Captain Harloçk
Démocratie Participative
13 juin 2018
En France sous occupation juive, tous les symboles authentiquement français peuvent être souillés par la pire vermine raciale sans aucune espèce de conséquences judiciaires.
En revanche, un seul mot de travers à l’endroit d’un symbole juif et le bras séculier républicain se déchaîne dans l’heure.
Episode 1 – Le maire communiste de Bezons @DLesparre renomme une allée la « Nakba », en référence à l’exode des Palestiniens et qualifie Ben Gourion, le fondateur de l’Etat juif, de « criminel de guerre ».
Épisode 2 – le préfet prononce un arrêté pour faire retirer la plaque honteuse pic.twitter.com/aI5G8lQIWC— Noémie Halioua (@NaomiHalll) 12 juin 2018
Même le palestinisme rouge n’y résiste pas malgré le soutien inconditionnel de tout ce que compte la France de bougnoules agressifs.
Cette poignée de nègres peut multiplier les appels à la violence, semer le chaos ici et là, rien n’y fait : cette négraille peut aller et venir.
Non pas que les flics ne les surveillent pas, mais le gouvernement juif les trouve en réalité plutôt utiles. Du moins, pour le moment.
S’ils venaient à emprunter la voie de Kémi Séba, c’est-à-dire celle du racisme noir antisémite, les choses changeraient très, très vite.
Donc ces nègres multiplient les provocations contre nous.
Ils viennent littéralement faire les singes pour des histoires de nègres à la con qui se passent en Afrique dont nous n’avons strictement rien à foutre.
Et cette LDNA se résume, en réalité, à un seul et unique cafre ayant à 200 mots de vocabulaire.