La maire de Romans-sur-Isère condamnée à la décapitation par des Français

La rédaction
Démocratie Participative
01 décembre 2023

 

Les Blancs commencent à réaliser que le vivre ensemble n’est pas qu’une théorie bancale.

C’est aussi une théorie létale.

« J’ai porté plainte » est la partie la plus hilarante de la séquence.

Imaginez remettre sa vie entre les mains des flics qui viennent de se porter au secours des afro-musulmans du quartier de la Monnaie.

Nous avons environ 17 millions d’extra-Européens sur le territoire français, dont 12 millions de musulmans. Si 1% des membres de l’Oumma sont suffisamment remontés, ce sont 120,000 individus qui se tiendront prêts à fondre sur un infidèle dont la tête est mise à prix.

Sans tenir compte des concentrations de populations, forcément hétérogènes, cela représente 1,200 guerriers d’Allah par département disposés à trancher des gorges si l’occasion s’en présente.

Et l’occasion fait le larron, comme dit le proverbe.

Avec des prisons déjà saturées, la machine judiciaire française est de facto enrayée, incapable de traiter le volume de moudjahidines.

Europe 1 :

Les prisons françaises comptaient plus de 75.000 personnes incarcérées (75.130 exactement) au 1er novembre, selon les données publiées jeudi par le ministère de la Justice. C’est le chiffre de détenus le plus élevé jamais enregistré selon les statistiques de l’administration pénitentiaire. Au 1er novembre, les prisons françaises comptaient seulement 60.975 places opérationnelles.

La densité carcérale globale s’établit à 123,2% contre 120% il y a un an. Dans les maisons d’arrêt, où sont incarcérés les détenus en attente de jugement, et donc présumés innocents, et ceux condamnés à de courtes peines, le taux d’occupation est de 147,6%. Il atteint ou dépasse même les 200% dans dix établissements.

Ce qui prévient des égorgements tous azimuts, c’est le miracle de la CAF.

On dit souvent que le problème est le laxisme judiciaire. En réalité, c’est un problème démographique, aussi bien qualitativement que quantitativement, qui est devenu un problème foncier.

Le système judiciaire français n’a jamais été conçu pour gérer des millions de gens du tiers-monde. S’il fallait enfermer ces masses criminogènes à la hauteur de leurs crimes et pour les peines encourues et prononcées, il faudrait emprisonner au minimum 500,000 individus.

C’est ce que fait l’Amérique avec ses noirs : elle les enferme.

Le choix de la classe dirigeante française est de ne pas investir d’argent dans un tel projet, d’autant que le flot d’immigration est activement encouragé. La barque pénitentiaire ne ferait que se remplir, pour un prix exorbitant.

À la place, elle investit dans le bien-être des noirs et des arabes.

La classe dirigeante opère donc différemment. Elle laisse ces créatures dehors et laisse la société civile se charger de sa sécurité. L’idée est que les gens paieront pour leur sécurité en se repliant dans des zones surprotégées.

Du moins, jusqu’à ce qu’Élisabeth Bornstein ouvre des logement sociaux dans le secteur pour plus de mixité raciale.

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