Captain Harlock
Démocratie Participative
07 Mai 2020
La haine raciale juive conserve ces hébreux pendant un siècle
Une terroriste juive ayant passé sa vie à répandre la haine et le mensonge contre la race blanche a finalement daigné crever. Elle est désormais en Enfer, la place qui lui revient de droit.
Actu.fr :
Elle avait survécu aux camps de la mort. Paulette Sarcey, née Szlifke, est décédée lundi 4 mai 2020 à l’âge de 96 ans. Juive, militante communiste et résistante pendant la Seconde Guerre mondiale à Paris, elle était rescapée du camp d’Auschwitz-Birkenau.
Paulette Sarcey a consacré une partie de sa vie à témoigner de sa déportation. Elle était Chevalier de la Légion d’honneur et décorée de la Médaille militaire.
« Le Mémorial de la Shoah présente ses sincères condoléances à Michelle et Claude Sarcey, ses enfants, et à leur famille, et salue la mémoire d’une inlassable militante au sein de l’Association des Anciens Déportés Juifs de France aux côtés de d’Henry Bulawko, de l’UJRE et MRJ-MOI. »
Paulette Sarcey était née le 11 avril 1924 dans le quartier de Belleville à Paris de parents juifs polonais fraîchement arrivés en France. Quand la guerre éclate, alors âgée de 16 ans, elle rejoint les Jeunesses communistes et fait ses premiers pas dans la Résistance aux côtés d’Henri Krasucki et de Marcel Rayman.
Ha !
Krasucki, lui aussi, est un miraculé. Officiellement gazé à Auschwitz, comme Simone Veil, cet agitateur communiste ashkénaze ressuscita mystérieusement après-guerre.
Le marxisme a décidément des vertus thaumaturgiques insoupçonnées.
Quoi qu’il en soit, cette vieille youpine était affiliée aux groupes terroristes juifs du Parti Communiste qui semaient la mort en France pendant la guerre. Ces hébreux étaient absolument déchaînés dans le meurtre de civils.
Certains de ces brigands figurent sur l’Affiche Rouge.
Ces bandits juifs s’étaient organisés sous le nom évocateur de « Franc-Tireur Partisan – Main d’Oeuvre Immigrée ». Ils s’étaient associés divers asociaux : espagnols et italiens rouges, vagabonds arméniens.
Cette organisation deviendra le MRAP après la guerre pour agiter les sous-hommes sur le territoire français pour le compte du Parti Communiste et de Moscou.
« Nous saluons la mémoire de cette inlassable militante, symbole de résistance, de courage et d’abnégation devant l’horreur, et adressons nos plus sincères condoléances à sa famille et ses proches. » témoigne le PCF.
Le Parti Communiste ne parle jamais des goulags de Sibérie. Ni du massacre de Katyn. Pas davantage du génocide ukrainien.
En fait, le PCF est remarquablement pudique quand il s’agit de parler de la maison-mère. Tout comme l’était la youpine Paulette Szlifke l’était vis-à-vis de ses camarades de la Tchéka.
Elle est interpellée en mai 1943 avec ses camarades et incarcérée au petit Dépôt de la Préfecture de Police de Paris avant d’être transférée au sinistre camp de Drancy (Seine-Saint-Denis). En juin 1943, elle est déportée à destination du camp d’Auschwitz-Birkenau.
Au camp d’Auschwitz-Birkenau, elle assure la liaison entre son groupe issu des Juifs communistes parisiens et celui dirigé par Marie-Claude Vaillant Couturier, selon le Mémorial de la Shoah qui lui rend hommage.
Elle sera finalement libérée le 2 mai 1945 après avoir survécu aux marches de la mort de janvier. A son retour à Paris, elle retrouve ses parents et son frère, qui ont survécu cachés durant la guerre. « Tout en continuant de militer au PCF, elle consacra le reste de sa vie, sans relâche, à témoigner de l’univers concentrationnaire, de la Résistance et des engagements de sa jeunesse. » salue le PCF.
J’ai déjà parlé de ces marches de la mort imaginaires inventées par les juifs. Rien de nouveau chez ces bouches menteuses, surtout lorsqu’elles sont affiliées au communisme international.
C’est en tout cas avec une réelle satisfaction que nous apprenons que ces juifs gazés centenaires du Parti des Assassins tombent comme des mouches.
Ceux-là ne nous empoisonneront plus de leur fiel sémitique.