, cette traînée est passée en mode Erreur 404.
Le but évident de cet article du média juif Street Press est d’interdire toute critique de l’art dégénéré. Vous êtes censé aimer ça, point barre. Aucun désaccord possible, uniquement le droit de faire semblant d’adhérer au flux perpétuel de déchets produits par le bolchevisme culturel.
Pour nous, au contraire, il est plus que jamais nécessaire de remettre au fond des poubelles ce qui n’aurait jamais dû en sortir.