Captain Harlock
Démocratie Participative
16 juillet 2018
La République judéo-créole assume de plus en plus nettement sa politique : écraser la race blanche en Europe et lui substituer un salmigondis de peuplades nègres et orientales dont elle prendrait la direction.
La télévision d’état l’explique d’ailleurs en ces termes.
Partout en France, on célèbre l’exploit de la France contre la Croatie. Les résidents du centre Albin Peyron de l’Armée du Salut, à Paris, ont eux aussi suivi le match avec enthousiasme. Récit d’une victoire vécue à travers les yeux de migrants.
Il est 16 heures, le match n’a pas encore commencé, mais Ali, 22 ans, porte déjà le drapeau tricolore sur le dos. Le jeune homme est afghan, il est logé par une famille française dans le quartier des Invalides. Pourtant, il a traversé tout Paris pour venir voir le match ici, sur les écrans de télévision allumés pour l’occasion dans la cafétéria de la résidence Albin Peyron qui appartient à l’Armée du Salut. Il doit retrouver des amis qui habitent dans ce centre, des Afghans comme lui, qu’il a rencontrés il y a 2 ans, lorsqu’ils vivaient dans la rue « sous les ponts dans le quartier de Jaurès et Gare de l’Est ». Il ne connaît pas les chants des supporters, mais il a inventé sa propre mélodie : « Allez les Bleus ! Allez Griezmann ! Allez Kanté ! », chante-t-il. Soutenir la France lui paraît évident. « J’aime trop les Français, ils ont été bons avec moi ! » répète-t-il. Depuis quelques mois, il a sa carte de séjour et a entamé des études de français pour travailler ensuite dans l’hôtellerie.
« En France, il y a l’égalité dans la devise » rebondit Youssef*, soudanais, du Darfour, âgé de 25 ans. « Ici si tu es le meilleur tu as tes chances, le rêve est possible ». Il fait référence aux quelques 16 joueurs d’origine africaine de l’équipe de France. « Mbappé son père est camerounais et sa mère est algérienne » précise Youssef. Dans la résidence, c’est un détail qui compte. À chaque match depuis le début du mondial, les habitants du lieu descendent dans le hall pour suivre les rencontres sur les écrans de la cafétéria. Certains matches intéressent plus que d’autres. Ceux des grandes équipes (Brésil, Argentine…) ont attiré un peu de monde. Puis il y a eu les rencontres des équipes africaines. « Depuis leurs éliminations, l’équipe de France représente l’Afrique » plaisante Youssef. Lors de la demi-finale, une soixantaine de résidents sont descendus dans la rue sur les 400 personnes hébergées sur place.
Ce soir, lorsque le match commence, ils sont une cinquantaine devant l’écran. Certains résidents sont allés pour leur part jusqu’aux Champs-Élysées. « Ceux qui sont restés là c’est parce qu’il n’ont pas de carte de transport ou des problèmes avec leurs papiers » explique Youssef, qui est dans ce cas.
D’autres compatriotes soudanais et érythréens se sont regroupés devant l’un des écrans de la cafétéria. Ils râlent en levant les mains au ciel. « Pavard manque de vitesse !, « Giroud ne sert à rien, il n’a pas marqué de but ». « Il faut qu’on gagne ! On doit gagner ! » répète Abdul Fathi, un informaticien soudanais de 35 ans arrivé il y a trois ans. « Aujourd’hui on gagne même si on se saigne ! »
Un peu plus loin, un groupe de femmes crient « Merci Pogba ! » Le joueur vient d’inscrire un troisième but pour la France. Kylian Mbappé lui emboîte le pas quelques minutes plus tard. « Personne n’a un drapeau là ? Il me faut un drapeau de la France ! » lance Bakayoko, une Ivoirienne de 29 ans. « Quatre buts en finale d’une Coupe du monde ! Ça c’est grave ! » s’écrit Florence, son amie camerounaise. Les femmes esquissent une danse.
« Mbappé, Umtiti, ce sont mes enfants » lance Florence, qui rappelle que les deux joueurs sont d’origine camerounaise. « Ça me plaît, l’idée que le Cameroun puisse produire quelque chose de beau. Que nous contribuions à l’évolution de la France. Car je dois beaucoup à la France, elle m’a sauvée, elle m’a guérie ». Elle s’empresse alors d’appeler son mari resté à Douala, qu’elle a quitté pour venir se faire soigner ici après des complications liées à l’accouchement. « Il me dit que c’est la fête là-bas aussi » raconte-t-elle. « S’ils gagnent, je vais aux Champs-Élysées ! » lance-t-elle, accompagnant l’enthousiasme collectif dans la salle. Un autre résident en France depuis longtemps s’écrit : »Et s’ils gagnent, ils donnent les papiers à tout le monde ? ».
Florence elle, n’a plus de soucis. Elle vient d’être régularisée. Maintenant, elle ne rêve que d’une chose, c’est de retourner voir son fils qu’elle a laissé au pays et le faire venir en France. « Je n’étais pas mauvaise au foot, alors pourquoi pas, mon fils pourrait lui aussi devenir un Mbappé ». Au coup de sifflet final, les femmes montent se changer pour sortir faire la fête dans Paris. La France est championne du monde. Florence et Bakayoko se parent de bleu, de blanc et de rouge. Finalement, elles n’iront pas sur les Champs-Élysées, mais à Château-Rouge.
