La Pologne lance la croisade contre les fiottes, autorise les gens normaux à ne pas commercer avec les malades mentaux pédo-LGBT

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 juillet 2019

Croisez-vous contre les pédales de Satan !

C’est l’émoi dans la communauté de l’anus.

CNews :

En Pologne, la «liberté de conscience» peut désormais s’appliquer dans le champ des services. Par une décision de justice récente, celle-ci est en effet devenue un motif valable permettant à des commerçants de refuser de servir des clients au nom de leurs convictions religieuses. En ligne de mire : les LGBTQI+, mais pas seulement. Explications.

L’histoire remonte à 2016 et vient de trouver son épilogue le 26 juin dernier, par un arrêt de la Cour constitutionnelle polonaise contrôlée par le parti ultraconservateur Droit et justice (PiS).

Chez nous, le Conseil Constitutionnel est contrôlé par le parti ultrajuif et cela ne dérange pas CNews.

C’est à croire que les Blancs n’ont pas le droit d’avoir un état en propre.

Un imprimeur polonais originaire de la ville de Lodz (centre) avait refusé la commande d’une association LGBT qui souhaitait acquérir des Roll-Up (des éléments de signalétique s’apparentant à des affiches, ndlr). La raison : «ne pas contribuer à sa promotion», s’était-il alors défendu.

L’imprimeur en question avait certes été condamné en première instance en 2017 mais le ministre de la Justice polonaise, Zbigniew Ziobro, s’était ému de cette condamnation et avait saisi la Cour constitutionnelle.

J’avoue que cela fait bizarre de voir un ministre en fonction défendre son peuple.

Je ne suis pas habitué.

Chez nous, un ministre est par définition un traître qui emploie sa maigre influence pour nous enfoncer un peu plus la tête sous l’eau.

En fait, autant que je me souvienne, le peuple n’a jamais dit du bien d’un seul ministre français ces 40 dernières années.

Surtout des ministres de la justice.

Donc, oui, comme je disais, ça fait drôle de voir un ministre blanc agir normalement en faveur d’une nation blanche.

A la question de savoir si un commerçant peut refuser de servir des clients non hétérosexuels au nom de sa «liberté de conscience», celle-ci a donc finalement répondu de manière détournée par l’affirmative, en déclarant que la sanction du refus de vente était contraire à la Constitution. En clair, un commerçant qui refuse une vente ne peut être sanctionné.

L’hebdomadaire polonais Polityka, relayé en France dans un article du Courrier international, a consacré sa couverture du 3 juillet à cette affaire sous un titre sans équivoque : «Nous ne servons pas ces clients».

Pour le magazine, cette interprétation de la Cour constitutionnelle polonaise, très large, ouvre ainsi ni plus ni moins la porte à toutes sortes de discriminations.

«(La Cour) laisse pratiquement sans protection les personnes handicapées interdites d’entrée aux restaurants, ou bien les mamans refoulées des magasins lorsqu’elles donnent le sein. […] La droite catholique a obtenu une clause de conscience dans le secteur des services», peut-on y lire.

AU SECOURS LES FEMMES ET LEURS BÉBÉS SONT EN DANGER !

Ces pédés de CNews sont d’une subtilité.

S’ils en viennent à parler des mères avec leurs gosses, c’est qu’ils se savent vraiment en minorité dans l’opinion.

D’autant que la Pologne est dans l’UE.

Un point de vue partagé par Sébastien Tüller, responsable de la commission orientation sexuelle et identité de genre auprès d’Amnesty International France, qui rappelle que cette décision «va à l’encontre de l’Etat de droit et de principe d’égalité, des divers engagements et traités internationaux ratifiés par la Pologne, telle la charte des droits fondamentaux de l’UE que le pays est tenu de respecter».

Blablabla.

Amnesty International est un machin subversif financé par Soros pour dissoudre l’ordre social au sein des nations blanches.

Ces gens parlent sans cesse du droit des « minorités » à faire ce que bon leur semble, partout où bon leur semble.

La majorité, elle, n’a jamais le droit de faire ce qu’elle veut de son côté.

