La journaliste féministe Soisic Belin prétend avoir été violée par un flic en enquêtant sur les escorts avant d’être exposée comme actrice porno

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 septembre 2021

 

Konbini, le média qui fait du cash en spammant du wokisme sur Facebook, a poussé un peu trop loin le concept en relayant une histoire inventée de toutes pièces par une « journaliste féministe » prétendant s’être infiltrée dans le milieu de la prostitution pour en conclure – forcément – que l’ennemi est le Grand Méchant Mâle Blanc.

Donc tout commence quand l’héroïque Soisic décide de se faire troncher pour découvrir « la vérité » de l’univers des escorts. Elle passe en revue les profils d’hommes qu’elle aurait croisé, tous présentés comme des tocards ou des cinglés.

Le moment mytho vient quand la résistante à l’ordre patriarcal affirme qu’un client appelé « François » lui aurait inséré « deux citrons à mojito » dans les orifices, contre sa volonté. Bref, qu’elle a été « violée ». Pour parfaire le truc, « François » est flic, c’est-à-dire, dans l’imaginaire gauchiste, un horrible contrôleur de noirs et d’arabes. Soisic explique qu’elle n’a pas porté plainte parce que voilà et continue ensuite son trip sur le même ton badin.

Inutile de vous dire que si cette épave a ressenti le besoin de placer une histoire de viol dans ce truc, c’est que, comme beaucoup de femmes, c’est un fantasme très ancré chez elle. Car évidemment, cette ruine n’a pas été violée. D’où son petit laïus à la fin où elle dit que les femmes choisissent de se prostituer et le « vivent très bien ».

Et pour cause : Soisic est une vraie pute qui se faisait sauter par des nègres dans des films pornos, ce que personne ne savait jusqu’ici.

 

Un engagement de tous les instants contre la domination patriarcale.

Avec le tatouage en hébreu qui va bien.

« Donc oui, les hommes me font un peu de peine »

Pas étonnant que l’on retrouve ensuite cette femme sur Sud Radio, la radio populiste de la droite dure, théoriser sur le « racisme sexuel ».

Certains lecteurs verront de « l’hypocrisie » dans le fait de se présenter comme une féministe soucieuse du statut des prostituées « dominées » et « exploitées » par les hommes – dépeints comme des losers – tout en étant une glorieuse actrice porno. C’est en réalité le même principe appliqué dans deux contextes différents : une femme utilise sa chatte devant les caméras pour en retirer un bénéfice matériel.

Cette traînée a commencé par la forme la plus évidente de ce principe : le porno.

Le porno repose principalement sur la misère sexuelle ambiante. Une actrice porno vit de la famine sexuelle qui frappe les 80% d’hommes victimes de l’hypergamie féminine, résultat de la dérégulation du marché sexuel suite au démantèlement du mariage. Contrairement à la doxa féministe sur la répression et l’exploitation de la sexualité féminine par les hommes, nous vivons dans une société où ce sont les femmes qui exploitent férocement les besoins insatisfaits d’une vaste quantité d’hommes. C’est cette pénurie de sexe IRL qui permet d’alimenter le compte bancaire des actrices porno.

Le féminisme est la forme institutionnalisée du même processus. Dans une société vaginocratique où par définition la femme est à la fois une prostituée affirmée et une sainte, une traînée peut faire carrière en diabolisant à peu de frais les mâles beta qui se retrouvent en bas de la chaîne alimentaire. Il lui suffit d’avoir une chatte, d’avoir accès aux médias et de savoir mentir de manière sophistiquée pour raconter aux autres traînées ce qu’elles veulent entendre. Sa fonction consiste à déculpabiliser les putes, à les encourager dans leur comportement prédateur tout en accusant les victimes de l’hypergamie féminine d’être des oppresseurs.

Le féminisme est le nom mignon que les femmes donnent à la prostitution

Ce dispositif permet de ne jamais identifier la cause du problème (l’hypergamie féminine) et donc de garantir que la position des traînées dans la société ne soit jamais remise en cause (la prostitution sous toutes ses formes).

Quand ils écoutent les médias où les féministes ont pignon sur rue, les mâles beta affamés se découvrent alors dépeints sous les traits diaboliques d’hommes dominants qui disposent des femmes comme bon leur semble. Pour le mâle beta c’est la double peine : non seulement il n’a pas accès aux femmes, mais en plus il doit vivre plus ou moins inconsciemment avec l’image de suspect de viol sous surveillance. Il n’a rien mais est accusé d’avoir trop.

Dans le cas de Soisic Belin, la cohérence de ce système d’exploitation des mâles beta va jusqu’à s’incarner dans la même personne : la boucle est bouclée.

Rêve de toute traînée qui se respecte : la putain est aussi une sainte.

En matière de cynisme, les femmes sont des expertes nées. Il faut de très nombreuses années à un homme pour approcher timidement le niveau de cynisme qui existe à l’état naturel chez une femme. Souvent l’homme n’en arrive là que poussé par des circonstances extérieures indépendantes de sa volonté.

Rien de tel chez la femme pour qui tout est calcul.

L’hypergamie est le pourquoi, la prostitution est le comment.

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