La négresse de synagogue Rokhaya Diallo fait techouva et jure de servir les juifs en oeuvrant à la destruction des Blancs

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 septembre 2018

La lutte s’intensifie entre les juifs d’une part et les indigénistes colorés de l’autre pour le contrôle du système antiblanc que l’on appelle « l’antiracisme ».

Il y a bien sûr d’un côté le « canal historique », i.e. la juiverie, qui a fondé ce système de guerre contre la race blanche en France via la Licra, SOS Racisme, plus récemment la DILCRAH, etc., et de l’autre les agitateurs arabo-africains tels que Houria Bouteldja, Marwan Muhammad ou Rokhaya Diallo, pour ne citer que ceux-là, qui veulent désormais leur part du gâteau dans le processus de réduction en esclavage des masses blanches.

Avec la révolution démographique en cours en France, les juifs éprouvent les plus grandes difficultés à maintenir leur monopole victimaire grâce auquel ils tiennent politiquement les Blancs en respect.

Le principal problème vient du fait que les nègres et les arabes n’ont aucun lien avec l’holocauste et qu’ils échappent donc au système d’exploitation mis en place par les juifs. Si l’on ajoute les querelles de copropriété en Palestine, l’ascendant psychologique dans la chialerie tend à basculer du côté des colorés.

 Bref, les juifs n’ont pas encore trouvé le moyen de les contrôler psychologiquement.

Mieux encore, ces métèques ont compris qu’en copiant le système juif tout en remplaçant ses éléments centraux, l’holocauste par la colonisation et l’esclavage, ils pourraient s’inviter à la table de la France post-blanche.

Sauf que les juifs ne sont pas connus pour être partageurs.

Il ne s’agit pas d’une confrontation entre les juifs et les nègres ou les arabes – ces parasites se coaliseront toujours contre les Blancs – mais d’une lutte pour la redéfinition des zones d’influence respectives conquises au détriment des Français de souche.

Jusqu’à présent, les échanges de coups étaient globalement feutrés.

Mais le juif Enthoven a entrepris, depuis un moment maintenant, d’ouvrir les hostilités et de forcer ces agitateurs à rentrer dans le rang.

Le deal est simple : des miettes, oui, mais à condition de savoir qui est le maître. C’est-à-dire les juifs.

L’araignée juive a donc patiemment tissé sa toile, regardant de son oeil fixe et inexpressif sa victime évoluer.

Une fois la victime prise dans sa toile, l’attaque a rapidement suivi. Avec, pour première règle, d’enfermer la proie dans ses griffes.

Evidemment, le juif n’arrête pas ses projets simplement parce qu’on le lui demande.

Les juifs prétendent monopoliser la direction morale et religieuse de l’humanité, ce qui suppose de définir le bien et le mal, selon les intérêts prédéfinis par eux, mais aussi de désigner à la haine des esclaves ceux qui enfreignent les limites qu’ils ont édicté.

L’antisémitisme est logiquement le crime suprême.

Lol.

Le ton doucereux d’Enthoven sous-entend bien sûr une menace en bonne et due forme.

Ayant été dominée sans difficulté dans cette passe de pilpoul par le rabbin, la négresse sait qu’elle est désormais en grave danger : celle d’une excommunication formelle par le rabbinat pour « dieudonnisme ».

Echec et mat.

La négresse peut reprendre le rôle que lui réservent les juifs : la guerre raciale aux Blancs sous le strict contrôle des juifs.

C’est ici une leçon de choses à l’égard des esprits sémitisés, blancs ou non, qui prétendent déborder le juif grâce à ses propres catégories que sont l’excitation du complexe d’infériorité chez les sous-hommes.

 Le roi autoproclamé des sous-hommes ne sera pas vaincu par des sous-hommes.

Seule la religion de la surhumanité peut résoudre la menace que représente le juif pour l’Occident. Ce qui, en pratique, appelle l’antisémitisme et le racisme.