Il ne s’agit plus d’une sélection nationale mais d’une sélection raciale : celle des hordes de sous-hommes lancés par les juifs et l’Etat Français contre le continent.
L’avertissement d’Adolf Hitler dans Mein Kampf se matérialise sous nos yeux :
Ce peuple, qui tombe de plus en plus au niveau des nègres, met sourdement en danger, par l’appui qu’il prête aux juifs pour atteindre leur but de domination universelle, l’existence de la race blanche en Europe. Car la contamination provoquée par l’afflux de sang nègre sur le Rhin, au cœur de l’Europe, répond aussi bien à la soif de vengeance sadique et perverse de cet ennemi héréditaire de notre peuple qu’au froid calcul du Juif, qui y voit le moyen de commencer le métissage du continent européen en son centre et, en infectant la race blanche avec le sang d’une basse humanité, de poser les fondations de sa propre domination.
Le rôle que la France, aiguillonnée par sa soif de vengeance et systématiquement guidée par les Juifs, joue aujourd’hui en Europe, est un péché contre l’existence de l’humanité blanche et déchainera un jour contre ce peuple tous les esprits vengeurs d’une génération qui aura reconnu dans la pollution des races le péché héréditaire de l’humanité…
Nous devons encore considérer en première ligne comme états géants les Etats-Unis, puis la Russie et la Chine. Il s’agit là de formations territoriales qui, pour partie, ont une surface plus de dix fois supérieure à celle de l’empire allemand actuel. La France même doit être comptée au nombre de ces états. Non seulement du fait qu’elle complète son armée, dans une proportion toujours croissante, grâce aux ressources des populations de couleur de son gigantesque empire, mais aussi du fait que son envahissement par les nègres fait des progrès si rapides que l’on peut vraiment parler de la naissance d’un état africain sur le sol de l’Europe. La politique coloniale de la France d’aujourd’hui n’est pas à comparer avec celle de l’Allemagne de jadis. Si l’évolution de la France se prolongeait encore trois cents ans dans son style actuel, les derniers restes de sang franc disparaîtraient dans l’état mulâtre africano-européen qui est en train de se constituer : un immense territoire de peuplement autonome s’étendant de Rhin au Congo, rempli de la race inférieure qui se forme lentement sous l’influence d’un métissage prolongé. C’est là ce qui distingue la politique coloniale française de l’ancienne politique coloniale allemande.
Les juifs ne font même plus semblant de nier la réalité de cette guerre raciale d’extermination qu’ils mènent contre l’Europe.
Et le regard des juifs portent sur l’Est de l’Europe, Russie en tête.
Un des beaux moments de cette coupe du monde: ce moment de complicité entre Mbappe, héros du jour, et une Pussy Riot venue rappeler, ici, sur le lieu même du match, la cause des droits de l’homme – et des femmes. #FootballWorldCup2018 #Mbappé #PussyRiot #France pic.twitter.com/wZh50WtOYo
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 15 juillet 2018
La juiverie médiatique jubile.
Est ce qu’on peut prolonger @fifaworldcup_fr avec la belle @equipedefrance !Tout le monde sera tout le temps heureux!
Tous au poste sur @franceinter avec la dreamteam @FabSintes @askolovitchC @abellanger49 @TCroisiere @FabriceAbgrall @JacquesVendroux @jeromevallette @B_Queneutte pic.twitter.com/hlWH2LIujW— Laurence Bloch (@LaurenceBloch) 15 juillet 2018
Dear Professor. Even if our team was 100% christian-lily-white, we should eradicate islamophobia, racism and xenophobia, and, matter of fact, antisemitism, and anti-chinese bias. Football is pure magic, period, and you do not bargain values. Thanks anyway. https://t.co/RtrI6nl754
— claude askolovitch (@askolovitchC) 16 juillet 2018
Dans ces conditions, le patriotisme officiel, institutionnel devient une des meilleures armes de guerre psychologique entre les mains des juifs. Il permet à ceux-ci de recruter à leur suite les Français sidérés par le chauvinisme pavlovien et de les amalgamer aux nègres et aux arabes dans leur guerre contre la race blanche.
La montée en puissance de la résistance identitaire en Europe a convaincu les juifs d’oser leur manoeuvre la plus audacieuse : créer ex-nihilo un nationalisme de métèques dont la fonction sera de lutter contre la résistance raciale blanche en Europe.
@jattali aux RencontresEco d’Aix: « la Nation doit se réapproprier le Nationalisme; il ne faut plus qu’il soit instrumentalisé par ls extrémistes. #Nationalisme est avant tout aimer son pays, sa culture, son histoire» (débat:Vers un choc des Nationalismes) #REAix2018 @Cercle_eco pic.twitter.com/2aAg3PAElj
— Gouvernance Magazine (@GouvMag) 8 juillet 2018
Face à cela, il n’y a qu’une seule réponse possible : développer le racisme contre le faux patriotisme instrumentalisé par les juifs.
Nous ne devons pas nous laisser impressionner par les offensives médiatiques sémitiques les plus massives. Les lois éternelles de la nature ne peuvent être démenties par aucun mensonge juif.
La victoire appartient à ceux qui n’abandonnent jamais.