Captain Harlock
Démocratie Participative
16 juillet 2019
Je remercie la Providence d’avoir fait de cette négresse sidérée de Sibeth Ndiaye la porte-parole du gouvernement français.
« Nous avons conscience que nos concitoyens ne mangent pas du homard tous les jours, bien souvent c’est plutôt des kebabs », Sibeth Ndiaye, après la démission de François de Rugy pic.twitter.com/PoAW5KOCLM
— CNEWS (@CNEWS) 16 juillet 2019
Dites-vous bien que la sœur, fille d’un énième chef de tribu sénégalais porté à bout de bras par la France, fait partie du haut du panier de l’avant-garde africaine recrutée par Macron.
C’est littéralement ce qu’il y a de mieux sur le marché.
Je m’attendais à ce qu’elle balance un « wesh t’as vu, les gens y z’ont l’démon parce qu’ils bouffent que des grecs ». Ce sera pour 2022. Au pire 2027.
Mais même ça, ce ne sera encore qu’un avant-goût. Le produit final, ce sera du petit-nègre bricolé dans les rues de Grigny.
Vous ne pourrez rien dire. Déjà parce que le niveau de français moyen chez les Blancs aura tellement chuté qu’un certain nombre de ces Gaulois parleront un français à peine plus sophistiqué.
Ensuite, parler en bon français fera perdre des voix aux politiciens.
Plus il y a de nègres débiles régularisés, plus le niveau linguistique s’effondre, contraignant à simplifier toujours plus les phrases comme les sujets.
Dans quelques décennies, un des combats de ce qui restera de la gauche française consistera à interdire de parler le français standard, « moyen d’oppression colonialiste ».
Les nègres trouveront que parler français relève de la torture. Si vous pensez que je délire, vous n’avez qu’à voir les sujets des épreuves du baccalauréat dans les académies repeuplées par l’Afrique, c’est déjà très largement le cas.
Bref, le gouvernement français parle kebab en 2019.