Captain Harlock
Démocratie Participative
28 Juillet 2020
La sorcière séfarade Halimi, figure du judéo-bolchevisme, est désormais dans un lac d’excréments bouillant
La juive Gisèle Halimi s’est finalement décidée à aller brûler éternellement en Enfer après avoir passé sa trop longue vie à détruire l’ordre social aryen.
Cette nouvelle me remplit d’une joie difficilement descriptible ici.
Le journal juif Le Monde, qui d’ordinaire interdit tous ses articles d’accès gratuit en dépit des sommes hallucinantes qu’il soutire au contribuable français au titre de sa judaïté, a publié un (trop) long article hagiographique en l’hommage de l’une des matriarches de la communauté.
Il est si complet dans la perfidie que même la fiche Wikipédia, pourtant accablante, fait pâle figure en comparaison.
Le Monde :
Pour parler de Gisèle Halimi, qui est morte le 28 juillet, au lendemain de son anniversaire, deux mots s’imposent d’emblée : battante, insoumise. Le 27 juillet 1927, dans le quartier de la Goulette, à Tunis, lorsque naît Zeiza Gisèle Elise Taïeb, personne ne fait la fête. Comme elle le raconte dans La Cause des femmes (Grasset, 1974), son père, Édouard, est si désolé d’avoir une fille qu’il met plusieurs semaines à avouer sa naissance à ses amis. Ce père qui n’aime pas les filles aimera pourtant passionnément « sa » fille. Tandis qu’entre Gisèle et sa mère les relations ont toujours été difficiles, comme on peut le lire tant dans Le Lait de l’oranger (Gallimard, 1988), émouvant récit autobiographique, que dans Fritna (Plon, 2000).
Mme Taïeb aurait sans doute voulu une fille plus docile. La jeune Gisèle résiste à tout, allant jusqu’à faire, à 10 ans, une grève de la faim pour appuyer son droit à la lecture. Elle défie les sentiments religieux de sa famille juive en refusant d’embrasser la mézouza avant d’aller en classe.
Je vous rassure, le rejet purement formel du judaïsme rabbinique par Zeiza Taïeb dit « Gisèle Halimi » n’est pas différent de celui du fils de rabbin Karl Marx. On peut sortir un juif de la synagogue mais la synagogue du juif.
A 16 ans, elle refuse un mariage arrangé, obtient de faire ses études de droit en France, revient à Tunis et s’inscrit au barreau en 1949. La rebelle qu’elle a toujours été devient militante. D’abord pour l’indépendance de son pays dont, tout en étant française, elle n’a jamais abandonné la nationalité. Elle a toujours aimé la Tunisie, y est régulièrement retournée et, à Paris, elle aimait cuisiner, pour ses amis, des plats tunisiens.
Une « tune » éternelle, comme « Philippe Séguin ».
Si vous arrivez à distinguer ça d’un grand rabbin séfarade, je vous admire
Une autre gloire républicaine impérissable.
Sitôt l’indépendance de « sa » Tunisie acquise en soutenant l’insurrection antifrançaise, la juive tunisienne ultra patriote a pour premier réflexe de se tirer de son paradis natal pour s’établir… en France. A peine arrivée sur place, la voilà engagée dans la mouvance marxiste pro-soviétique où elle se déchaîne pour mettre l’Algérie à feu et à sang.
En s’installant en France en 1956 et en épousant Paul Halimi, un administrateur civil, elle change de nom et donne naissance à deux fils. Elle divorce, tout en gardant ce nom par lequel elle s’est fait connaître, et épouse Claude Faux, qui fut le secrétaire de Jean-Paul Sartre. Elle a avec lui un troisième fils. Jamais de fille. C’est peut-être pour cela qu’elle aura, avec sa petite-fille, la relation passionnelle qu’elle analyse dans Histoire d’une passion (Plon, 2011), son dernier livre publié.
Quand commence la guerre d’Algérie, c’est une évidence pour Gisèle Halimi de militer aux côtés de Sartre et de ceux qui signeront, en septembre 1960, le Manifeste des 121. En 1960, apprenant qu’une Algérienne de 22 ans, Djamila Boupacha, accusée d’avoir posé une bombe a été arrêtée, torturée et violée par des soldats français, elle décide de la défendre.
