La nouvelle Malika du RN dénonce le racisme dont elle fait objet

La rédaction
Démocratie Participative
03 avril 2024

 

Heureusement que nous avons les maghrébines du RN pour dénoncer le racisme systémique.

Je suis ingénieur. Major d’un MBA de Sciences Po. Prix Honneur et Patrie remis par J.L. Georgelin, grand chancelier de la Légion d’honneur.

Aucun Français de souche n’aurait jamais subi le procès en opportunisme et illégitimité qui m’est fait par une partie de la presse ! pic.twitter.com/Bt2DAFmSi8

— Malika Sorel (@MalikaSorel) April 2, 2024

La race est un invariant. Baragouiner en français ne viendra jamais à bout de l’obstacle irréductible que constitue ce mur génétique.

C’est vrai chez les races médiocres, et plus encore chez les éléments de meilleure qualité au sein de ces races médiocres. Ils sont conscients de leur supériorité par rapport à la moyenne de leur groupe d’appartenance, et l’état misérable dans lequel se trouvent leurs congénères les porte à la jubilation de ceux qui ont gagné la loterie. Cependant ils savent également, en raison de ce contraste, que leur supériorité est toute relative face aux races dominantes et que le mépris qu’ils éprouvent pour leurs congénères, les représentants des races supérieures l’éprouvent pour eux.

Animés d’un fort sentiment de supériorité vis-à-vis de leurs frères de race, ils se savent parallèlement les représentants d’une race inférieure que rien ne pourra sortir de l’ornière bio-historique où elle se trouve. Cette impasse est le terreau d’une haine jalouse. On les retrouve en pointe dans l’agitation raciale, où ils sont surreprésentés, appelant leurs frères d’infortune génétique à joindre leur effort pour abattre l’humanité blanche qui les surplombe de son génie.

C’est ce qu’ils appellent « l’oppression ».

C’est ainsi, il n’y a pas à s’en lamenter : assignés à l’échec par leur génétique, inversement rongés par une fierté illégitime qui vient le compenser, ils seront toujours des destructeurs. En revanche, ils doivent être systématiquement domptés, contraints, écrasés, humiliés par les races supérieures pour ne jamais perdre de vue la juste hiérarchie qui les a placés là où ils sont, non par un hasard malheureux, mais la loi du sang, dictée par la nature.

L’inégalité des races, pas plus que la gravité, n’est un sujet de débats, c’est une réalité qui se passe d’opinion. Malheur à celui qui fait miroiter le mensonge de l’égalité aux races inférieures : elles auront tôt fait de le dévorer, impitoyablement.

La place de Malika est connue : en Algérie, au milieu de siens.

Dehors !

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