Captain Harlock
Démocratie Participative
14 mai 2019
Caricature antisémite sans rapport avec la réalité
J’en parlais hier. Après le recul des Polonais sur leur responsabilité dans le Polocauste, les juifs ont sorti leur plus belle calculatrice pour évaluer à combien de centaines de milliards de dollars se montait la facture.
Sans prévenir, les youpins escomptaient se glisser dans le premier avion pour Varsovie afin de se livrer à leur activité favorite : l’escroquerie.
La Pologne a annoncé lundi avoir annulé une visite de responsables israéliens en raison de leur intention de soulever la question de la restitution de biens juifs tombés en déshérence après la Shoah, un dossier considéré comme clos par Varsovie.
« La Pologne a décidé d’annuler la visite de responsables israéliens après que la partie israélienne eut annoncé des changements de dernière minute dans la composition de la délégation, suggérant que les discussions allaient se concentrer principalement sur des questions liées à la restitution de biens » juifs, a indiqué le ministère polonais des Affaires étrangères dans un communiqué.
Oooooh !
Alors là, vraiment, je ne me serais jamais attendu à une chose pareille.
Selon la même source, la délégation israélienne dirigée par Avi Cohen-Scali, directeur général au sein du ministère pour l’Egalité sociale, était initialement attendue à Varsovie lundi 13 mai.
Dans un communiqué annonçant la visite de la délégation, le ministère de l’Egalité sociale a déclaré qu’il supervisait les efforts destinés à « élargir le cercle de ceux qui bénéficient de restitutions », notamment en encourageant une loi à cet effet dans « des pays supplémentaires ». Le ministère a évoqué une tentative de reconnaître les victimes roumaines de la Shoah par l’Allemagne et la Roumanie.
C’est poétique ça, « élargir le cercle » de ces suceurs de sang.
Ces vampires veulent sévir en Roumanie, probablement dans les Carpates.
C’est dire si c’est signé.
L’opposition israélienne a fustigé le principe même de négocier avec la Pologne sur la question de la Shoah.
« Si (le Premier ministre Benjamin) Netanyahu et (le chef de la diplomatie israélienne Israel) Katz ne cessent pas (…) de négocier sur la Shoah, le monde saura que le souvenir de la Shoah n’est pas sacré pour le gouvernement israélien », a tweeté Yaïr Lapid, numéro deux de la liste « Bleu-blanc », deuxième formation de la Knesset.
Le député travailliste Itzik Shmuli a pour sa part tweeté que « ceux qui sont prêts à négocier avec les Polonais sur le souvenir même de la Shoah, ne doivent pas être ensuite surpris que cela finisse par nous mettre dans une situation honteuse ».
Quelle noblesse d’âme.
Ces juifs estiment que les goyim doivent payer sur simple exigence.
Quand on vous prend de l’argent sans votre avis, on appelle cela du vol.
Mais en Israël, on considère que voler les goyim est un devoir sacré.
L’Organisation juive mondiale de restitution (WJRO) s’est dite de son côté « déçue par le ton et les propos en Pologne sur les restitutions ces dernières semaines ». « Nous avons l’espoir d’un renouveau du dialogue avec la Pologne afin que cette injustice historique puisse être réparée », a ajouté un des responsables de l’organisation, Gideon Taylor, dans un communiqué.
Dans le communiqué, la ministre de l’Egalité sociale Gila Gamliel a félicité le gouvernement polonais pour « sa position ferme face aux voix des manifestations antisémites », tout en avertissant qu « il n’y a plus beaucoup de temps » pour restaurer les biens volés aux Juifs pendant la Shoah.
Gamliel faisait apparemment référence aux milliers de personnes qui ont manifesté samedi à Varsovie à l’appel de l’extrême droite sous le mot d’ordre « Stop 447 » contre la loi américaine portant ce numéro et destinée à appuyer la restitution de biens juifs tombés en déshérence après la Shoah.
Le parti conservateur au pouvoir en Pologne ainsi que l’opposition centriste et libérale ont minimisé l’importance de cette loi signée par Donald Trump en mai 2018, soulignant qu’elle n’aura pas d’impact sur la Pologne.
Ha !
Je pense que ces Polonais pèchent par excès de confiance.
Au cas où vous n’auriez pas suivi ce dossier, un bref résumé : à présent que l’Allemagne est totalement essorée financièrement par ces vampires, ces hébreux ont réalisé que grâce à cette même escroquerie, une magnifique opération immobilière les attendait juste à côté, en Pologne.
Ils ont alors réécrit, en quelques semaines, la version officielle de Lolocauste pour devenir ce qui est désormais le Polocauste. Ce sont en fait les Polonais qui ont planifié le génocide de 6 millions de juifs tandis que les Nazis ont vaguement aidé, ici ou là, en aidant à porter les bagages. Quelque chose comme ça.
Une fois informée des masses d’or à razzier en Pologne, la juiverie universelle s’est mise en mouvement comme une colonne de fourmis rouges.
