La presse israélienne est catégorique : les juifs veulent fuir la France après l’avoir détruite par l’immigration afro-musulmane

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 mai 2021

Vous vous rappelez du dernier grand rassemblement organisé par juifs pour protester contre l’assassinat de Français de souche par des immigrés ? Moi non plus.

Vous n’avez pas pu échapper au torrent de rage qu’ont déversé les médias juifs sur la France suite à la décision logique de la Cour de Cassation de conclure à l’inexistence d’un quelconque complot antisémite dans la mort de la vieille juive Sarah Halimi.

Pendant des jours et des jours, vous avez fini par avoir l’impression que la France entière était effectivement en ébullition tant l’intégralité des médias écumaient de haine. La précipitation de la droite casher à embrayer le pas vous a même peut-être convaincu que le peuple français ne pensait plus qu’à une seule chose : le non-attentat non-antisémite dont était accusé Kobili Traoré, un noir fou.

En réalité, c’était une illusion médiatique juive.

L’immense majorité des Français a réagi très différemment d’Emmanuel Macron, de Marine Le Pen ou de médias comme Valeurs Actuelles ou Sud Radio. Les Français se sont demandés pourquoi une si soudaine insurrection médiatique se formait dans un pays où chaque année des centaines de Français de souche sont assassinés par des afro-maghrébins, dans l’indifférence totale des médias. Ils ont souvent conclu que c’était là le résultat de l’emprise juive sur l’Etat et les médias et ont correctement interprété le message officiel : en 2021, la vie d’un juif vaut infiniment plus que celle d’un petit Français en France.

Les juifs ont parfaitement compris la situation.

The Times of Israël :

En rejoignant le flot de personnes qui convergeaient vers la place du Trocadéro, j’ai vite compris que cet événement serait très différent des dizaines de rassemblements de la communauté juive auxquels j’avais assisté en France.

L’atmosphère, la rhétorique, le symbolisme et la participation au rassemblement de protestation « Justice pour Sarah Halimi » du 25 avril m’ont suggéré que la communauté juive de France entrait dans une nouvelle phase du glissement depuis des décennies de la confiance de ses membres dans leur avenir ici.

Le rassemblement – un évènement qui compte 20 000 participants, l’un des plus grands rassemblements communautaires depuis des décennies – a été déclenché par une décision rendue le 14 avril par la plus haute juridiction française. Elle a affirmé que Kobili Traore, 31 ans, était inapte à être jugé car ce musulman avait fumé tellement de marijuana avant le meurtre de 2017 que cela l’avait rendu temporairement psychotique.

Le meurtre d’Halimi, une médecin et directrice de crèche âgée de 65 ans, a rendu les Juifs français furieux parce qu’ils le considèrent largement comme le dernier d’une série de meurtres à motivation idéologique commis par des islamistes, qui ont coûté la vie à au moins 10 Juifs au cours de la dernière décennie.

10 juifs tués sur 10 ans.

10,000 Français tués sur la même période.

L’obscénité du narcissisme juif.

Mais contrairement à de nombreuses manifestations antérieures de juifs français sur cette question, celle du 25 avril ne concernait pas du tout les antisémites. Il s’agissait plutôt d’un cri contre les actions des autorités que les Juifs français considèrent presque unanimement comme des alliés précieux dans la lutte contre les djihadistes et autres personnes qui haïssent les Juifs.

Ce revirement thématique significatif est la moindre des choses qui me font penser au 25 avril comme à un évènement marquant.

Les juifs sont revenus au statut qui était le leur au Moyen-Âge : celui de juifs de cour.

C’est grâce à l’impunité que lui offraient les monarques achetés avec son or que le juif pouvait exploiter le peuple, parfois pendant des siècles.

Mais sitôt cette protection royale levée, le juif subissait toute la fureur libératrice de ses victimes.

Le juif garde un goût amer de chacun de ces soulèvements. Nombre de juifs en remplissent des livres entiers encore de nos jours pour maudire les peuples qui se révoltèrent contre sa féroce dictature raciale.

C’est ce qui explique à quel point le juif est dépendant du régime républicain, sa création : sans l’Etat et sa police, des pogroms auraient déjà eu lieu dans les rues de France.

