Captain Harlock
Démocratie Participative
21 novembre 2018
Face au mouvement, la vermine communiste mandatée par le système tente d’infiltrer et de subvertir.
Sans grand succès d’estime.
Quand l’extrême-gauche tente de récupérer politiquement le mouvement des #GiletsJaunes : les Français sifflent l’international. ? pic.twitter.com/dLk2Tz9yya
— Dominique Bilde (@DominiqueBilde) 20 novembre 2018
En parallèle, des provocateurs rouges sont utilisés pour discréditer le mouvement.
En Bretagne, des anarcho-communistes parfaitement connus des services de renseignement ont parasité le mouvement pour le discréditer en attaquant les flics et même des petits commerces locaux.
Actu.fr :
La préfecture confirme que policiers et gendarmes, ainsi qu’un renfort de CRS, ont dû intervenir hier soir « car le profil des manifestants a changé au fil de la soirée. Des manifestants voulaient en découdre avec les forces l’ordre. »
Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, s’est exprimé ce matin sur France 2 et a dénoncé une dérive totale des gilets jaunes.
Le ministre a précisé que, lors de l’intervention des forces de l’ordre, « des hommes avaient des barres de fer et des cocktails Molotov ».
Six personnes ont été interpellées mardi matin à la suite suite de ces échauffourées. Interrogé sur le profil de ces manifestants, le parquet de Saint-Brieuc n’a pas souhaité communiquer.
Le parquet – c’est-à-dire le gouvernement – a sciemment pratiqué la rétention d’informations pour laisser penser que ces casseurs étaient des Gilets Jaunes.
En réalité, Castaner connaissait parfaitement le profil des intéressés et savait qu’il s’agissait d’agitateurs marxistes locaux affiliés à la mouvance antifa.
Cette vérole anarcho-communiste a été activée à dessein et il est probable que le gouvernement d’occupation utilise cette tactique ailleurs.
Dans le même temps, la crasse cégéto-communiste essaie de déborder le mouvement pour exister.
BFMTV :
Sans citer le mouvement des « gilets jaunes », la CGT « appelle les citoyens à ne pas laisser dévoyer leur colère par ceux distillant des idées xénophobes, racistes, homophobes« .
La CGT a appelé mardi « tous les citoyens, salariés actifs et retraités » à se joindre aux manifestations le 1er décembre des privés d’emploi pour « infléchir » la politique du gouvernement et « ne pas laisser dévoyer leur colère par ceux distillant des idées xénophobes, racistes, homophobes ».
La fonction de la CGT payée par cette ploutocratie juive : soutenir l’invasion islamo-nègre voulue par la finance internationale et dénoncer le peuple autochtone qui s’y oppose.
Je peux vous dire que ce machin du 1er décembre n’ira nulle part.
Ce concept bizarre de « chômeurs en grève » ne peut germer que dans la cervelle d’un vieux communiste haineux ravagé par l’alcool.
Ou d’une grosse pédale juive.
Interview de @IanBrossat , chef de file pour les #Europeennes2019 du @particommuniste , à @TETUmag , au programme :
-La lutte contre l’#homophobie
-Le sort des #migrants #LGBTI
– L’ #homosexualité en politique
– les élections #Europeennes
Aimez ⬇️ RT ⬇️#PCFLGBT #PCF2019 #pcf https://t.co/Yz6jqw0qkS— Fier.e.s et Révolutionnaires PCF LGBTI (@FLgbti) 24 octobre 2018
Le peuple se fout totalement de la CGT qui ne représente plus, à ce stade, que la mince couche de permanents syndicaux payés par le système pour combattre le prolétariat blanc.
Bien que cette infiltration a très peu de chance de réussite, il faut dès maintenant expulser sans ménagement ces provocateurs communistes.
On voit bien que d’un côté les trotskistes essaient de pénétrer notre mouvement pour le discréditer aux yeux de la classe moyenne blanche tandis que la CGT, agitée par le PCF, essaie de se poser en alternative. Pour le compte de la finance juive et de Macron.
Il est facile de voir clair dans le jeu de l’hydre hébraïque.