Captain Harlock
Démocratie Participative
18 novembre 2018
Nous avons le nom de la dernière recrue des juifs : Mehdi Meklat.
Avec son livre Autopsie, l’ancien chroniqueur revient sur le devant de la scène médiatique, qu’il avait quittée après la tempête déclenchée par l’exhumation de dizaines de messages antisémites, racistes et homophobes.
En février 2017 éclate l’affaire Mehdi Meklat, du nom du jeune chroniqueur du Bondy Blog et de France Inter. Après avoir été invité sur France 5 pour parler de son deuxième ouvrage, le jeune homme voit certains de ses vieux messages postés sur Twitter, à l’origine sous pseudonyme, exhumés par des internautes. Injures, insultes, menaces, propos antisémites, homophobes, misogynes… L’indignation est générale.
Face à la polémique, Mehdi Meklat prend le large. «Il a fui à Tokyo, perdu des amis, tourné un documentaire avec Badrou [Badroudine Saïd Abdallah, son collègue et ami, NDLR] et écrit pour comprendre ce qui s’est passé. Les notes sont devenues un livre, Autopsie», raconte L’Obs . Dans cet ouvrage, qui sera publié le 21 novembre aux éditions Grasset, Mehdi Meklat renouvelle ses excuses.
«Je me suis excusé dès le début. J’implore à nouveau le pardon de ceux qui se sont sentis blessés par ces tweets qui m’horrifient aujourd’hui», déclare dans Le JDD l’intéressé âgé de 26 ans. «Mon compte Twitter, sous le pseudo de Marcelin Deschamps, c’était celui d’un gamin qui écrivait des tas de trucs, […] dont une vingtaine de messages ignobles sur un total de 53.000.»
«Je ne suis pas antisémite, ni négrophobe, homophobe ou arabophobe», clame Mehdi Meklat, qui explique que son «moi virtuel» s’était lancé dans une «folle course aux followers» nécessitant d’être «toujours plus transgressif» et de «provoquer pour exister». «Surtout, je n’ai jamais tenu de propos pareils dans la vraie vie», insiste-t-il.
S’il présente des excuses, le jeune homme profite aussi de son livre pour attaquer le «système». «Les médias étaient fascinés par un Noir et un Arabe qui savent écrire, qui ne font pas de fautes; par des jeunes de banlieue qui ont lu des livres. On nous percevait comme des exceptions, mais nous ne sommes pas des exceptions», explique-t-il à L’Obs.
Dans LeJDD, il reprend: «En cas de dérapage, la sanction n’est pas identique pour tout le monde». Il estime avoir été mis dans une case, celle de l’«Arabe de banlieue» forcément antisémite. «Je ne suis pas musulman. Ma mère est d’origine algérienne, née en France. Mon père est Français», rappelle le natif de Saint-Ouen, qui souligne qu’il s’appelle «Mehdi, Thomas, Maximilien». «Pourquoi m’a-t-on étiqueté, enfermé de cette façon?»
Dans Autopsie, l’ancien chroniqueur veut enfin lancer un débat qui lui tient à cœur. «Comme beaucoup de gens de ma génération, j’ai plongé dans le virtuel sans en connaître ni les codes ni les dangers. Je croyais à l’impunité sur les réseaux sociaux. […] Il faut débattre du rapport aux réseaux sociaux, de la valeur des mots pour les jeunes, du droit à l’oubli», conclut-il dans LeJDD.
Suce plus, salope.
Nous pouvons confirmer que Meklat est bien un arabe.
Un sémite.
Un sémite de seconde catégorie.
Un sous-juif.
Comment ? Parce que placé devant l’évidence de sa culpabilité, il se pose en victime pour inverser l’accusation et se dédouaner.
Et attaquer les Blancs. « Le système » dit cette pédale.
Mais ce sale crouille a parfaitement compris qui est le « système ». Or, c’est précisément aux pieds de ce « qui » que cette chiure demande pardon.
En crachant sur les Blancs, les « racistes ».
Tous les bougnoules, sans exception, procèdent ainsi. Ils fonctionnent comme leurs maîtres, les youpins.
Nous pouvons également confirmer que ce bougnoule est une nouvelle vaginette à youtres qui sera rapidement réintégrée, pas au même niveau hiérarchique, dans la machine. Pour servir de faire-valoir au pouvoir juif dans sa lutte d’influence dans les banlieues musulmanes.
Quoi de mieux en effet qu’un raton repentant pour démontrer la toute puissance du pouvoir juif chez ceux des arabes qui veulent monter ?
Oubliez cette histoire d’arabes en guerre contre les juifs : seuls la race aryenne pose un véritable problème à la juiverie. Seule la race aryenne mettra un terme au péril juif sur cette terre.