La rédaction
Démocratie Participative
20 avril 2023
Quand la femme Baerbock dit qu’elle est déterminée à détruire l’économie allemande pour donner une leçon aux machos de Pékin, elle le pense.
Et elle le dit.
Ces Chinois n’ont qu’à bien se tenir, car rien ne l’empêchera de rappeler que c’est elle qui commande.
Reuters :
La ministre allemande des affaires étrangères, Annalena Baerbock, a qualifié mercredi de « plus que choquants » certains aspects de son récent voyage en Chine et a déclaré que Pékin devenait de plus en plus un rival systémique plutôt qu’un partenaire commercial et un concurrent.
Mais l’armée chinoise n’occupe pas l’Allemagne après l’avoir écrasée sous les bombes et repeuplée de Musulmans.
De quel rival parle-t-elle ?
Je rate quelque chose ?
Ces remarques brutales font suite à la visite de Mme Baerbock à Pékin la semaine dernière, au cours de laquelle elle a averti que toute tentative de la Chine de contrôler Taïwan serait inacceptable.
Les Chinois ne feront rien chez eux sans le feu vert de cette femme blanche charismatique d’un mètre soixante.
Ils sont aussi très intimidés par la puissance militaire allemande.
Xi Jinping va capituler en 24 heures.
Pékin considère Taïwan, gouvernée démocratiquement, comme une province chinoise et n’a jamais exclu le recours à la force pour placer l’île sous son contrôle.
M. Baerbock a également déclaré que la Chine voulait suivre ses propres règles au détriment de l’ordre international. Pékin a demandé à son tour à l’Allemagne de soutenir la « réunification » de Taïwan et a déclaré que la Chine et l’Allemagne n’étaient pas des adversaires mais des partenaires.
Xi, suit l’ordre international !
S’il te plait !
S’exprimant mercredi devant le Bundestag (chambre basse du parlement allemand) au sujet de son voyage en Chine, Mme Baerbock a déclaré que « certaines choses étaient vraiment plus que choquantes ».
Elle n’a pas donné de détails, mais sa remarque fait suite à ses propos selon lesquels la Chine devenait plus répressive à l’intérieur et plus agressive à l’extérieur.
« Pour l’Allemagne, a-t-elle déclaré, la Chine est à la fois un partenaire, un concurrent et un rival systémique, mais elle a l’impression que « l’aspect des rivaux systémiques s’accroît de plus en plus ». »
« La Chine est le principal partenaire commercial de l’Allemagne », a déclaré Mme Baerbock, « mais cela ne signifie pas que Pékin est le plus important ».
Déjà privée de gaz russe, l’Allemagne devrait parfaitement s’en sortir sans la Chine et sa production de biens de consommation à bas coût.
Et encore mieux s’en sortir sans le principal marché du monde au 21e siècle.
Qu’est-ce qu’une femme alpha comme Baerbock pourrait bien rater ?
Le gouvernement allemand souhaite travailler avec la Chine, mais ne veut pas répéter les erreurs du passé, par exemple la notion de « réforme par le commerce », a-t-elle déclaré, selon laquelle l’Occident peut obtenir des changements politiques dans les régimes autoritaires par le biais du commerce.
Mme Baerbock a également déclaré que la Chine avait la responsabilité d’œuvrer en faveur de la paix dans le monde, notamment en usant de son influence sur la Russie dans la guerre en Ukraine.
Elle a salué la promesse de Pékin de ne pas fournir d’armes à la Russie, y compris des articles à double usage, tout en ajoutant que Berlin verrait comment une telle promesse fonctionne dans la pratique.
La Chine ne fournit pas d’armes à l’Ukraine tandis que ZOG alimente le conflit avec des volumes d’armes gigantesques, mais ce serait aux Chinois de faire « pression » pour que le conflit s’arrête.
Ce conflit peut s’arrêter 48 heures après l’arrêt des livraisons d’armes et de cash au gang de Zelensky.
Baerbock n’a pas l’air d’avoir étudié cette option.
Ce n’est pas très important. Ce qui compte, c’est qu’on la voit.