Captain Harlock
Démocratie Participative
14 février 2019
Le crime est signé.
Non seulement ces juifs accusent Adolf Hitler de crimes imaginaires mais en plus ce sont eux qui commettent effectivement ces crimes contre les goyim.
Je n’en reviens pas.
Raquel Garrido, survivante de l’enfer, a témoigné de l’Indicible : la mise à mort industrielle des Gilets Jaunes.
Au lendemain de la manifestation des « gilets jaunes » à Paris, Raquel Garrido se « réveille doucement d’une nuit horrible. » L’avocate et chroniqueuse proche de la France Insoumise, s’interroge sur Facebook, dimanche 10 février, sur le gaz lacrymogène « d’une puissance particulièrement forte » auquel elle dit avoir été exposée la veille.
Sur Twitter, elle ajoute : « Selon mon médecin, cela ressemble un empoisonnement à l’acide cyanhydrique. » Et réclame au ministère de l’Intérieur la publication de la composition du gaz utilisé par les forces de l’ordre. « Je comprendrais qu’on ne publie pas ces informations si c’était une arme de guerre ou s’il y avait un intérêt de secret-défense, explique-t-elle à franceinfo. Mais là, c’est contre les Français qu’elle est utilisée donc on doit quand même consentir à son utilisation. »
C’est l’inversion génocidaire.
Ces sales juifs sont prêts à tout.
Y compris à gazer au Zyklon B le peuple français, pour se venger de ces mauvais goyim.
J’ai informé mes amis (FB) de mes symptômes consécutifs à l’absorption de gaz hier à l’ActeXIII. Depuis, je reçois quantité de témoignages similaires. Selon mon médecin, cela ressemble un empoisonnement à l’acide cyanhydrique. Je demande à @Place_Beauvau la composition du gaz. pic.twitter.com/jQ2AlBfBIG
— Raquel Garrido (@RaquelGarridoFr) 10 février 2019
La juiverie ne va pas hésiter à prétendre que l’utilisation de Zyklon B a pour seule fonction de débarrasser les Gilets Jaunes de leurs poux et nier le crime.
Dire que c’est un « mythe ».
Raquel Garrido a de son côté saisi l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). En France, les forces de l’ordre utilisent dans « toutes les grenades (…) fumigènes (…) détonantes et assourdissantes (…) » du gaz composé de 2-chlorobenzylidène malonitrile (aussi appelé « CS », en raison des initiales de ses inventeurs), assure l’IGPN, dans un mail de réponse à l’avocate, que franceinfo a consulté. Ce composé chimique se présente sous la forme d’une poudre blanche dégageant une odeur poivrée.
« Evidemment que je n’ai pas reçu du zyklon B à des doses mortelles« , répond Raquel Garrido face aux critiques. Avant d’émettre l’hypothèse qu’une dose « moins importante » d’acide cyanhydrique pourrait être présente dans le gaz lacrymogène et avoir provoqué ses symptômes. Nous avons soumis la théorie de Raquel Garrido au toxicologue Robert Garnier, dirigeant du centre d’information toxicologique de l’hôpital Fernand Widal à Paris, le seul centre antipoison d’Ile-de-France. Il est catégorique. « C’est n’importe quoi », répond-il à franceinfo.
Regardez ces négationnistes. Ils nient l’évidence alors que des dizaines de milliers, des centaines de milliers de Gilets Jaunes ont été gazés.
Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel gazage de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu.
Ce que l’on doit désormais appeler la solution finale à la question des Gilets Jaunes.
Ce crime ne restera pas impuni.
Macron et son régime criminel doivent être jugés par un cour de justice internationale pour crime contre l’humanité.