Le Libre Panzer
Démocratie Participative
23 Janvier 2020
Les lecteurs avisés de Démocratie Participative, les internautes accoutumés aux réseaux sociaux ou les usagers réguliers du métro n’auront pas raté la campagne de promotion de la nouvelle société que veulent les juifs pour la France.
Les Français les plus naïfs ou les moins informés s’interrogent puis s’habituent sous l’influence du matraquage permanent.
Mais ils ne savent pas qui tirent les ficelles dans l’ombre.
Le reportage de Brut présente celle qui en est à l’origine : la juive Charlotte Abramow.
Engourdis, les Français vivent dans un environnement devenu juif sans le comprendre. Ils oscillent hypnotisés entre le souvenir obligatoire et obsédant de l’Holocauste et les campagnes destructrices des juifs contre la moralité publique.
L’Allemagne nationale-socialiste affrontait le même danger. Le ministre du Reich Joseph Goebbels résume :
L’une de ces mesures est l’institution de l’étoile jaune que chaque juif doit porter. Nous voulions les rendre visibles en tant que Juifs, surtout s’ils tentaient quoi que ce soit pour nuire à la communauté allemande. C’est une mesure remarquablement humaine de notre part, une mesure hygiénique et prophylactique pour s’assurer que le Juif ne puisse pas s’infiltrer dans nos rangs sans être vu pour semer la discorde.
Alors que les Juifs sont apparus pour la première fois il y a quelques semaines dans les rues de Berlin ornés de leur étoile juive, la première réaction des citoyens de la capitale du Reich a été la surprise. Seuls quelques-uns savaient qu’il y avait encore tant de Juifs à Berlin. Tout le monde a soudain trouvé dans le quartier quelqu’un qui semblait être un concitoyen inoffensif, qui se plaignait ou critiquait peut-être un peu plus que d’habitude, et que personne n’avait pensé être juif. Il s’était caché, imitait son entourage, adoptait la couleur du fond, s’adaptait à l’environnement, afin d’attendre le bon moment. Qui parmi nous avait la moindre idée que l’ennemi était en fait à ses côtés, qu’un auditeur silencieux ou intelligent assistait aux conversations dans la rue, dans le métro, ou dans les files d’attente devant les magasins de cigarettes ? Il y a des Juifs que l’on ne peut pas reconnaître par des signes extérieurs. Ce sont les plus dangereux. Il arrive toujours que lorsque nous prenons des mesures contre les Juifs, les journaux anglais ou américains le signalent le lendemain. Même aujourd’hui, les Juifs ont encore des liens secrets avec nos ennemis à l’étranger et les utilisent non seulement pour leur propre cause, mais aussi pour toutes les questions militaires du Reich. L’ennemi est parmi nous. Quoi de plus logique que de le rendre au moins clairement visible pour nos citoyens ?
Dans les premiers jours qui ont suivi l’introduction de l’étoile juive, les ventes de journaux à Berlin ont explosé. Chaque juif dans la rue achetait un journal pour cacher sa marque de Caïn. Comme cela était interdit, on commença à voir des Juifs dans les rues de la partie ouest de Berlin en compagnie de gentils étrangers. Ces laquais juifs devraient en fait porter eux-mêmes l’étoile juive. L’excuse qu’ils donnent pour leur conduite provocatrice est toujours la même : les Juifs sont après tout des êtres humains aussi. Nous n’avons jamais nié cela, tout comme nous n’avons jamais nié l’humanité des meurtriers, des violeurs d’enfants, des voleurs et des proxénètes, bien que nous n’ayons jamais ressenti le besoin de défiler avec eux sur le Kurfürstendamm ! Tout juif décent est un juif qui a trouvé un goy idiot et ignorant qui le trouve décent ! Comme si c’était une raison pour donner aux Juifs une sorte d’escorte honorable. Quelle absurdité !
Les Juifs doivent progressivement dépendre de plus en plus d’eux-mêmes, et ont récemment trouvé une nouvelle astuce. Ils connaissaient le bon Michael allemand en nous, toujours prêt à verser des larmes sentimentales pour l’injustice qui leur a été faite. On a soudain l’impression que la population juive de Berlin n’est constituée que de petits bébés dont l’impuissance enfantine pourrait nous émouvoir, ou bien de vieilles dames fragiles. Les Juifs envoient leurs plus pitoyables. Ils peuvent tromper quelques âmes inoffensives pendant un certain temps, mais pas nous. Nous savons exactement quelle est la situation.
A cause d’eux seuls, nous devons gagner la guerre. Si nous la perdons, ces juifs à l’air inoffensif deviendront soudain des loups enragés. Ils attaqueraient nos femmes et nos enfants pour se venger. Il y a suffisamment d’exemples dans l’histoire. C’est ce qu’ils ont fait en Bessarabie et dans les États baltes lorsque le bolchevisme est entré en scène, même si ni le peuple ni leurs gouvernements ne leur avaient rien fait. Il n’y a pas de retour en arrière dans notre combat contre les Juifs – même si nous le voulions, ce qui n’est pas le cas. Les Juifs doivent être retirés de la communauté allemande, car ils mettent en danger notre unité nationale.