Les yids de France se sont soudainement pris de passion pour des voyages en Pologne afin d’y tenir des « conférences sur l’holocauste » pour y souligner le rôle particulièrement sauvage de ces sales Polonais.
Avec l’appui plein et entier de « notre diplomatie » menée, à Varsovie, par (((Pierre Lévy))).
Laissons les historiens librement travailler. Ces comportements sont très choquants. https://t.co/YA5DiyiixK
— Pierre Lévy (@Amb_Francji) 25 février 2019
Objectif : piller la Pologne dans des proportions inédites.
La radio d’état contrôlée par les juifs « France Culture » s’est particulièrement déchaînée.
Le kahal mondial veut désormais boire du sang de bébés polonais et recevoir des milliards de dollars en cash.
Tout de suite.
Mais, à l’approche des élections au Parlement européen, une alliance ad hoc de plusieurs partis et groupuscules nationalistes et d’un syndicat paysan a lancé une importante campagne de propagande à ce sujet.
Ah oui, un rappel important : les juifs vous informent et les goyim font de la propagande.
Méchants goyim.
Baptisée JUST (Justice for Uncompensated Survivors Today), la loi 447 exige du département d’Etat qu’il informe le Congrès des progrès réalisés par certains pays, dont la Pologne, dans la restitution de biens juifs confisqués durant la Deuxième Guerre mondiale.
Quelque 3,2 millions de juifs vivaient dans la Pologne d’avant la guerre – une communauté vieille de plusieurs centaines d’années – soit environ 10 % de la population à l’époque.
L’Amérique n’est vraiment qu’un golem aux ordres de ces juifs.
Tandis que les Blancs de l’US Army sont envoyés au Moyen-Orient pour détruire l’Iran au profit de la colonie juive de Palestine, ces hébreux utilisent le gouvernement américain pour piller la planète entière sur la base de récits de science-fiction écrits par des scénaristes ashkénazes d’Hollywood.
Je suis à peu près certain que le gouvernement polonais va plier. La juiverie a tranché et va prochainement faire sortir Trump de son golf pour qu’il menace la Pologne d’embargo en cas de refus.
Ces piranhas ont placé la barre à 300 milliards de dollars à se répartir entre eux, en toute discrétion.
Juste pour vous faire une idée, le PIB de la Pologne s’élève à un peu plus de 500 milliards de dollars.
C’est vraiment extraordinaire de juifisme.
La Pologne, entre 1939 et 1945, était un état rural dont l’économie était quasi exclusivement paysanne. Hormis quelques villes, le pays n’avaient aucune infrastructure moderne. En tout, certainement rien de comparable avec la Pologne contemporaine.
Ces juifs affirment qu’ils détiennent plus de la moitié de la production de la Pologne de 2019 parce que quelques millions de youpins auraient perdu, ici ou là, quelques champs sur lesquels ils faisaient trimer des paysans catholiques.
Seuls des youtres peuvent tenter une escroquerie d’une telle ampleur.
Plus, bien sûr, toute une batterie de « droits » à effet rétroactif imaginés par un cartel de cabinets d’avocats juifs new-yorkais. Par exemple, de donner l’autorisation à n’importe quel crochu originaire de Pologne par son arrière-arrière-arrière grand oncle le droit de revendiquer la propriété de telle ou telle maison, de tel ou tel lot de terres, etc..
Ce n’est pas par hasard qu’une organisation paysanne polonaise se mobilise. Ils savent qu’ils vont finir comme les koulaks quand les juifs ont pris le pouvoir en Russie : travailler quasiment gratuitement sur des terres possédées par des consortiums juifs de Wall Street.
Le tableau ne serait pas complet si, pour réussir, les juifs n’agitaient pas le bâton sous le nez des Polonais.
Le bâton de l’antisémitisme.
Récemment, des inquiétudes concernant l’antisémitisme en Pologne ont refait surface.
L’an dernier, une crise a opposé Israël et la Pologne après l’adoption d’une loi polonaise controversée, finalement amendée, perçue en Israël et aux Etats-Unis comme une tentative implicite d’empêcher les survivants de l’Holocauste d’évoquer les crimes des Polonais à leur égard.
En février, le chef de la diplomatie israélienne, Israel Katz avait ulcéré Varsovie par des propos sur « l’antisémitisme que les Polonais tètent avec le lait de leur mère ». La Pologne a, par la suite, boycotté en février un sommet prévu à Jérusalem de quatre pays d’Europe de l’Est.
Fin avril, le Congrès juif mondial a condamné un « incident antisémite » après que des habitants d’un village polonais eurent brûlé et décapité un mannequin représentant Judas, avant de le jeter dans une rivière, un rituel pascal remontant au 18e siècle et pratiqué jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.
C’est bien simple : est accusé d’antisémitisme par la presse juive celui qui refuse de se laisser piller par la bête hébraïque assoiffée de sang.