C’est ce que ces juifs appellent « l’égalité » : le pouvoir sans partage pour la race élue et ses clientèles, la soumission pour les goyim.

C’est la définition même de la démocratie et de son bras armé qu’est l’Union Européenne.

La décision de la Cour constitutionnelle est par ailleurs d’autant plus paradoxale que, dans les textes, cette clause de conscience n’existe que pour les médecins.

Pour le magazine Polityka, un changement de paradigme est donc bien en train de s’opérer sous la pression d’autres professions, comme les «pharmaciens catholiques», qui s’opposent à la vente de contraceptifs, ou bien des «fonctionnaires refusant de remettre des documents pouvant servir à la conclusion d’unions homosexuelles à l’étranger».

Sébastien Tüller rappelle néanmoins qu’au regard du droit européen et du droit international «se faire refuser un bien ou un service en raison de son orientation sexuelle reste une discrimination dans tous les cas».

Quel pilpoul de fiottes insupportable.

Déjà, en soi, discriminer est une chose parfaitement normale. Discriminer consiste à distinguer les choses qui nous environnent.

Larousse :

Discriminer : Établir une différence entre des personnes ou des choses en se fondant sur des critères distinctifs.

Ce sont les sociopathes marxistes qui ont dénaturé ce mot dans le but d’infecter la législation occidentale de leur axiome « oppresseurs/opprimés » et abattre ainsi toutes les défenses immunitaires des peuples blancs.

C’est-à-dire de distinguer les malades mentaux et les marginaux des personnes saines.

Au reste, forcer quelqu’un à faire quelque chose qui va à l’encontre de ses convictions religieuses viole sa liberté de conscience.

Mais avec ces gens, c’est toujours le même numéro : « pile je gagne, face tu perds ».

La législation ne doit s’appliquer que lorsqu’elle avantage ces dégénérés.

Leur discours hypocrite ne vise qu’à légitimer leur soif d’oppression des gens normaux.

En ce sens, les Polonais discriminés peuvent saisir les juridictions pour faire valoir leurs droits. Celles de première instance d’abord qui, dans nombre d’affaires, comme celle de l’imprimeur de Lodz, peuvent leur donner raison, du moins au départ.

Mais pour le cas où la Cour constitutionnelle viendrait à casser ces décisions, rien ne les empêche, ensuite, de saisir l’UE ou la CEDH pour faire appliquer la convention européenne des droits de l’homme.

Donc ils vont appeler la cavalerie bruxelloise pour sauver la poignée de fiottes polonaises auxquelles sont alliées les juifs.

« Oui mais non, parce qu’à 2,000 kilomètres, nos gens ont dit que si, donc tu vois Piotr, c’est non quand même. »

Quand un gouvernement blanc fait finalement la volonté du peuple, les juifs sortent leur joker en évoquant un machin inconnu réuni quelque part qui a décidé que.

Si vous persistez, les sanctions économiques juives se mettent à sortir de partout.

Enfin, dans ces cas de discrimination, les marques et enseignes internationales, dont beaucoup appliquent des chartes pour faire respecter les droits des individus, ont aussi leur rôle à jouer.

Polityka rappelle à cet égard le cas d’un salarié polonais d’IKEA licencié pour avoir publié sur l’Intranet de l’entreprise un message homophobe et jugé contraire aux valeurs du groupe.

Le salarié en question avait en effet cité l’Ancien Testament pour dire que les homosexuels «seront punis de mort et leur sang retombera sur eux».

Si la droite avait présenté ce licenciement comme une «répression à caractère religieux», pour IKEA, «le problème n’était pas tant dans les convictions» de son employé, «mais une manière d’exprimer ses opinions qui exclut les autres».

Cela s’appelle l’arme du boycott.

Une très vieille histoire hébraïque.

Que ces fiottes aidées des juifs continuent d’être de plus en plus aggressives. Plus elles tendent l’élastique, mieux c’est.

Leur sang va effectivement retomber sur eux et ce sera particulièrement sinistre.

C’est le moment d’appeler à la croisade contre l’axe judéo-LGBT et ses auxiliaires du tiers-monde.

DEUS VULT !

Commenter l’article sur /dempart/