Commence alors une longue bataille, dans laquelle Gisèle Halimi entraîne Simone de Beauvoir. Celle-ci écrit une tribune dans Le Monde et crée un comité, avec, notamment, Jean-Paul Sartre, Louis Aragon, Geneviève de Gaulle, Germaine Tillion. Djamila est finalement jugée en France, à Caen, en 1961. En dépit de la brillante plaidoirie de Gisèle Halimi, elle est condamnée à mort, mais sera amnistiée et libérée en 1962 après les accords d’Evian qui mettent fin à la guerre d’Algérie.
La même année, chez Gallimard, Simone de Beauvoir et Gisèle Halimi publient, avec d’autres, Djamila Boupacha (Gallimard), un livre de témoignages sur toute cette affaire. Sur la couverture, le portrait de Djamila est réalisé par Pablo Picasso. L’histoire de Djamila Boupacha et de Gisèle Halimi est devenue un téléfilm, réalisé par Caroline Huppert. Pour Djamila a été diffusé pour la première fois le 20 mars 2012 sur France 3. Le rôle de Djamila Boupacha est tenu par Hafsia Herzi et celui de Gisèle Halimi par Marina Hands.
Aragon, Beauvoir, Picasso, Sartre : tout le gratin mondain du Parti Communiste.
Cette pauvre Djamila a tellement souffert qu’à 82 ans, elle est plus rayonnante que jamais en tant qu’égérie de la tyrannie FLN algérienne.
Toute l’affaire fût une classique opération de propagande orchestrée par les services d’agitation du Parti Communiste pour convaincre l’opinion française d’abandonner l’Algérie et placer aussitôt l’Algérie dans la zone d’influence soviétique. Le fameux « viol » n’était qu’une somme de propos délirants a posteriori à base de « brosse à dent » qu’inventa cette furie maghrébine sur les conseils de ses agents traitants communistes.
C’est du même niveau que le très crédible couteau de tortionnaire des Jeunesses Hitlériennes de Jean-Marie Le Pen en Algérie.
Lol
Tout le monde sait que les paras, s’ils n’hésitaient pas à nettoyer des villages entiers, ne touchaient jamais la viande périmée algérienne.
Juive, marxiste, violemment antifrançaise aux côtés des maghrébins (depuis Paris), la traînée Taïeb-Halimi est également une mitterrandiste de la première heure.
Dès lors, Gisèle Halimi est considérée comme l’avocate des causes difficiles. Qui l’a entendue plaider, même dans des affaires plus mineures, connaît le charme de sa parole. Et son aplomb. Un jour, opposée à un Robert Badinter plutôt condescendant, elle a commencé sa plaidoirie par un retentissant : « Je ne me laisserai pas renvoyer à mes fourneaux par le professeur Badinter. »
Sans être la porte-drapeau d’un parti, Gisèle Halimi est, depuis toujours, engagée en politique. C’est pourquoi, en 1965, avec Evelyne Sullerot, Colette Audry et quelques autres, elle fonde le Mouvement démocratique féminin pour soutenir la candidature de François Mitterrand à la présidence de la République.
Après avoir contribué avec succès à l’embrasement du Maghreb, on la retrouve en pointe du processus hébraïque pour la systématisation de l’avortement en vue de la destruction de la matrice biologique blanche.
Féministe, sans que le mot ait encore un sens pour elle, elle l’a été depuis son enfance à la Goulette. Aussi, logiquement, on la retrouve en 1971 parmi les signataires du Manifeste des 343, publié par Le Nouvel Observateur. Toutes ces femmes déclarent avoir avorté, donc avoir violé la loi, et plaident pour que les femmes n’aient plus à mettre leur vie en danger en avortant clandestinement. La même année, Gisèle Halimi fonde avec Simone de Beauvoir le mouvement Choisir la cause des femmes, qui prendra part à toutes les luttes féministes et organisera la défense de nombreuses femmes maltraitées.
