Captain Harlock
Démocratie Participative
05 septembre 2019
Thuram bouge, le ventriloque juif parle
Donnez des lunettes à un nègre et aussitôt il se prend pour Nelson Mandela sous le regard goguenard de son maître juif.
L’Équipe :
Dans une longue interview donnée au Corriere dello Sport, Lilian Thuram est revenu sur les cris racistes adressés au joueur de l’Inter Milan Romelu Lukaku, dimanche dernier à Cagliari, et propose de s’inspirer de la France : « Il y a une hypocrisie incroyable et il manque la volonté de résoudre le problème. Ne rien faire équivaut à être d’accord avec ceux qui poussent des cris racistes. Si quelque chose vous dérange, vous faites tout pour la changer. En France, on interrompt les matches en cas de comportement contre l’homosexualité dans les tribunes : suspendre la rencontre et renvoyer les joueurs aux vestiaires, cela veut dire éduquer les gens. »
Personne ne va au stade pour être « rééduqué ».
Encore moins par des fiottes ou des nègres sur commande des youtres.
Ce projet me semble compromis dès le départ.
« Il faut prendre conscience que le monde du foot n’est pas raciste mais qu’il y a du racisme dans la culture italienne, française, européenne et plus généralement dans la culture blanche, poursuit l’ancien défenseur de Parme et de la Juventus Turin. Il est nécessaire d’avoir le courage de dire que les blancs pensent être supérieurs et qu’ils croient l’être. De toutes les manières, ce sont eux qui doivent trouver une solution à leur problème. Les noirs ne traiteront jamais les blancs de cette façon, et pour n’importe quelle raison. L’histoire le dit. »
Les nègres ne font jamais rien de nature criminelle contre les Blancs.
Nulle part.
Ce nègre à lunette, devenu ivre de supériorité depuis qu’il évolue dans le show business juif, prend des vessies pour des lanternes.
Les Blancs sont objectivement supérieurs aux nègres.
Aussi loin que porte le regard, le monde nègre est un océan de crasse en stagnation depuis la préhistoire.
Le peu qu’il a, il le doit aux races laborieuses. A commencer par la race blanche.
Mais c’est déjà trop.
Les nègres sont occupés à retourner à l’âge des cavernes.
Je bénis le ciel de placer l’Afrique sous la tutelle de la Chine. Les jaunes ne feront pas de sentiment avec ces primates imbéciles et vont les dresser à coups de trique.
C’est une tâche urgente.
Pour en revenir à ce sale nègre de Thuram, le racisme n’est pas un problème, c’est la solution au problème.
Les nègres ne sont pas chez eux chez nous. Tout au plus sont-ils des parasites qui se sont infiltrés avec l’aide de gouvernements corrompus sous l’influence de la juiverie.
Sur ce sujet, nous n’avons pas à discuter avec les nègres à propos de quoi que ce soit. Nous n’avons pas à expliquer à ces singes ingrats et stupides qu’ils sont des singes ingrats et stupides. C’est sans intérêt.
Ce qui importe, c’est de cultiver agressivement l’orgueil racial des populations blanches et de faire du mépris des races inférieures une étape clef dans l’abolition de l’altruisme pathologique auquel les Blancs sont trop souvent sujets. Ce qui passe par le dressage de nos femelles et le règlement du problème homosexuel, les deux mamelles de cette pathologie qu’est la négrophilie.
Pour traiter cette pathologie qu’est la négrophilie compulsive, il faudra d’abord abolir cette plaie qu’est la démocratie et le bacille dont elle provient : l’égalitarisme. Tout se tient.
Le maternage ou l’aide aux nègres, sous quelque forme, doit être durement châtié. Cette maladie mentale a créé suffisamment de catastrophes ces 150 dernières années.
Nous devons rendre le nègre à la jungle, le laisser y végéter à sa convenance.
Quand les Blancs auront été rééduqués pour se tenir correctement vis-à-vis d’eux-mêmes, alors le nègre sera inévitablement remis à sa place. Il dira « bonjour, merci, au revoir », c’est-à-dire les seuls mots qu’un nègre doit jamais utiliser lorsqu’il s’adresse à un homme blanc.
Et en fait, à n’importe quel être humain.
D’une manière générale, on mesure le degré d’avancement d’une civilisation à son rapport au nègre. Une civilisation témoignant de bienveillance à l’égard de cette créature fainéante et voleuse est sur le chemin de la perdition. Au contraire, une civilisation qui proclame haut et fort la stupidité du nègre et sa condition de subordonné témoigne de sa bonne santé.
Plus vite nous intégrerons cette réalité, mieux cela vaudra pour tout le monde.