La Pologne met en place le fichage des traînées qui veulent assassiner leurs bébés

La rédaction
Démocratie Participative
07 juin 2022

En Pologne aussi, de nombreuses femmes blanches veulent détruire la société en tuant leurs bébés

Grâce à un fichier numérique, le gouvernement polonais accroît la surveillance des putes qui veulent tuer leurs enfants.

Nouvel Obs :

L’opposition parlementaire en Pologne a dénoncé ce lundi 6 juin une disposition gouvernementale obligeant les médecins traitants à inscrire les grossesses dans un registre numérique médical, ce qui pourrait fournir, selon elle, « un nouvel outil de répression » envers les femmes, dans un pays où l’avortement est pratiquement interdit.

En vertu d’un arrêté du ministre de la Santé, Adam Niedzielski, des informations concernant la grossesse doivent figurer dans ce registre à côté de celles sur des maladies, passées ou en cours, des visites médicales, des traitements ou encore le groupe sanguin.

Selon le ministère, de telles informations permettront à tout médecin d’aider les patientes aussi bien en Pologne qu’à l’étranger, dans d’autres Etats de l’UE.

D’un avis opposé, la députée libérale Kamila Gasiuk-Pihowicz a déclaré à la presse que ce registre était né « pour pouvoir persécuter et contrôler les femmes polonaises, créer un nouvel outil de répression, de contrôle, d’influence politique de l’État sur nos vies, sur notre santé, sur nos familles ».

C’est uniquement un outil destiné à contrôler les putes meurtrières, pas « les femmes ».

La Polonaise obèse Kamila Gasiuk-Pihowicz veut pouvoir broyer beaucoup plus de bébés blancs dans le ventre de leurs mères

Une pute se définit par son obsession pathologique pour le meurtre de ses enfants à naître. En France, environ 50% des femmes sont des putes génocidaires qui soutiennent l’élimination des enfants à naître pour pouvoir se faire sauter n’importe comment. Elles assassinent 25% des enfants conçus chaque année, c’est-à-dire 230,000 pour 750,000 naissances.

Le vide démographique énorme laissé par ces créatures monstrueuses est immédiatement rempli par d’énormes vagues d’envahisseurs afro-musulmans. Au point où, à cause de l’avortement et de la dépopulation autochtone qu’il entraîne, les Blancs seront minoritaires en France d’ici 2060, au plus tard.

Les putes s’en fichent : elles veulent continuer de se faire sauter n’importe comment sur les parkings de boîte de nuit après s’être beurrées à la Smirnoff.

Le gouvernement polonais essaie timidement de contrer cette spirale de mort, mais les Polonaises sont des putes presque aussi haineuses que leurs consoeurs françaises, si bien que le taux d’avortement en Pologne est proche du taux français.

C’est notamment la raison pour laquelle les Polonais ont décidé de repeupler leur pays avec trois millions de femmes et d’enfants d’Ukraine. Cela leur permet de gagner du temps, mais fondamentalement, le fléau des traînées assoiffées de sang d’enfants reste prévalent dans la société polonaise.

« A une autre époque, le transfert de telles informations dans le système n’aurait pas suscité d’inquiétudes, mais, dans la situation actuelle, il s’agit pour nous d’un signal sans équivoque d’une nouvelle tentative de l’État de s’immiscer dans la vie des femmes », a déclaré Joanna Pietrusiewicz, la présidente d’une fondation défendant les droits des femmes, citée par le quotidien Gazeta Wyborcza.

La Polonaise obèse Joanna Pietrusiewicz milite pour l’élimination à grande échelle des enfants blancs 

L’opposition et des experts soulignent qu’outre le personnel médical, l’accès au registre numérique médical peut être obtenu par le parquet contrôlé par les populistes nationalistes au pouvoir, moyennant la décision d’un tribunal, dans ce pays où des violations de l’Etat de droit ont été constatées à plusieurs reprises par des instances européennes.

Selon la députée Katarzyna Lubnauer, « depuis six ans, tranche par tranche, les droits reproductifs des femmes sont restreints » en Pologne.

Le pilpoul féministe vaut celui des juifs.

Par « droits reproductifs », ces goules exigent exactement l’inverse : ne pas se reproduire.

La Polonaise obèse Katarzyna Lubnauer exige que la destruction des enfants polonaise à naître

Elles veulent se faire sauter, pas avoir d’enfants.

Ceux qui militent pour les droits reproductifs – de se reproduire donc – sont précisément les membres du gouvernement polonais qui refusent que les femmes soient des putes plutôt que des mères de famille.

« D’abord, on introduit la contraception d’urgence sur ordonnance (…), puis la fécondation in vitro n’est plus financée par le budget de l’État, (…) puis intervient ce verdict brutal de la Cour constitutionnelle », interdisant, en octobre 2020, l’avortement en cas de malformation grave du foetus, a-t-elle énuméré.

En vertu de la loi, une femme ayant procédé à une IVG n’est pas poursuivie par la justice, contrairement au médecin qui l’a pratiquée ou des personnes l’ayant aidée.

Si rien n’est fait contre les traînées, l’Occident disparaîtra biologiquement durant ce siècle. L’Europe désertifiée sera repeuplée par des centaines de millions d’afro-musulmans qui n’auront eu qu’à franchir pacifiquement les frontières du continent avec l’aide de mâles beta blancs, comme aujourd’hui.

L’arme la plus efficace contre les traînées, c’est la taxation à outrance.

Une femme coupable d’avortement devrait être taxée sur son revenu par tranches progressives, au pro rata du nombre d’avortement. En plus des tranches actuelles, il faudrait y ajouter 20% par avortement, à vie, taux de taxation qui serait étendu à tous les futurs conjoints de la garce, mariés ou pas.

Pour faire bonne mesure, elle ne devrait plus pouvoir bénéficier d’aucune aide sociale, sous aucune forme.

Une pute ayant tué un enfant deviendrait une bête malade que n’importe quel homme fuirait, de peur de finir ruiné. En deux ou trois ans d’un tel régime fiscal, le nombre des traînées avorteuses s’effondrerait en France.

Une autre mesure serait nécessaire : le camp de travail à perpétuité pour les médecins ou avorteuses qui rendent le crime techniquement possible. Là encore, dès le premier mois, les vocations seraient divisées par 100.

Ces deux axes d’action redynamiseraient radicalement la natalité blanche.

Tout est toujours possible en ce bas monde, il suffit de le vouloir. Le principal obstacle, ce sont les hommes féministes, notamment de droite, qui soutiennent les traînées génocidaires. Leur thèse étant que la disparition biologique des Blancs fait partie des valeurs de l’Occident.

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