Captain Harlock
Démocratie Participative
10 novembre 2019
Piotr Ching Chong va à la messe, c’est un vrai patriote polonais
La Pologne d’après commence timidement à émerger grâce aux ultra-nationalistes catholiques au pouvoir à Varsovie.
Elle sera un peu plus marron.
La nouvelle diversité polonaise inspire la couverture de l’hebdomadaire Newsweek Polska, une des huit éditions non anglophones du magazine américain.
Tout en demeurant farouchement opposée à l’accueil de réfugiés, la Pologne est devenue en quelques années “le pays de l’UE qui reçoit le plus d’immigrés extracommunautaires”, relève l’hebdomadaire libéral Newsweek Polska dans son édition du 4 novembre. “Rien qu’en 2018, il y a eu 635 000 arrivées, soit 90 000 de plus qu’en Allemagne et presque 200 000 de plus qu’au Royaume-Uni.”
Pour être précis, la plus grande part des immigrés en Pologne viennent de l’Ukraine voisine. Du moins, pour le moment car les choses bougent.
Le patronat polonais a d’ores et déjà édicté la nouvelle ligne gouvernementale à suivre en matière d’immigration. Des maghrébins, des caucasiens et des indiens commencent à montrer leurs sales gueules dans la capitale avec la bénédiction de nos nationalistes polonais antinazis.
Le but est d’importer pas moins de 5 millions de métèques dans les 30 ans à venir. Fourchette basse.
Je présume que c’est le prix à payer pour être constant face au racisme hitlérien. Et faire preuve de bonne volonté vis-à-vis des youtres.
Une petite colonie népalaise commence à fleurir sur la Vistule tandis que les durs de parti au pouvoir, déterminés à lutter contre l’islam, estiment que repeupler le pays de créatures édentées des Philippines catholiques est l’option la plus raisonnable.
Si vous regardez assez longtemps, vous verrez des Polonais
Je suis sceptique quant à la capacité de quelques hectolitres d’eau bénite à transformer des philippins en Slaves.
Mais je suis de parti pris.
Alors que depuis la Seconde Guerre mondiale, la Pologne constitue en Europe l’un des pays les plus homogènes sur les plans ethniques et linguistiques, cette diversité nouvelle inspire au magazine une couverture imitant les célèbres publicités des vêtements de la marque italienne United Colors of Benetton. Ukrainiens, Vietnamiens, mais aussi Israéliens, Japonais ou Angolais : “La Pologne n’est plus blanche, affirment les nouveaux venus.”
Et bien, ça n’aura pas mis longtemps.
Les juifs d’Israël ont il est vrai une tendance toute naturelle à s’emparer de la terre des autres pour s’en déclarer les uniques propriétaires.
Il me semble que quand des étrangers arrivent dans un pays et proclament que les autochtones n’y sont plus chez eux, c’est la définition même d’une colonisation en règle.
J’observe que le journal d’extrême-gauche « Courrier International » soutient à fond le programme patronal polonais dès lors qu’il s’agit de détruire biologiquement un état blanc.
En pareil cas, finie la « lutte des classes ».
En tout cas, on touche là à l’essentiel. La Pologne actuelle a simplement 40 ans de retard sur la France pour la seule raison que l’occupation soviétique et l’état de déréliction économique qui a prévalu jusque dans les années 90 ont largement contribué au statu quo racial.
Vous pouvez gagner du temps mais pas échapper à Sauron
Sitôt intégrés dans le bloc atlantiste, le maître juif de Wall Street et de l’UE a fixé les règles aux Polonais : le rattrapage à marche forcée.
Je me rappelle très bien de l’Irlande ou de l’Italie des années 90. C’était le même scénario. Déjà au début des années 2000, les villes irlandaises commençaient à se remplir de négresses du Nigeria et de pakistanais puants.
Ainsi que de maghrébines venues de France (si, si).
En Irlande, le métis d’indien homosexuel Varandkar a lancé le programme « Ireland 2040 » qui prévoit le repeuplement de l’Irlande par un million de sous-hommes du tiers-monde conformément aux consignes de l’UE, de Wall Street et du lobby de l’immobilier local.
La très catholique Irlande, si « différente », est aujourd’hui un état LGBT qui installe des migrants musulmans partout où c’est possible.
Il va sans dire que les sodomites du clergé catholique sont à fond pour la tiers-mondisation de l’Irlande comme ils le sont pour celle de la Pologne.
Sauf une révolution nationaliste ne survient en Irlande, cet état de 6 millions d’habitants est donc condamné à devenir un enfer ethnique afro-asiatique qui n’aura rien à envier à la banlieue londonienne ou à Marseille.
Les kouffars irlandais sont invités à se convertir avant que le djihad ne devienne obligatoire pour les croyants.
Pour en revenir à la Pologne, ces gens si obsédés par les Russes sont désespérément accrochés à leurs maîtres américains.
Comme pour le système soviétique, l’adoption du système (((démocratique occidental))) suppose une série d’obligations non-négociables. La première étant d’entamer la production de mulâtres à échelle industrielle pour abâtardir la nation inféodée et l’empêcher de relever la tête face au juif.
Les capitaux juifs seront mobilisés, les médias rachetés par les yids, la diffusion de rap négroïde généralisée. Des Blancs à casquette, négrifiés mentalement, dénonceront le racisme polonais tandis que des Polonaises maquées à des nègres seront partout dans les émissions de télé-réalité. Les ashkénazes de la CIA organiseront l’importation de dope pour zombifier la population.
