Captain Harlock
Démocratie Participative
20 juin 2018
Les expériences américaine et islamique ont démontré que les nègres sont toujours les mercenaires des sémites. Plus particulièrement encore des juifs qui s’en servent comme armes biologiques contre les populations blanches.
La dernière souillure commise au Louvre n’échappe pas à cette règle.
Un jeune habitant de Jérusalem a réalisé la nouvelle vidéo révolutionnaire et ultra-populaire du super-couple de la musique, Beyoncé et Jay-Z.
Natan Schottenfels, le producteur nominé aux Grammy Awards, est l’auteur de « Apeshit – The Carters », un clip étonnant tourné au Louvre, qui a été diffusé le 16 juin.
« J’ai réalisé cette vidéo musicale ICONOCLASTE pour Beyonce et Jay-Z. Mise en scène par Ricky Saiz », a écrit nonchalamment Schottenfels sur sa page Facebook dans la nuit de samedi à dimanche, au moment de la publication du clip. « Pourquoi pas ? »
En effet, pourquoi pas. Au moment où ces lignes sont écrites, soit trois jours après la diffusion du clip, il a enregistré 18 millions de vues, et ce n’est pas fini.
Schottenfels a grandi dans le quartier d’Arnona, à Jérusalem, étudié à Hartman, un lycée religieux, et prenait part au mouvement scout orthodoxe.
Après son service militaire, il s’est associé avec un autre ancien élève de Hartman, Vania Heymann, connu pour ses vidéos primées pour Coldplay et Cee-Lo Green.
Comme le fait remarquer The Guardian, Apeshit lance des propos lapidaires, voire éparpillés sur le racisme, l’esclavage, et la domination des normes occidentales néo-classiques de beauté ».
Le clip met l’accent sur le caractère afro-américain de leur talent, éclipsant ce bastion de l’art et de la culture, ou du moins en en diminuant la présence.
Devant « Le Sacre de Napoléon », de Jacques-Louis David, un tableau représentant une scène de domination et de puissance blanche, Beyoncé et huit danseuses noires se donnent la main et dansent. Les danseuses dominent l’oeuvre d’art de 1807, avec une Beyoncé mise en avant, dans un haut Burberry et une paire de leggings.
Les juifs aiment à revendiquer leurs crimes.
Le nègre est un être primitif et stupide, aisément circonvenu par des choses aussi élémentaires que de la danse à connotation sexuelle, des babioles brillantes ou la promesse d’une copulation avec des femelles.
Le cerveau du nègre est régi par les mêmes besoins archaïques que ceux qui convainquaient leurs ancêtres de vendre de la négraille aux commerçants juifs de jadis, lors du commerce triangulaire.
Manipuler le nègre en échange d’un peu de verroterie est toujours d’actualité, restera toujours d’actualité.
Ce clip n’est donc pas un clip nègre, c’est un clip sémitique qui illustre parfaitement comment le juif se dissimule toujours derrière une masse d’éléments inférieurs qu’il manipule pour ses propres fins.
Le juif est l’inventeur du bolchevisme. Et le bolchevisme n’a pas débuté en 1917. Le bolchevisme n’est que l’expression de la soif de destruction du fanatisme juif. Toute l’histoire de la juiverie n’est qu’une suite d’entreprises d’anéantissement brutalement contrées par un front patriotique. Cela fût vrai en Egypte ou en Perse, en Allemagne comme en Russie.
Au fil du temps, le juif a compris toute l’utilité de faire des nègres ses troupes de choc contre les sociétés culturellement supérieures. Il lui suffit de promettre à ses mercenaires une part du butin du pillage de l’Occident, à commencer par des femmes blanches.
Mais le nègre restera toujours l’esclave du juif.
Contrer définitivement l’invasion nègre tout comme la négrification, notamment culturelle, du monde blanc suppose de vaincre le juif.