Si les magistrats n’exécutent pas les décrets rabbiniques à la lettre, le joug juif est condamné à brève échéance. D’où l’angoisse du juif exploiteur.

Cette communauté, que je croyais bien connaître, m’est soudain devenue méconnaissable.

Le caractère informel qui accompagne habituellement ces rassemblements a disparu. Comme les funérailles, il s’agit d’évènements solennels mais sociaux pour les membres d’une communauté soudée où les retrouvailles sont réconfortantes – surtout après une année de confinement.

Les personnes que j’ai vues sur la place du Trocadéro n’étaient ni simplement tristes ni en colère. Elles étaient exaspérées, furieuses. Peut-être désespérées. Et il y avait un nouveau sentiment dans ce mélange : la résignation, que je n’avais jamais ressentie de manière aussi palpable auparavant au cours de mes 15 années de couverture du judaïsme français.

C’était évident non seulement dans les conversations que j’ai eues avec les manifestants – « Regardez tous ces gens ici : Nous serons tous en Israël en 2031 », m’a dit un manifestant, un acteur du nom d’Anthony Sonigo, mais aussi dans les pancartes et les discours des organisateurs.

Oui.

La fin de la présence juive en France est inéluctable, je n’ai de cesse de le répéter.

Les juifs ont poussé leur soif de domination trop loin. Ils ont causé trop de drames par leur emprise sur la société française, tout particulièrement dans l’organisation sadique de la submersion migratoire de la France par le tiers-monde afro-oriental.

La Providence fait maintenant sentir tout le poids de ses crimes à ce peuple qui a encore l’impudence de se lamenter en plein Paris, toute honte bue, en exigeant de ses victimes autochtones qu’elles se préoccupent de son confort.

C’est ce qui rend la race juive aussi haïssable : elle a un cœur de pierre, un mépris absolu pour l’humanité et une arrogance sans limite.

C’était la première fois que j’assistais à un spectacle d’humour noir dans un cadre que j’ai l’habitude de voir dominé par des expressions d’unité et de détermination intransigeante.

Sur certaines des pancartes du rassemblement, on pouvait lire : « Un joint t’es relax, 10 joints t’es relaxé. »

L’une d’elles est celle de Jacques Essebag, un humoriste juif français connu sous le nom de scène d’Arthur, qui annonce qu’il a « décidé de commencer à se droguer parce qu’en France, tu peux faire ce que tu veux, même tuer ta voisine si tu ne l’aimes pas, si tu te drogues. » Il a ensuite ajouté : « Qu’est devenu ce pays ? »

Arthur, l’incarnation de la télé poubelle séfarade, se demande ce qu’est devenue la France.

La réponse est simple : une déchèterie juive.

C’est justement ce que voulaient les juifs : en finir avec la France française pour la remplacer par une décharge multiraciale sur laquelle trônerait le juif éternel.

La déception du peuple élu est à la hauteur de ses attentes passées.

Une autre montrait quatre personnes en train de rire de façon maniaque et de marmonner « impossible, cela ne pourrait jamais arriver » pour souligner combien de Juifs français pensent que les jugements sur Traoré sont déraisonnables. Ils soulignent les propres déclarations de Traoré au moment où il a tué Halimi, ainsi que sa fuite par la suite, comme preuve qu’il n’était pas fou.

Autre signe révélateur : les dizaines de drapeaux jaunes de la Ligue de défense juive, une organisation d’extrême droite considérée comme terroriste par le FBI. Ses symboles sont généralement interdits lors d’évènements de la communauté juive, comme le rassemblement de dimanche.

Voilà une radicalisation à propos de laquelle France 2 restera discrète.

Il faudra se contenter de reportages sur la menace blanche.

#UltraDroiteNouvelleMenace #LREM2022 #ValeursRepublicaines

J’ai également observé un véritable changement dans la façon dont l’allégeance à la France – et la possibilité de la quitter – était discutée. Au moins 50 000 Juifs français ont décidé de quitter la France pour Israël au cours de la dernière décennie. Cette immigration, appelée alyah en hébreu, a connu un pic après 2012, lorsqu’un jihadiste a assassiné Jonathan Sandler et deux de ses enfants, Gabriel, 3 ans, et Aryeh, 6 ans ainsi qu’une autre petite fille de 8 ans, Myriam Monsonégo en mars 2012 à l’école Ozar HaTorah de Toulouse. Elle a bondi après qu’un autre terroriste jihadiste a tué en 2015 quatre autres Juifs dans un supermarché casher de Paris – Yohan Cohen, Philippe Braham, François-Michel Saada et Yoav Hattab.