Et je parle pas de la transformation des mâles polonais en sales tarlouzes sidaïques.
En une ou deux générations, les pieuses Polonaises à tresses seront des traînées féministes tatouées, totalement sémitisées mentalement.
Aussi sûr que 2 et 2 font 4, si la Pologne reste sous la botte judéo-yankee encore 30 ans, les nationalistes polonais supplieront les Russes de bien vouloir les envahir pour les libérer du paradis multiculturel pédo-LGBT.
Ne venez pas me dire, « aucune chance ».
Ça va arriver
Au reste, je ne vois pratiquement aucun aspect dramatiquement négatif si jamais la Russie envahissait un jour la Pologne.
Le risque d’avoir une souveraineté limitée ?
La Pologne a déjà une souveraineté limitée mais elle n’en ressent pas encore tous les effets. C’est une question de 10 à 20 ans avant de voir les contreparties se matérialiser radicalement. Le système trotsko-financier américain est cohérent. Sa doctrine fondamentale ne change pas en fonction de la géographie.
La ville dégénérée de Berlin n’est qu’à 100 kilomètres de la frontière polonaise, c’est-à-dire la moitié de la distance qui sépare Paris du Havre. Ce n’est qu’une question de temps avant que la pourriture ne se dissémine d’ouest en est.
Une économie en berne ?
On voit ce que donne de nos jours une « économie dynamique » au sens libéral : une jolie marée de chiasse « parce que quand même, si on veut atteindre +0,2% du PIB au prochain trimestre, vous comprenez, il nous faut des congolais qui vont à la messe. »
Cette histoire de croissance économique, pour charmante qu’elle soit en elle-même, est hautement destructrice dans ce système globaliste occidental.
Ce court-termisme économique est d’inspiration juive, ne profitera jamais qu’aux juifs et à aux quelques barons locaux qui sont leurs marionnettes.
Les Polonais ont peut-être bouffé des patates pendant 50 ans sous le communisme mais ils sont encore là. Troquer sa continuité biologique contre une chaîne de Starbucks ne peut faire rêver qu’un hipster homosexuel pacsé à un youtre.
Une économie doit être au service d’un peuple. Ce sont les financiers juifs qui martèlent l’inverse pour accroître leurs profits.
Pour le juif, l’humanité est la variable d’ajustements de ses avoirs en bourse.
Dans les années 80, la France avait un PIB deux fois plus petit que celui d’aujourd’hui : quand était-on plus heureux ? Il y a trente ans ou bien dans cette mer de merde afro-islamique ?
En 1960, il était 5 fois inférieur à ce qu’il est aujourd’hui.
Quel Paris préférez-vous, celui de 1960 ou celui de 2019 ?
La qualité de vie au sein d’une société n’a rien à voir avec le luxe matériel.
Seul le juif et sa bourgeoisie voient le monde par le prisme de l’inflation du PIB nominal.
Le juif et le patronat ont corrompu le peuple avec cette soif perpétuelle de profits. Profits qui lui sont rigoureusement interdits.
J’ajouterais que si pour survivre un peuple doit se contenter de patates pendant un demi-siècle, alors il doit bouffer des patates pendant un demi-siècle. Ce n’est jamais que ce qu’ont fait nos ancêtres pendant des millénaires.
Mais en fait, même dans un scénario de contraction économique drastique, nous serions plus à l’aise matériellement que dans les années 50.
Nous sommes tout simplement devenus trop complaisants avec le capital et son maître qu’est le juif international.
Quant à ce système de redistribution sociale dont on nous parle tant, il ne sert qu’à une chose : faire ronronner les Boomers en retraite et et surbooster la natalité des métèques.
Pourquoi booster la natalité des métèques ? Pour que ce système juif puisse continuer à faire ronronner ses épargnants que sont les Boomers, permettant au juif de maintenir sa pyramide de Ponzi.
Jadis, une famille pouvait vivre sur le salaire de l’homme. Aujourd’hui, c’est impossible. Les juifs nous ont écrasé sous le poids des taxes, de l’impôt sur le revenu.
Les pays de l’est de l’UE entrent dans ce système à toute vitesse et il va les pourrir de la même façon qu’il a pourri les nations de l’Europe de l’Ouest. La seule différence est le fossé temporel.
Il n’y a pas de salut dans ce système ploutocratique aux mains de la juiverie financière et de l’armée US. Aucun. C’est une fable, une illusion. Un mensonge.
Il est temps de dire que l’augmentation du PIB n’est pas la priorité. La priorité absolue est la survie des peuples blancs en Europe, pas le niveau de confort des banquiers ou des vieux.
Qu’est-ce qu’un cadavre aurait à faire d’un compte en banque dans le vert ?
Si nous continuons avec ce système social-libéral qui réduit les peuples à des consommateurs découplés du destin de leur communauté populaire, nous ne survivrons pas au 21ème siècle.
Sans abattre la démocratie juive, nous marcherons à l’abîme. Sans attraper le juif par la tignasse pour le chasser de nos vies, nous marcherons à l’abîme.
Nous pouvons nous épuiser à force de parler d’élections, de partis, de débats. Sans désigner l’engeance diabolique qui conspire dans l’ombre, la situation continuera de s’aggraver.
Le juif doit être extirpé d’Europe, peu importe le temps ou les moyens.
Le 21ème siècle doit être la fin de la présence juive sur le continent et cette lutte se déroule au premier chef dans le pays européen où elle est le plus solidement établie : la France.