La natalité française aussi basse que durant la 1ère Guerre mondiale

La Rédaction
Démocratie Participative
15 novembre 2024

La seule chose qui plonge les juifs et autres races de boue dans un intense malaise physique

Malgré le torrent migratoire qui s’abat sur la France depuis près de 60 ans, la natalité continue de s’effondrer.

Personne ne semble savoir pourquoi.

Le Parisien :

La tendance se confirme et s’accélère. Selon un rapport de l’Insee publié ce jeudi, en 2023, 677 800 bébés sont nés en France, dont 639 533 en France métropolitaine. Ce chiffre n’avait pas été aussi bas depuis 1944 – seules les données de l’Hexagone étaient alors prises en compte.

Depuis le début du XXe siècle, un niveau si bas (si l’on s’appuie sur les chiffres de France métropolitaine, disponibles dès 1901) n’a d’ailleurs été atteint qu’à quelques reprises. Entre 1915 et 1919 d’abord, puis entre 1936 et 1944. Le reste du temps, les Français de l’Hexagone ont fait plus d’enfants que l’année dernière.

Par comparaison, en 1901, 917 075 naissances avaient été enregistrées en métropole et 881 284 en 1971, deux pics au cours du siècle dernier. Les chiffres de la France entière ne sont transmis que depuis 2014, année au cours de laquelle 818 565 bébés sont nés.

Il s’agissait de 900,000 naissances en 1901 pour un pays de 40 millions d’habitants.

Si la France comptait toujours 40 millions d’habitants, le nombre de naissances proportionnel serait de 400,000 nouveaux nés. C’est-à-dire le nombre de naissances durant la Première guerre mondiale.

En d’autres termes, les Français font autant d’enfants actuellement que lorsque les hommes étaient tous au front entre 1914 et 1918. Et ça malgré les Arabes et les Noirs qui prolifèrent grâce à la CAF.

Le surhomme français de 1914 écrase les lavettes de 2024 de sa virilité sûre d’elle et dominatrice. En une permission sur 4 ans, il baise plus efficacement que les tocards contemporains 365 jours par an.

Ce n’est pas un accident.

Ces hommes avaient une pulsion de vie et s’ils se battaient comme des lions, c’était en pensant à leurs gamins.

Imaginez les sous-hommes actuels qui se défilent avec mille prétextes pour pouvoir jouer aux jeux vidéos au lieu d’être des hommes et de fonder des familles. Le tout quand l’ennemi mène le djihad démographique avec leurs impôts sur le sol défendu par leurs ancêtres.

À l’exception d’un rebond en 2021, attribué aux effets du confinement, les naissances sont en baisse depuis 2010. Cette tendance s’est accélérée au cours de l’année dernière, avec une chute de 6,6 % par rapport à 2022. Un tel recul sur un an n’avait pas été observé depuis la fin du baby-boom, au milieu des années 1970. Résultat, entre 2010 et l’an dernier, la France a enregistré 19,8 % de naissances en moins.

Comme le note l’Insee, les mères de toutes les catégories d’âge sont concernées, y compris chez les 35-39 ans et les 40 ans ou plus, qui n’étaient pas touchées par le phénomène depuis 2010. La baisse la plus importante s’observe chez les 30-34 ans, avec un recul de 8,6 % par rapport à l’année précédente.

La France est loin d’être la seule concernée. En Union européenne, les naissances ont reculé de 12 % en moyenne depuis 2019. Un chiffre qui s’élève à 10 % pour la France sur cette période.

Pilule, avortement, généralisation du divorce et des mères isolées financées par l’État, le féminisme est plus destructeur que la Première guerre et la Seconde guerre mondiales réunies. Il masculinise les femmes et les réoriente vers des tâches inutiles dans le tertiaire.

Pourtant personne ne bronche.

Nous sommes au contraire soumis à une radicalisation ovarienne tous azimuts. Et très curieusement, c’est encore une juive qui préside à l’euthanasie biologique des bébés blancs.

Et encore plus curieusement, le système se met à censurer tous les moyens de mesurer le remplacement racial dans les maternités.

Le régime rend obligatoire le dépistage de la drépanocytose pour les nouveaux-nés blancs

Il est grand temps d’opérer un virage viril et d’abolir le féminisme d’état, ou alors nous finirons à Tombouctou.

C’est déjà le cas de villes entières.

Cela suppose se rentrer dans la tronche des hommes féministes.

Les femmes ne peuvent rien faire contre l’abolition du féminisme. Vous avez déjà vu une révolution de femelles ?

Cela n’existe pas.

Le problème est dans la tête des hommes blancs, à 100%.

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