À la suite de ces tragédies et de l’incertitude qu’elles ont fait naître chez les Juifs français, le grand rabbin Haïm Korsia a constamment cherché à les rassurer sur leur avenir ici. En 2016, après l’agression à l’arme blanche d’un Juif à Marseille, il a déclaré dans un discours que le simple fait de se demander s’il faut porter une kippa dans la rue en France « est problématique ». Nous ne devons pas céder un pouce, et ni la France ni ses Juifs ne céderont jamais un pouce », a-t-il déclaré.

Haïm Korsia, dont l’optimisme est la marque de fabrique, n’a pas répété ce message lors du rassemblement du 25 avril, préférant se contenter de réciter une prière de deuil pour Mme Halimi.

Jonathan Behar, un entrepreneur high-tech né à Paris et l’un des initiateurs du rassemblement, a tenté d’inspirer la foule pendant son discours, en criant « nous sommes là, nous vaincrons ». Mais, a-t-il lancé, « si la police ne peut pas nous défendre, si le système judiciaire ne peut pas nous défendre, quel est notre avenir ? » Des dizaines de manifestants lui ont répondu en criant : « Alyah », déclenchant des rires.

« Nous sommes là, nous vaincrons ».

C’est curieux, ça sonne comme le slogan de l’armée coloniale israélienne.

Le CRIF envisage sûrement de demander aux F16 israéliens de faire des crochets au dessus de la France pour corriger les faiblesses du gouvernement français.

Un tel fatalisme n’est pas caractéristique d’une communauté dont les évènements sont habituellement empreints de pathos, y compris des expressions spontanées de patriotisme comme le chant de la Marseillaise, l’hymne national français. Il s’agissait d’une expression réelle et choquante d’un développement récent qui s’est produit en ligne, dans lequel des personnalités de la communauté ont commencé pour la première fois à débattre de l’avenir de la minorité dans des articles d’opinion et sur les médias sociaux.

J’avais oublié le patriotisme exacerbé de ces juifs.

Réflexe typique du patriote français : dénoncer la France en anglais en plein Paris

Le discours de Joël Mergui, le président du Consistoire, l’organe du judaïsme français chargé des services religieux orthodoxes, était également sans précédent.

« Je comprends vos doutes et vos interrogations sur l’avenir, et je les partage », a-t-il dit. « Je ne sais même pas si je dois vous rassurer ou crier ma colère. Oui, criez votre colère ! »

Les juifs sont en effet colériques.

C’est sous l’effet de la colère qu’ils firent torturer et crucifier le Christ en l’accusant d’antisémitisme.

Le public a crié d’une manière que je n’avais jamais vue auparavant – ni lors des événements commémoratifs à Toulouse, ni devant le supermarché casher Hyper Cacher en 2015.

J’ai demandé aux manifestants si l’affaire Halimi avait changé leur perception de la France.

« Pas à elle seule », me dit l’une d’entre elles, Alice Levy, une étudiante de 18 ans originaire de la région parisienne.

« Chaque fois, chaque attaque, chaque échec a provoqué une certaine désillusion », a-t-elle déclaré. « Alors nous sommes là, toujours français, toujours juifs, toujours engagés et assez unis pour venir ici. Mais désillusionnés. »

Cette bande va déguerpir, c’est déjà décidé.

Sur ce, la droite s’empresse de sauter à pieds joints dans le Titanic, fidèle à sa réputation de n’engager que des batailles qu’elle est sûre de perdre. Le philosémitisme de l’extrême-droite est simplement l’expression de son antisémitisme de vaincue : elle est certaine qu’en s’alliant avec la juiverie, elle ne peut que l’emporter.

Le retour sur la terre ferme va être brutal quand cette droite réalisera que les juifs auront déguerpi un beau jour, laissant les autochtones se débrouiller avec le chaos racial qu’ils ont organisé.

Il y a plus méprisable que les juifs : ceux qui servent une race aussi méprisable que les juifs.

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