En 1972, une jeune fille de 16 ans, Marie-Claire, et sa mère qui l’a aidée à avorter, sont poursuivies en justice. Elles demandent à Gisèle Halimi de les défendre. Bien décidée à plaider, non seulement pour ces deux femmes, mais pour la libéralisation de l’avortement, Gisèle Halimi fait venir au procès à Bobigny de prestigieux témoins, dont le professeur de médecine Paul Milliez, fervent catholique, père de six enfants. Marie-Claire est relaxée, sa mère condamnée mais dispensée de peine. C’est une grande avancée vers la loi sur l’interruption volontaire de grossesse, qui, portée par Simone Veil après l’élection de Valéry Giscard d’Estaing, sera promulguée en janvier 1975. Cette affaire est, elle aussi, devenue un téléfilm, Le Procès de Bobigny, réalisé par François Luciani. Il a été diffusé en mars et en avril 2006 sur plusieurs chaînes, dont France 2. Anouk Grinberg interprète Gisèle Halimi, et Sandrine Bonnaire, la mère de Marie-Claire.
La télévision d’état française, totalement aux mains des juifs et de leurs chiens marxistes, affecte de glorifier les agents révolutionnaires du Kahal.
France 3 réalisa de la même façon, avec l’argent des Français, un film sur la pseudo affaire de Djamila Boupacha, l’algérienne mythomane transformée en égérie républicaine par les juifs.
Et dire que des gens me demandent de détester Adolf Hitler.
Pour les féministes, une nouvelle lutte commence alors, demandant que le viol soit reconnu comme un crime. Une fois de plus, Gisèle Halimi est là. En mai 1978, à Aix-en-Provence, devant les assises des Bouches-du-Rhône, elle représente deux jeunes femmes belges qui ont porté plainte contre trois hommes. Dans la nuit du 21 au 22 août 1974, elles ont été violées alors qu’elles campaient dans une calanque. Les trois hommes plaident non coupables. Hors du prétoire, Gisèle Halimi est bousculée, injuriée, menacée. Les hommes sont condamnés. Et de nouveau ce procès ouvre le chemin vers la loi de 1980, qui reconnaît le viol comme un crime. L’affaire a fait l’objet d’un documentaire en 2014 réalisé par Cédric Condon (Le Procès du viol) et d’un téléfilm, Le Viol, d’Alain Tasma, diffusé en 2017.
Encore un téléfilm !
Et cet Alain Tasma est des plus neutres.
Les goyim naïfs, en lisant ce papier juif, sont éblouis : le viol n’a été puni en France qu’en 1978 et ce grâce à ces gens désintéressés que sont les juifs !
Ce roman est bien évidemment une énième imposture hébraïque confectionnée pour les besoins de la propagande juive. Le viol était bien plus férocement réprimé sous l’Ancien Régime qu’il ne l’est aujourd’hui.
En 1791, le viol est inscrit dans le Code pénal. Non défini, il est puni de dix ans de fers et de douze dans le cas où la victime est mineure de 14 ans ou si le coupable a des complices. En 1810, il est inscrit dans le Code pénal napoléonien, et défini comme « tout autre attentat à la pudeur consommé ou attenté avec violence contre des individus de l’un ou de l’autre sexe ». Il est puni de cinq à dix ans de réclusion, et de travaux forcés si la victime a moins de 15 ans. En 1832, le viol est distingué de l’attentat à la pudeur. En 1857, la Cour de cassation donne dans l’arrêt Dubas la première définition juridique du viol (« le fait d’abuser d’une personne contre sa volonté… ».
Les travaux forcés pour les pédophiles, c’était ce qu’avait prévu Napoléon Bonaparte.
Dans la France juive actuelle, l’attitude sur la question a sensiblement évolué. Car il n’y avait pas que des pétitions en faveur de l’avortement qui étaient signées par les juifs dans les colonnes de la presse de gauche, qu’il s’agisse du Nouvel Observateur – sous la direction du juif Jean Daniel (Bensaïd) – ou de Libération.
Maître Thierry Lévy, peu avant de mourir, avait défendu avec passion le droit bien naturel des juifs de coucher avec leurs gosses.
Il faut dire que l’inceste est le pilier fondamental du judaïsme comme l’a magistralement démontré Hervé Ryssen dans ouvrage Psychanalyse du judaïsme.
La question qui se pose, au fond, est simple : combien de fois la détraquée Zeiza Taïeb dit « Gisèle Halimi » a couché avec son papa lorsqu’elle était petite fille ?
Commentez l’article sur EELB.su