C’est un principe élémentaire d’hygiène raciale, nationale et sociale. Ils ne nous donneront jamais de repos. S’ils le pouvaient, ils conduiraient les nations les unes après les autres à la guerre contre nous. Qui se soucie de leurs difficultés, eux qui veulent seulement forcer le monde à accepter leur sanglante domination financière ? Les Juifs sont une race parasitaire qui se nourrit comme un champignon fétide des cultures de peuples sains mais ignorants. Il n’y a qu’une seule mesure efficace : les éliminer.
Que les arguments des amis rétrogrades des Juifs face à un problème qui occupe l’humanité depuis des millénaires sont stupides et irréfléchis ! Comme ils s’étonneraient de voir leurs chers juifs au pouvoir ! Mais ce serait trop tard. C’est pourquoi il est du devoir d’une direction nationale de prendre toutes les mesures nécessaires pour empêcher qu’une telle chose ne se produise. Il y a des différences entre les gens tout comme il y a des différences entre les animaux. Certaines personnes sont bonnes, d’autres mauvaises. Il en va de même pour les animaux. Le fait que le Juif vive encore parmi nous n’est pas une preuve qu’il a sa place parmi nous, tout comme une puce n’est pas un animal domestique simplement parce qu’elle vit dans une maison. Lorsque M. Bramsig ou Mme Knöterich ont de la pitié pour une vieille femme portant l’étoile juive, ils devraient également se rappeler qu’un neveu éloigné de cette vieille femme du nom de Nathan Kaufmann est assis à New York et a préparé un plan selon lequel tous les Allemands de moins de 60 ans seront stérilisés. Ils devraient se rappeler qu’un fils de son oncle éloigné est un belliciste nommé Baruch ou Morgenthau ou Untermayer qui se tient derrière M. Roosevelt, le conduisant à la guerre, et que s’ils réussissent, un beau mais ignorant soldat américain pourrait un jour abattre le fils unique de M. Bramsig ou de Mme Knöterich. Tout cela se fera au profit de la juiverie, à laquelle cette vieille femme appartient également, aussi fragile et pitoyable qu’elle puisse paraître.
Le Dr Goebbels énonçait les principes de l’action contre l’infiltration juive :
C’est pourquoi nous devons le dire et le répéter :
1. Les Juifs sont notre destruction. Ils ont commencé cette guerre et la dirigent. Ils veulent détruire le Reich allemand et notre peuple. Ce plan doit être bloqué.
2. Il n’y a aucune distinction entre les Juifs. Chaque Juif est un ennemi juré du peuple allemand. S’il ne manifeste pas clairement son hostilité,c’est uniquement par lâcheté et par sournoiserie, et non parce qu’il nous aime.
3. Les Juifs sont responsables de chaque soldat allemand qui tombe dans cette guerre. Ils l’ont sur la conscience, et doivent aussi le payer.
4. Si quelqu’un porte l’étoile juive, c’est un ennemi du peuple. Toute personne qui s’en préoccupe est assimilée à un Juif et doit être traitée en conséquence. Il mérite le mépris de tout le peuple, car c’est un lâche qui le laisse en plan pour soutenir l’ennemi.
5. Les Juifs bénéficient de la protection de nos ennemis. C’est la seule preuve dont nous ayons besoin pour montrer à quel point ils sont nuisibles pour notre peuple.
6. Les Juifs sont les agents de l’ennemi parmi nous. Celui qui se tient à leurs côtés aide l’ennemi.
7. Les Juifs n’ont pas le droit de revendiquer l’égalité avec nous. S’ils souhaitent s’exprimer dans la rue, dans les files d’attente devant les magasins ou dans les transports publics, ils doivent être ignorés, non seulement parce qu’ils ont tout simplement tort, mais parce que ce sont des Juifs qui n’ont pas le droit de s’exprimer dans la communauté.
8. Si les Juifs font appel à votre sentimentalité, réalisez qu’ils espèrent votre courte mémoire, et faites-leur savoir que vous voyez à travers eux et que vous les méprisez.
9. Un ennemi décent méritera notre générosité après notre victoire. Le Juif n’est cependant pas un ennemi décent, même s’il essaie de le faire croire.
10. Les Juifs sont responsables de la guerre. Le traitement qu’ils reçoivent de nous n’est guère injuste. Ils ont mérité tout cela.
C’est le travail du gouvernement de s’occuper d’eux. Personne n’a le droit d’agir seul, mais chacun a le devoir de soutenir les mesures prises par l’État contre les Juifs, de les défendre avec d’autres et d’éviter d’être induit en erreur par des ruses juives.
La sécurité de l’État exige celle de nous tous.
La cinquième colonne juive n’arrêtera pas d’oeuvrer à la destruction de la France sous l’effet d’une révélation divine.
Il n’arrêtera que lorsqu’il aura cessé de vivre parmi nous.